26 Novembre 2010
... Un bordel un peu spécial aujourd'hui et même thématique puisqu'il s'agit donc d'un bordel Sex and Drugs and Rock n'roll mais c'est parce qu'il n'y avait plus de Blood, Sweat and Tears et Earth, Wind et Fire n'étaient pas libres. C'est surtout, parce qu'en me baladant sur les sites communautaires étranges d'où je vous ramène pas mal de ces images, je me suis aperçu que c'était Thanksgiving de l'autre côté de l'Atlantique. Et autant les adultes sont ravis de se taper le coquillard de la traditionnelle dinde, autant les jeunes, c'est pas trop leur préoccupation. Eux, ce sont plutôt les plantations. Des libations d'un autre genre. Enfin, vous verrez. Mais commençons par du sexe et là, je vous laisse le choix non pas dans la date mais dans le ou la partenaire. Normalement, vous devriez trouver votre bonheur. Commençons par cette accorte pouliche tout droit venue d'Israël avec ses taches de rousseur, et répondant au doux nom d'Amit. Amit, c'est de la bombe. Ne dit-on pas d'ailleurs : "C'est celle avec qui je dîne, Amit".
Sinon pour les filles, j'ai un Léonard Cohen qui traîne. Mais un bien, hein, un avec regard de braise et poils apparents, au moins.
Pour les graçons, les garçons pardon, ça y est, j'arriuve plus à é"crire, j'ai Diora Baird. Diora, les copains, les copains, Diora.
Sinon pour les filles, j'ai un beau, jeune et barbu Terence Stamp avec du chien. Et du poil. Mais pas mouillé donc il ne sent pas.
Sinon pour les garçons, j'ai deux copines. Deux copines, les garçons. Les garçons, deux copines.
Ah non, tiens, j'en ai deux autres. Choix ardu s'il en est mais si c'est pour 3 heures, je prends celle du dessus.
Sinon, pour les filles, j'ai cet article à casquette, moustache encore naissante et yeux bleus.
Sinon pour les garçons, j'ai des copines déjà au lit comme ça, ça va plus vite et qui ont un tour de reins horrible qui leur fait très mal et ce serait très gentil d'aller chercher de l'huile pour les masser. Merci pour elles.
Elle, elle a très très mal. Elle souffre. Ca se voit d'ailleurs.
Sinon pour les filles, j'ai un Bryan qui a abusé de la laque mais qu'est beau comme un chou comme tout.
Sinon pour les garçons difficiles, j'ai encore d'autres articles en stock.
Attention, offre limitée.
Sinon pour les filles, j'ai plein de muscles, de la TNT mais je ne sais pas ce que vaut la mêche.
Sinon, pour les garçons qui commencent à être un peu chiants à la longue, j'ai ça aussi mais après, j'ai plus rien.
Sinon pour les filles, j'ai aussi ce modèle atypique mais non dénué d'un charme désuet, limite antique.
Attention, à partir de là dessous, ça devient du sexe bizarre. Passez vite si vous êtes catho intégriste.
Sinon, comment parler de sexe et de rock and roll dans le même article sans évoquer les œuvres de Cynthia "Plaster Caster" qui moula les membres virils de pas mal de rockstars dans les années 60, 70, 80, 90, 00 et encore maintenant. Ci-dessous, au centre, veuillez saluer le fier Jimi Hendrix. Le pieux Wayne Kramer (désolé vieux) est à gauche et Dani Doll Rod, à droite. Salut, mes couilles.
Cynthia jeune et une copine, jeune aussi.
Cynthia femme des années 80 et Cynthia en blonde, moins jeune. Très Courtney Lovienne.
Cynthia, une copine sympa toujours prête à donner un coup de main.
Ah ben ça va mieux après un peu de sexe, n'est-ce pas mademoiselle ? Ah ben oui. Allez suivant.
