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C'est vendredi, c'est le bordel #295

... Oui, nous sommes vendredi, oui, c'est bientôt le week-end mais surtout il fait enfin SOLEIL (à l'heure où j'écris ce bordel soit jeudi 17:17), en espérant que ce soit aussi le cas vendredi et tout le week-end pour vous. Oui, l'été est arrivé, ou en cours, ou d'ici peu et ça change la perspective de pouvoir imaginer barbecues, apéros et farniente à gogo car il semblerait que cette année plus qu'une autre, on en ait tous (et toutes) besoin. D'ailleurs faisons léger et n'ajoutons pas au bordel ambiant en énumérant les points bordéliques de la semaine sur la planète et entamons si vous le voulez bien sinon la sortie c'est par là, ce nouveau bordel du vendredi composé d'images vues dans la semaine, souvent par hasard, remisées par devers moi car je suis soigneux et reversées ici dans un ordre tout ce qu'il y a de plus personnel et différent chaque semaine afin de susciter quelques secondes de bonheur et de félicité aux lecteurs de ce blog comme avec ces très belles couvertures de livres sur les OVNIS car la littérature d'anticipation aussi, ça peut être joli.

C'est vendredi, c'est le bordel #295
C'est vendredi, c'est le bordel #295
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C'est vendredi, c'est le bordel #295
C'est vendredi, c'est le bordel #295

N'oubliez pas de vous munir d'un bon casse-dalle dans un lunch-box vintage pour ne pas craquer au beau milieu du bordel. Ça fait sale et quand les portes se referment, je ne veux plus personne. Eh oh, je suis pas Anne Hidalgo. Les réfugiés, allez dans le XVIe (et bon courage).

C'est vendredi, c'est le bordel #295
C'est vendredi, c'est le bordel #295
C'est vendredi, c'est le bordel #295

Enchainons sur ces magnifiques graffitis hyper-réalistes et anamorphiques réalisés par plein de gens de talent dont les noms sont probablement cités sur facebook.com/WhatTheFacts que je vous conseille vivement de compulser (Oui ? Quoi ? J'ai eu envie d'utiliser "compulser", et je fais ce que je veux ici vu que c'est mon blog). 

C'est vendredi, c'est le bordel #295
C'est vendredi, c'est le bordel #295
C'est vendredi, c'est le bordel #295
C'est vendredi, c'est le bordel #295

Je sais pas pourquoi mais ce bordel va pêter le feu. Mais poursuivons. Tous dans la même direction. Non, pas derrière l'homme, malheureux. Vous allez finir en merguez.

C'est vendredi, c'est le bordel #295

Ajoutons un anneau romain pour favoriser la fertilité, une comète exceptionnelle photographiée le 14 novembre 1882 par l'astronome David Gill et un bon petit-déjeuner des années 80 pour celles ou ceux qui reconnaitront.

C'est vendredi, c'est le bordel #295
C'est vendredi, c'est le bordel #295
C'est vendredi, c'est le bordel #295

Comme ici aussi c'est mon blog, j'ajoute un bébé ours qui se tape un bol de miel, Annie Oakley dans le spectacle de Buffalo Bill, le Wild Wild West Show à Rome en 1880, l'ethnomusicologue Frances Densmore enregistrant Moutain Chief, le chef de la tribu Blackfoot en 1916, Batman et Robin sur un coup, non, deux coups et ah excusez-moi, un appel. Oui ? Ah non, le Marais, c'est à Paris, pas à Boulbi, oui, au revoir monsieur. Désolé, une erreur.

C'est vendredi, c'est le bordel #295
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C'est vendredi, c'est le bordel #295
C'est vendredi, c'est le bordel #295
C'est vendredi, c'est le bordel #295

Quoi d'autre ? Ben, le designer Allen Jones en avril 70 assis sur une de ses création emblématique (la sculpture pseudo-érotique de la dame toute nue), des Pythons couchés mais toujours éveillés et David Bowie avec des copines dans des ambiances clair-obscur genre "Tu le sens mon désir", "Rhaa oui, je le sens David" "Ah non, là, c'est mon porte-clé".

