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C'est vendredi, c'est le bordel #291

... Oui, à nouveau, nous sommes, vous, moi, tous ensemble autant que nous sommes, vendredi. Et vu la semaine entre les manifestations, les grèves, les stations-service à sec, les cantonades ridicules, les perquisitions et les tentatives de fusion inopinée entre deux villes (voir l'article d'hier) à la va-comme-je-te-la-mets-profond, le Piton de la Réunion en éruption, l'Autriche qui passe au vert après avoir frôlé le marron foncé, le gros virage à droite en Israël, l'Irak, la Syrie, l'Afghanistan, l'Ukraine et on en passe, on peut dire que c'est sacrément le bordel. Alors pourquoi pas un beau bordel aussi ici, maintenant, rhoo grand fou, là, tout de suite avec pour démarrer en beauté, les reproductions à l'identique d'images iconiques de grands maîtres de la photo tels que Guy Bourdin, Richard Avedon, Mario Testino, David Lachapelle, Patrick Demarchelier, Gian Paolo Barbieri avec des poupées Barbie par Alberto Alicata, excellent photographe sicilien de son état. C'est beau, c'est bon, c'est sicilien on vous dit.

C'est vendredi, c'est le bordel #291
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Tant qu'à être dans les grands maîtres de la photo, poursuivons avec deux images du calendrier Lavazza 97 par Albert Watson et les étranges portrait de Marie Rime (marierime.tumblr.com), qui rime avec quoi, on ne sait pas, seule Marie sait et c'est assez. Et puis je vous mets un Picasso bien costaud. C'est pour moi, ça me fait plaisir, n'en rajoutons pas.

C'est vendredi, c'est le bordel #291
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C'est vendredi, c'est le bordel #291
C'est vendredi, c'est le bordel #291

Prenez le temps de vous reposer un instant au salon car le bordel est gros, gras et long. N'hésitez pas à mettre votre station préférée tant que ça n'est pas Radio Courtoisie de cette sssssssssssssssaloperie d'Henri de Lesquen et sinon, pour la suite, merci de passer par ici. Ou par là. J'ai comme un doute, là.

C'est vendredi, c'est le bordel #291
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C'est vendredi, c'est le bordel #291

Mais que vois-je de mes yeux ébaubis (les deux) ? Mais ne serait-ce pas Gustave sur sa tour ? Mais si, ma foi, c'est bien lui suivi de près par du Rochas et du Gruau et le bruit de la glace qui fond par Paul Kos car c'est joli et qu'ici, c'est mon blog alors j'y fais exactement ce que je veux. Voyez ? Alors. Non mais. Who's the boss ? C'est bibi. Pas la chanteuse plantureuse à accent qui va doucement, non. Moi, perso, je.

C'est vendredi, c'est le bordel #291
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C'est vendredi, c'est le bordel #291

Tant qu'à être désormais dans la musique, je me permets de vous rajouter un Wison Pickett de compet', un Herbie Mann qui défouraille jusque dans les coins, du Sergio Mendes tropical mais pas trop non plus, du métal mélodique en diable et une bulle, mais une vraiment super comme il faut.

C'est vendredi, c'est le bordel #291
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C'est vendredi, c'est le bordel #291
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Ne perdons pas la tête pour autant et prenons quelques instants pour admirer ces beautés, école buissonnière ou pas, Ferrari 250GT California de 61 ou pas.

C'est vendredi, c'est le bordel #291
C'est vendredi, c'est le bordel #291
C'est vendredi, c'est le bordel #291

Si vous lisez ces quelques lignes, c'est peut-être sur l'arrière-arrière-arrière-arrière-arrière-petit-fils de cet ancêtre vénérable d'un temps que les moins de vingt ans ne peu... bon, ça va, on connaît la chanson. Poursuivons. Oui, par ce tunnel tout sombre qui sent pas très bon (cette réplique est, ne l'oublions pas tout à fait © Georges Abitbol).

