18 Décembre 2020
... Il semblerait, à la lecture du calendrier de l'Avent plein de chocolat, mmm, excfuffez-moi v'en ai plein la bouffche, que nous soyons vendredi. Et en sus, le vendredi juste avant Nawel, cette délicieuse fête célébrant un mec né en avril (va comprendre) et rené (tel le mari de Céline Dion) un autre jour. Bon. D'accord. Il est donc d'usage ici en ces pages que le vendredi, ce soit un peu, beaucoup, passionnément le bordel. Et comme j'aime bien faire plaisir à mes lecteurs et lectrices, public chéri mon amour comme disait l'autre, allons-y pour le Bordel du Vendredi 432e du nom avec cet incroyable musée gallo-romain de Lyon-Fourvière que l'on doit à l'architecte Bernard Zehrfuss. Zer gut, Bernard (bon, ok, j'ai fait espagnol 2e langue).
Les amateurs et amatrice d'architecture seront également ravis (souhaitons-le) à la découverte de cette incroyable maison, la House Calceranica al Lago à Trento, Italie. Un réalisation de 1963 par Giovanni Leo Salvotti et Galina Salvotti qui sont peut-être de la même famille mais toute l'équipe technique au fond de la cave se renseigne et revient vers vous dès que possible.
Découvrons ensemble cet étrange monolithe qui est probablement le fait de Seetharaman Narayanan, Thomas Knoll, John Knoll, Russel Preston Brown, Steve Guttman, Russel Williams, Jeff Chien, Maria Yap, Sarah Kong, Bryan O'Neill Hugues et John Nack que les amateurs de Photoshop connaissent bien, ajoutons une idée pour le Nawel sans Nawel qui se profile puis une idée de cadeau original avec cette petite boite à encens (kōgō) en forme de palourde avec des motifs de tortues et de grues (Tsuru, l'oiseau emblème du pays) de la moitié du XIXe siècle (visible au Metropolitan Museum of Art si vous passez dans le coin) et si vous avez besoin d'un petit café, c'est là, maintenant, tout de suite chez Ralls. De rien. un sucre ?
Tant qu'à faire, autant poursuivre dans ce Bordel avec style et aérodynamie (mais peu) dans cette Lotus 88 de 1981 dessinée par Colin Chapman et conduite par Nigel Mansell et Elio de Angelis mais comme ils sont au bar à se taper des mousses actuellement, profitez-en. Et si vous attrapez la queue du Mickey, vous avez droit à un tour supplémentaire.
Bon, si vous êtes las, posez-vous là. Ou ici. Ou là. Bref, où vous voulez mais n'oubliez pas d'enlever vos chaussures et de mettre des chaussons car cette saloperie de moquette verte bouclée tache énormément.
Allez, on repart avec la somptueuse Debbie Harry entre les mains calleuses et crochues de H.R Giger en 1981 qui a fait des aliens bien plus moches que ça. Un vrai cœur de pierre, ce H.R. Ne l'appelez pas.
Si vous préférez Debbie en blonde, hop voilà c'est fait, si vous voulez voir l'animal le plus dangereux au monde au zoo du Bronx en 1963, hop voilà itou, je vous rajoute six Jackson Five au prix de cinq, c'est la promo du jour à ne pas manquer et si vous vouliez un Gandar Kiju de la série télé Ultraman qui a précédé la série UltraSeven qui a précédé la série The return of Ultraseven puis Ultraman Ace, Ultraman Taro, Ultraman Leo, the Ultraman, Ultraman 80 et je vous épargne toutes les autres qui ne sont jamais passées en France mais c'est pour moi, ça me fait plaisir.
Mais tout ça, ça ne vaut pas Hardware Wars, film de 1977 qui fait probablement référence à La grande vadrouille mais on vérifie et toute l'équipe technique revient (encore) vers vous pour plus d'informations s'ils en trouvent (mais j'en doute, c'est un sacré paquet de feignasses).
Passons à ces trois planches originales à l'encre de Milo Manara qui démontrent que le gars a une sacrée plume, un sacré coup de crayon et qu'il s'y connaît un peu en morphologie de donzelles assez bombasses, même si elles se ressemblent toutes de Claudia Cristiani à Miel (aaaah, Miel).
Sans transition autre que "sans transition", passons à cette magnifique série de New York City dans les années 1950 par Ruth Orkin que je ne connais pas plus que ça mais je me renseigne et je reviens vers vous et ce sera toujours mieux que l'équipe technique qui fait rien qu'à rien faire au fond de la cave.
Ah, Bill Murray et ses amis ont un cadeau pour votre Nawel et n'oubliez pas qu'il est très malpoli de refuser un cadeau alors je serais vous, je tirerais sur ce délicieux bédo issu de la ferme de de John Belushi. Pendant ce temps là, en France, on reste à la loi de 1970. Du grand nawak alors que partout en Europe, ça évolue.
Aaaah, ça va mieux, on est nettement plus détendus. Puf puf pass, don't bogart please. Mais il semblerait que Catwoman n'y soit pas sensible. Peut-être préfère-t-elle l'herbe à chat. Ou Batman. Fais gaffe, Cat, bouffer des chauve-souris, ça peut un peu foutre la merde en 2020.
Oui, kessécé ? Ah, je crois que les donzelles de la semaine s'impatientent et il ne faut pas faire attendre ces dames plus que de raison, surtout avec un tel déhanché.
Car un Bordel sans donzelles ne serait pas tout à fait un Bordel ou bien un Bordel avec personne dedans et il serait vite fermé et franchement, vous n'y viendriez pas.
Vite, passons à de l'art avec Antoni Tàpies, "L'Esperit Català" de 1971, David Hockney, "Canvas Study of The Grand Canyon" de 1998, Emanuela Fiorelli, "Superficie biomorfica" de 2006 et James Rosenquist, "Target II"de 1996.
Encore un peu ? Ça tombe bien, il en reste avec Oskar Fischinger, "Perspective 2" de 1961, Raymond Jonson, "Polymer No. 26" de 1974, René Burri, "New York City Skyline, USA" de 1959 (© Magnum Photos) et Thornton Willis, "Hop Step" de 2014, histoire de bien se finir.
Et comme aucun Bordel du Vendredi ne peut se terminer sans un bon paquet de Messages à Caractères Informatifs et que nous sommes vendredi et en plein Bordel, autant terminer par des Messages à Caractères Informatifs qui concluent généralement tout Bordel du Vendredi. Vous ai-je dit que nous étions vendredi ? Quel bordel.
Et c'est tout pour aujourd'hui sauf si vous avez la bonne idée de partager ce Bordel avec des amis, des amies ou si vous souhaitez vous abonner pour queutchi au dit Bordel en rescrollant touuuuuut en haut de ce bordel afin de mettre votre adresse mail dans la petite boite "Newsletter". Vous pouvez aussi rejoindre le groupe Facebook d'Après La Pub ici Après La Pub sur Facebook où 2299 fans en délire vous attendent joyeusement (avec cotillons et trompettes) pour ne rien manquer de ce qui sort de ce blog quand j'ai le temps. Sur ce, c'est pas tout mais on ne va pas vous retenir alors bon vendredi, bon week-end et à la semaine prochaine.