Sexe, c'est fait. Passons à la drogue. Et la semaine fut fertile en images car il semblait y avoir concours de "Montre-moi tes têtes, je te montrerai les miennes" chez les jeunes États-Uniens. Et on peut dire qu'ils ont la main verte, les cons. Et en plus, ils sont en vacances car c'est Thanksgiving et n'ont donc qu'une seule idée en tête : se la mettre à l'envers. C'est impressionnant de voir ça se déverser d'un coup sur le net. Un hhiiiiyaaa général, c'est les vacances. Jamais vu ça. Du lourd.
Ca, c'est pour wigoler.
Ca aussi, il paraît (jamais été tenté).
Quelques mentions légales et on y va.
Leur programme des vacances :
Et la pire de toutes les drogues, c'est celle-là ci-dessous. Totalement addictive.
Comme le disait Hunter S. Thomson en 1972 dans "Fear and Loathing in Las Vegas": "We had two bags of grass, seventy-five pellets of mescaline, five sheets of high powered blotter acid, a salt shaker half full of cocaine, and a whole galaxy of multi-colored uppers, downers, screamers, laughers… and also a quart of tequila, a quart of rum, a case of Budweiser, a pint of raw ether and two dozen amyls. Not that we needed all that for the trip, but once you get locked into a serious drug collection, the tendency is to push it as far as you can". Enfin, voilà. Et aucun prosélytisme dans tout ça.
M'est avis qu'il y'en a deux ou trois qui vont finir les vacances fatigués avec ce programme. Enfin comme dit la dame, joyeux Thanksgiving. De la dinde de premier choix.
Bon, sexe, ça y est et drogue, c'est bon aussi. Alors let's rock and roll all night and party everyday maintenant. Sauf pour le club des 27 qui s'est arrêté prématurément à 27 sinon, ils ne s'appelleraient pas comme ça mais tout autrement comme the White Odissey of the Black Shadow ou Clé à Molette, mais c'est un exemple.
Un Zappa en slip léopard véritable et chaussettes bariolées et plutôt deux fois qu'une, dans un univers végétal factice, c'est quand même du rock. À part ça, il aimerait bien savoir ce qu'il fout là.Nous aussi.
Un petit Alice Cooper. Cause que quand on cause de rock, même en enlevant le maquillage, le sang de poulet et le grand-guignol, y'a du vrai rocker en dessous. Suffit d'écouter sa musique.
Bowie dans l'étincelante beauté de ses années d'or, sortant tout juste de chez Jean-Marc Maniatis (béret en poil de chameau, 99 F à la Redoute) affichant fièrement ses yeux vairons et un port de tête digne de la princesse Grace. Quel charme. Quelle Rock Attitude.
J'ai un Brian Jones en petit tenue de soirée, sobre et élégante, sans chichis. C'est con la vie. Imaginez, il aurait choisi un déguisement de plongeur et ben, il ne serait peut-être pas mort. Et peut-être, c'est déjà mieux que : mort.
Dans le rock, y'a le rock. Y'a le mood. Et y'a le look, Coco.
Le look, le staïle, tu l'as, tu l'as pas.
Dans le Hall of Fame du rock du jour du vendredi car c'est le Bordel, Blondie se fraye une place car bordel de merde, c'est une vraie rockeuse et en plus, elle lèche vachement bien les disques. Un vrai plus dans le métier.
Bon, ci-dessous, c'est du Blues. Et du bon. Mais il vient d'où le Rock, dites-moi ? Il vient de là, il vient du Blues et quand on voit Arthur plagier honteusement Craig Ferguson, on a envie d'aller saluer Jim Belushi, pourfendeur de connerie devant l'Eternel. Comme Ardisson qui vient de faire semblant d'allumer un pétard sur un plateau en disant que l'idée vient de lui venir en loges, aha c'te blague alors que pas plus tard que l'autre jour, le trublion Zack Galifianakis avait allumé un pétard sur un plateau de télé. Quel voleur d'idées cet Ardisson. Mais c'est pas nouveau.