C'est vendredi, c'est le bordel #291
C'est vendredi, c'est le bordel #291
C'est vendredi, c'est le bordel #291
C'est vendredi, c'est le bordel #291

Quoi de mieux que du luxe, du charme et de la classe absolue pour poursuivre dans ce bordel ? Alors toutes et tous à bord de cette sublime Facel Vega qui déchire la chatte à sa mère afin de profiter au mieux de son intérieur cuir tout confort, de ses options multiples, de son volant de bakélite et de sa ligne sublime.

C'est vendredi, c'est le bordel #291
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Pour les grincheux ou les grincheuses, il y a aussi l'option Chevrolet Corsair Monza SS de 61 ou une incorrigible Type E et sur ce, poursuivons par cet étudiant fumant sur East 100th Street en 66 par Bruce Davidson, du Perry Mason à l'ancienne et Casper qui se troue. Mais lamentablement en plus.

C'est vendredi, c'est le bordel #291
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Et puis hein, ho, si ça ne vous plaît pas, voyez avec lui, là, plus bas.

C'est vendredi, c'est le bordel #291

Ou, éventuellement, aussi, c'est une autre option, il y a deux écoles, avec Arthur Lee. Lui-même.

C'est vendredi, c'est le bordel #291

Poursuivons en beauté avec la charmante Cristina Ferrare, éphémère starlette (un film avec David Niven "Les années fantastiques") qu'était sacrément mimi. Quand même. Pouêt.

C'est vendredi, c'est le bordel #291
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Ajoutons une brune plus piquante qu'un bec d'oiseau, un balcon qui déborde, une hippie à bouée intégrée, du crochet parce que c'est joli et même ici c'est encore mon blog, oui, oui, deux nippones dont une à cornes, une danseuse en pause syndicale et Lynda, hngg, Carter, hnng, qui fait hnnng des tractions, hnnnng. Bien Lynda, encore une, hnnnnngg.

C'est vendredi, c'est le bordel #291
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À l'heure qu'il est actuellement, au jour d'aujourd'hui, T time right now, il serait peut-être temps de passer à une sélection presque exclusivement féminine de gifs de la semaine car on n'est pas des sagouins, on va quand même pas vous mettre du gif féminin avarié. Non mais. Mais non.

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Vite, passons à de l'art avec les briques en vrac d'Andrey Zignnatto, "Stacking" de 2013 et des "Rapides" par Hiroshi Yoshida, pas du tout de 2013 puisque exactement de 1928, ce qui fait une sacrée différence, vous en conviendrez.

C'est vendredi, c'est le bordel #291
C'est vendredi, c'est le bordel #291

Et un vrai coup de cœur de la semaine pour le travail de Pierre Fouché, découvert par hasard mais qui mérite pas seulement votre confiance car vous n'êtes pas la Mère Denis mais déjà votre attention en allant faire un tour sur son site ici : pierrefouche.net

C'est vendredi, c'est le bordel #291
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Et c'est l'heure de passer aux célèbres Messages à Caractères Informatifs de la semaine car là aussi, on va pas vous refiler du second choix ou de l'usité. C'est frais ici, messieurs dames.

C'est vendredi, c'est le bordel #291
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Et c'est tout pour aujourd'hui mais n'oubliez pas que vous pouvez vous abonner pour rien à ce blog si vous aimez l'art, le bordel, les coups de cœur, les coups de gueule et le pâté et que ce serait sympa d'inviter des ami(e)s à ce bordel car l'entrée y est gratuite, ça détend (paraît-il) et c'est quand même simple, bordel, d'appuyer sur les boutons Facebook, Twitter et autres juste ci-dessous pour le partager et l'offrir à qui vous voulez. Sur ce, bon vendredi, bon week-end et à la semaine prochaine parce qu'on n'est pas des sauvages comme disait feu Popeck.

C'est vendredi, c'est le bordel #291
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K
Au fait, ça fait 2-3 que je te suis. J'en profite pour dire merci
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P
Avec plaisir... Abonné ?
J
"Plus de Facel-Vega!" <br /> comme disait Camus (Pas Renaud ou Sitrohaine, c'est selon)
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