C'est vendredi, c'est le bordel #295
C'est vendredi, c'est le bordel #295
C'est vendredi, c'est le bordel #295
C'est vendredi, c'est le bordel #295

Et puis je vous mets un peu de la vie de Brian. Avant. Quand il était encore un génie. Quel gâchis.

C'est vendredi, c'est le bordel #295
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C'est vendredi, c'est le bordel #295

Ajoutons un cerbère qui ne s'appelle pas Léonard mais c'est pour le plaisir, des Clashs toujours classe, un King avec deux fans et puis si ça ne vous plaît pas, voyez ça avec l'iguane plus bas.

C'est vendredi, c'est le bordel #295
C'est vendredi, c'est le bordel #295
C'est vendredi, c'est le bordel #295
C'est vendredi, c'est le bordel #295

Et hop, d'un Bond, d'un seul mais fort bien accompagné, avançons vers la suite de ce bordel qui se trouve donc fort logiquement plus bas (scroll, scroll, scroll).

C'est vendredi, c'est le bordel #295

Que serait le bordel sans quelques donzelles ? Il serait fermé, d'où la présence aujourd'hui de Lourdes Estores (avec sa glace), Pamela Zinszer (avé le chapeau et le poteau), Raquel, ah, Raquel en ricaine et Virginia Mayo parce que Jeannie Ketchup n'était pas libre. Et puis si ça ne vous plaît toujours pas, voyez avec le molosse plus bas.

C'est vendredi, c'est le bordel #295
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C'est vendredi, c'est le bordel #295
C'est vendredi, c'est le bordel #295
C'est vendredi, c'est le bordel #295
C'est vendredi, c'est le bordel #295

Il est temps de passer à une sélection de gifs de la semaine alors ne nous ralentissons pas avec trop de mots car après, il ne sera plus temps et ça foutra le bordel encore plus alors merci, hein, non.

C'est vendredi, c'est le bordel #295
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C'est vendredi, c'est le bordel #295

Vite, de l'art avec “Peine” par Oskar Zwintscher, "La mort de Marat" par Edward Munch en 1906 et "La mort de Marat" par Edward Munch en 1907. S'fait pas trop chier avec les titres, l'Edward.

C'est vendredi, c'est le bordel #295
C'est vendredi, c'est le bordel #295
C'est vendredi, c'est le bordel #295

Et aussi car jamais trop d'art ne nuit, un peu d'André Marchand avec "La table grise", des "Marocains" par Henri Matisse, un très beau nu de Karin Rosenthal et "Contraband" par Lynda Benglis, datant de 1969, année érotique s'il en est et il en est puisqu'on vous le dit qu'il en est, bordel de merde.

C'est vendredi, c'est le bordel #295
C'est vendredi, c'est le bordel #295
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C'est vendredi, c'est le bordel #295
C'est vendredi, c'est le bordel #295

Et il est temps de passer aux célèbres Messages à Caractères Informatifs car en plus, faut que j'y aille, j'ai le vernissage de mes 14 images du Parc de la série "Le Parc Nu" chez Yok au 19, boulevard Jean Jaurès à Boulogne-Billancourt. Expo qui se poursuit jusqu'au 23 juillet, je dis ça, je dis ça.

C'est vendredi, c'est le bordel #295
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Et c'est tout pour aujourd'hui mais n'oubliez pas que vous pouvez vous abonner à ce blog pour une somme oscillant entre zéro euro et zéro euro soit zéro euro et que ce serait sympa pour les efforts consentis par le taulier pour vous concocter le dit bordel de le partager à qui mieux-mieux mais avec des amis, c'est mieux car charité bien ordonnée commence par les autres sur Facebook, Twitter et le reste (voyez les boutons ci-dessous). Bon vendredi, bon week-end et à la semaine prochaine.

C'est vendredi, c'est le bordel #295
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