Comme disait Lennon ici il n'y a pas longtemps (oui, John vient souvent à la maison car mon café est bon et mon accueil chaleureux et nous parlons de tout et de rien autour d'un thé avec Jimi et Jim qui adore toujours autant Paris) : "Avant Elvis, il n'y avait rien". Alors le King est là, encore Dauphin, poupin, à l'orée d'une route dorée mais poursuivons.
Après le Dauphin, le cachalot.
J'ai un Clapton dans le plus simple appareil bien que le sien soit doté d'un bon zoom, à vue d'œil.
J'ai John Bonham. Ah non, c'est pas lui. Putain les mecs, vous merdez à la technique. Hoo, du sérieux dans le bordel. On peut pas faire confiance à ces petits Sri Lankais, ils bossent super mal.
J'ai un Iggy Poopin.
Un Iggy moins poupin mais plus cul nu. Et avec un tatou sur le zgueg. Va comprendre, des fois Internet, ça nous dépasse.
Un Iggy plus poupin du tout mais encore en putain de forme avec tout ce qu'il s'est mis pendant longtemps dans le corps et derrière la cravate que jamais il ne porta. Un roc du Rock. Respect.
J'ai une Janis, fouyouyouyou, tellement totalement partie en plein trip qu'elle en déborde sur sa voiture. Une jolie voiture en plus. Janis, c'est pas sérieux. Je sais pas moi, achète une Mercedes Benz.
En cherchant des rockeurs/rockeuses, je suis tombé sur plein de "mugshots", les clichés de la police à chaque arrestation. On ne peut pas prétendre être une rockstar si on n'a pas sa tête affichée devant la toise au moins une fois dans sa vie. C'est comme défoncer une chambre d'hôtel, c'est obligé. Même si on aime pas, c'est comme ça. C'est ça le Rock, un truc ultime. Droit dans ses Tiags, l'ampli à 11, on y va.
L'image du dessus, argh, que j'eusse aimé y être, mildiou de mildiou. Et celle de dessous aussi car un jam avec à la fois Jimi Hendrix et John Mayall à sa droite, je signe tout de suite. Faut que je lui en parle à Jimi la prochaine fois qu'il vient avec John et Jim pour le café.
Deux poules blondes pour trois amateurs de vaudou, c'est pas une bonne idée. Ca va être sanglant.
Et un petit Mugshot canadien pour Jimi et un aussi pour son pote juste Jim sans i pas au Canada mais en Floride. Avec un i entre le r et le d, sinon ça fait juste Florde.
Un Jim jeune, jeune.
Un Jim plus vieux, plus lourd et plus poilu en robe de chambre en soie de Chine (345 F, Les 3 Suisses). À Jim, rajoutons un do, un ré pour avoir un mi qui nous conduit à Jimmy avec un Y et une guitare double quand l'envie le prenait. Jimmy Page, plus rock n' roll tu meurs mais lui, ça l'a bien conservé. Bon les gars, vous revenez, hein, dites ? Allez.
J'ai un Joan qu'en jette pas encore mais ça va venir.
Hé, si on parle de Rock n'Roll, je ne pouvais pas ne pas citer Kiss et d'ailleurs je cite Kiss ici : Kiss. The hottest band in the world même si c'est pas simple à 62 ans tous les jours sur des platforms boots de 30 cm. Vivement la retraite.
Moi, ci-dessus, au milieu, avant ma rencontre avec mon coiffeur actuel. Allez, ci-dessous, du Kurt pris au flash.
Rock n'Roll dit quand même aussi Lou Reed qui se cache derrière sa bouteille de Coca mais on l'a vu, le Lou. Lou y es-tu ? Ben oui. T'es là, Lou. On te voit, arrête de jouer à cache-cache. Des fois, t'es lourd avec ton humour, Lou.
Rock ? Très nettement. Salut Lenny.
Rock aussi, putain de rock ci-dessous avec ces petits jeunes avec un nom de groupe ridicule mais le son est vachement bon et ces chevelus n'ont pas les idées courtes.
