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Visage Livre pas content




...Youpi les joies de facebook ! Quel outil fantastique...quand ça marche.

En promouvant mon article à propos de Joe la Pompe sur facebook, v'la t-y pas que ces empaffés de ricains de Palo Alto croient que je suis un spammer de masse. Sans même un avertissement au préalable, ils me désactivent mon compte, comme ça, en moins de temps qu'il en faut pour dire zap. Ou Puf ou Zok ou Bli, c'est comme vous voulez, ça prend le même temps. Bref. Plus de compte, plus de réalité virtuelle, arghh, je n'existe plus, effacé de la netosphère en un coup de rayon laser. Ca doit être la troisième fois que ça m'arrive, ils sont très chatouilleux dans la Zuckerberg family. Pourtant, je suis loin d'être un cyberterroriste mais comme ils sont incapables de vous expliquer précisément pourquoi vous avez été zappé et comment ne plus l'être à l'avenir, c'est toujours coton. En l'occurrence, cette fois-ci, j'ai dû envoyer un message annonçant juste qu'il y avait un article sur Joe la Pompe dans quatre groupes reliés à la publicité sur facebook en faisant pourtant attention de changer l'intitulé du message pour qu'on ne pense pas que je suis une machine car comme le regretté Mizou Mizou, yé né souis pas oune machine. Joe la Pompe, publicité... normal que je mette un "Hey les gars, sur Après la Pub, y'a Joe la Pompe, si ça vous dit d'aller jeter un œil".

Et vlan. Le couperet aiguisé de la guillotine californienne me tombe dessus en traître et à bras raccourcis, ce qui, je vous l'accorde, n'est pas évident pour une guillotine qui a autant de bras que la Vénus de Milo et autant d'amis à trahir que Joseph Fritzl en ce moment. Bref bis, je me retrouve con comme Pierre Richard dans un nanar 70's. Sauf que je ne suis pas frisé.

En attendant, comme ça m'était donc déjà arrivé deux fois, j'ai un autre profil où vous pouvez me joindre et m'envoyer des fleurs, des oranges, en attendant que je retrouve mon moi virtuel et mes 700 (et des brouettes) amis, dont 500 à qui je ne parle jamais. Nous sommes un, personne et cent mille, disait Luigi Pirandello qui ne sortait pas que des conneries, sauf les soirs où il avait vraiment abusé du Lambrusco car tout Pirandello qu'il était, il devait aussi lui arriver de s'en mettre derrière la cravate et de débiter des insanités sous l'effet de ce délicieux petit vin pétillant qui va à ravir avec les antipasto.

Bref ter, pour me facebooker pour l'instant, ce n'est pas sur "Pierre-arnaud Gillet", mon profil habituel mais c'est ici sur "P-A Gillet", niark niark, mon second profil, normalement dédié à mes activités artistiques uniquement :
link. Un, personne et cent mille, ça n'a jamais été aussi vrai, Luigi. Salute.
 
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