Un Joey Ramone qui, avec le bras en l'air comme culmine au moins à 3m30 facile et il aurait mieux fait de faire du basket plutôt que du rock mais d'un autre côté, ça aurait été dommage alors ne changeons rien. Salut Joey.
Un Joe Strummer en conversation avec sa Converse. Très, très rock.
Et j'ai des Cramps. Vers 76. Très très rock aussi.
Filiation logique de tous les gars et filles du dessus, j'ai ce duo qui ferait bien aussi de se bouger le fondement pour aller en studio, faire un truc qui déchire et nous refaire une tournée et nous vendre des tee-shirts, des goodies par milliers mais en nous rendant heureux tout de même. Come on, guys.
Allez, fini le rock, les vies trépidantes, la basse atmosphérique et le beat assassin et passons à un peu d'art non audible mais de l'art de qualité malgré tout avec un magnifique Bacon.
Et un triple Bacon.
Art, illustration ? Daniel Hodgkinson est à mi-chemin mais cette clairière artistique me plaît beaucoup.
Tout comme ce travail de K-Guy à Londres et son œuvre "No blood on your Hands" sur une devanture et avec l'accord du proprio en plus.
"They don't make them like they used to", de Mary Sibande me sied itou.
Comme ce dessin intitulé Moon River qui m'a arrêté. J'ai dû montrer mes papiers.
Et car c'est le Bordel encore et toujours, pourquoi don se priver d'Odilon Redon, dis donc ? Bon.
Un auteur inconnu mais qui gagnerait à ne pas l'être.
Un Burger sur pattes avec tout ce qu'il faut au milieu.
Comme c'est le Bordel, j'ai des idées de cadeaux pour Nawel, des images, des trucs de droite et de gauche que je partage volontiers avec vous et puis qu'est-ce que vous voulez que je foute d'un tel bordel chez moi ? Alors, soyons sérieux.
J'adore.
Un café béton.
Un aspiro taggé.
Une montre ligne de métro à Tokyo.
Le drapeau d'Après la Pub. Je le veux.
Le tee-shirt parfait(ement porté).
J'ai une très jolie petite chose d'Helmut Lang, très sobre, chic et rock n'roll à la fois, un peu canaille mais passe-partout, pour les afficionados ou les... bon, ça suffit, là. Je ne suis pas payé par Helmut non plus.
J'ai une idée magnifique. Pour deux.
J'ai une idée ridicule. Pour un.
J'ai une idée pas con. Pour les pieds de ceux qui sont cons comme leurs pieds et qui ressembleront à des crayons et déjà, pour un pied con, un pied en crayon, ça fait tout de suite moins con.
Après les pieds en crayons, passons à la bague à doigts, très jolie réalisation de Solange Azagury qui s'est pas gourée car c'est très fin et original à la fois.
Sinon, j'ai une valise Fauteuil Club. Le must. Non, elle est pour moi, je ne vous la donnerai pas.
Tiens, à la place, je vous donne le jambon en peluche. C'est cadeau.
Ou ce marque-page, un peu imposant certes, mais en véritable bois en bois.
Sinon, pour au-dessus du lit, j'ai ce joli Darkrucifix.
Ou une montre-cassette, c'est vachement utile une montre-cassette. Surtout si c'est des cassettes Chrome, elles durent super plus longtemps, un peu comme les piles Alcaline mais au niveau de la musique du walk-man, voyez ?
Sinon, j'ai un 33 tours-horloge. Voilà, ça, c'est fait.
J'ai ça aussi mais je ne saurais vous le définir.
Dans le genre indéfinissable, j'ai ça aussi.
Là, par contre, un cadeau super utile. Le lanceur de balles d'entraînement. J'en connais qui feraient bien de se le faire offrir pour Noël pour travailler un peu leur jeu défectueux, enfin, je dis ça, je dis rien, à part "ça"que je viens de dire.
J'ai ces bagues aussi pour compter les points du bout des poings.
Et pour en finir définitivement avec la drogue, j'ai ce spray très utile de fumée pré-fumée.
Bon, avec tout ça, on reste sur le canapé à rigoler mais on s'encroûte. Allez hop, un peu de vélo.
Et après, on attaque la sieste.
J'ai une Kate en babouches (d'accord, on ne les voit pas).
J'ai une sacrée putain de vague.
J'ai un sandwich cochon. Attention, je n'ai pas dit "au cochon", donc tout le monde peut le manger.
J'ai un bateau ivre. Non, un bateau flèche. Enfin, un bateau.
J'ai ce joli article de 66 pour ma femme qui a très bon goût.
J'ai l'avant d'une photo célèbre.
J'ai des capotes sponsorisées avec des slogans réactualisés.
J'ai des talons mortels.
J'ai Yoda en vrai.
J'ai un Melmacien qui traîne à la recherche d'un chat.
J'ai une envie de soleil et d'eau à 29°.
J'ai une Betty Page pas au mieux.
J'ai ce truc, là.
J'ai un arbre qui fait boum, oui, comme le cœur de l'autre Fou chantant à canotier.
J'ai la preuve par l'image (qui est © James Mollison) que tous les singes ne se ressemblent pas.
J'ai un hommage à Julien Guiomard qui nous a quitté cette semaine et Antinéaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa, c'est à peu près tout ce que j'ai à dire. Je sais, je suis incorrigible.
J'ai le Kama-Sutra pour les signes du Zodiaque si vous y croyez. Pas moi.
J'ai des cuillers à absinthe. Des fois que.
J'ai un Ike Turner qui vous emmerde. Et profond en plus.
J'ai un arbre perché. Mais sans corbeau ni ramage ni plumage ni hôte de ces bois.
J'ai un chien écrasé.
J'ai Morrissey, Wharol, Joplin et Tim Buckley et une bonne bouffe.
J'ai un Gil Scott Heron. C'est toujours important d'avoir un Gil Scott Heron pas loin, surtout quand la révolution approche.
J'ai un Cookie en état d'arrestation. Décidément, ils y passent tous.
J'ai un blouson à vendre. Peu servi. Etat quasi neuf. Prix à débattre avec les poings.
J'ai un Musée aussi mortel que les chaussures plus haut.
J'ai quelques 33 tours. Dommage que ce ne soit pas des 45.
J'ai un Stevie Wonder ici. Hé Stevie, on est là. Non, pas ce là là, l'autre là. Laisse tomber Stevie.
J'ai Bob l'Eponge qui a passé une sale soirée.
J'ai un tatouage osé.
J'ai le monde vu sur un Mac des années 80.
J'ai... ah non, j'ai plus.
J'ai je sais pas quoi. Pas bien compris. Jolis pots quoi qu'il en soit.
J'ai ceux qui nous gouvernent. Oui, ils sont tous petits.
J'ai une Vanité Mickey.
Et pour finir avant les messages à caractères informatifs, comme je n'ai plus d'idées, je pose mon Joker.
Allez, finissons-en. Commençons ces messages que tout le monde me jalouse par cette charmante lettre de félicitations dans Variety, envoyée par un certain Steven à un certain Georges après le succès de son dernier nouveau film. Jaloux ? Du tout.
J'ai un message de bienvenue et plein d'autres ensuite.
Voilà, je vous ai à peu près tout dit, à part : "Likez, passez, partagez, offrez ce bordel à qui vous voulez sur votre mur Facebook ou par courrier car plus ce bordel est lu, plus c'est le bordel". Et à mes lecteurs les plus fidèles, j'ai un dernier truc à vous dire. Dimanche, Après la Pub fête son deuxième anniversaire. Je ne ferai pas comme l'année dernière où je vous avais laissé les rênes d'Après la Pub car j'ai mis deux mois à remettre tout en place, quel bordel. Mais envoyez-moi un peu de vous sur pagman@free.fr (une photo de vous, un message, une connerie) et je les publierai dimanche. Bon vendredi, bon week-end et à quand vous voulez.
Et pour voir des bordels ultérieurs si ça vous chante, c'est dessous à gauche dans "C'est Vendredi".