C'est vendredi, c'est comme d'hab' (#21)

... Pourquoi changer ses habitudes quand il y a encore tant de choses à voir, à découvrir, à partager ? Bien que ma semaine fut plus rythmée que d'habitude avec une ballade sympathique mais express à Massilia, j'avais mis de côté quelques perles que je vous propose d'enfiler tous ensemble. Ce Bordel du Vendredi sera donc concis, synthétique et un peu moins développé qu'à l'habitude mais c'est comme ça et puis voilà, on fait ce qu'on peut. Un détail important : un directeur de création s'est caché dans cette article et dans une penderie, saurez-vous le retrouver ? Mais passons. Commençons donc par ces géniales phylactères-étagères pas piquées de vers et en bois de Macassar (je brode un peu, c'est peut-être du Wengé ou du Merisier de Mexique).

Et quoi de mieux pour profiter de ces étagères que de les regarder en se prélassant dans un canapé de qualité, organique à souhait et dans organique, il y a deux mots qui vont très bien ensemble, oui comme dans la chanson avec Michelle, la belle. Particulièrement pratique, ce canapé se range en un instant dès que vous n'en avez plus besoin. Au cas où vous auriez un Chihuahua ou un Yorkshire, vérifiez avant de le fermer, on ne sait jamais.

Oui, ce Bordel du Vendredi est très orienté disaygne mais une fois de temps en temps, moi je dis pourquoi pas. Et puis il y aura de l'art à la fin et puis je fais encore ce que je veux sur ce blog car c'est le mien et en plus, j'aime beaucoup  cette idée de rampe d'escalier façon branche alors voilà.

Allez, fi du disaygne, passons à cet étrange objet appelé Bug Plug. Cette chose bizarre permet d'éteindre certains appareils électriques quand vous n'êtes pas là et de les "réveiller" dès qu'il sent à nouveau votre présence dans la pièce grâce à ses antennes qui vous détectent. Une façon originale d'économiser de l'énergie grâce à ce Bug Plug avec une tête de Monsieur Patate qui aurait violé un extra-terrestre de passage.

Allez, à nouveau du Disaygne, promis, après c'est fini. Mais je suis tombé sur cette réalisation du studio de disaygne Dupoux Disaygne pour un club New Yorkais de house music mais je ne suis pas très House et je ne suis pas retourné à New York depuis que j'avais un an donc je ne connais pas le Cielo à New York. Mais c'est beau le Cielo. 

Enfin, de l'art, vite de l'art et de l'art intriguant, sublime, dérangeant et incroyable de Julia Randall avec cette série de bouches sorties de nulle part, réalisées au crayon à papier et je ne crains pas de dire que Julia maîtrise le crayon avec une dextre insolente. Rogntudjiou que c'est beau. J'adorerai avoir cette série encadrée chez moi.

Allez, un cadeau pour les fifilles et les garçons en même temps avec l'ami Steve Mac Queen qui s'en va en week-end avec du style mais aussi avec une Jaguar Type E cabriolet de toute beauté. Gasp. Argh. Yargla.

Et re un peu d'art pour terminer ce Bordel du Vendredi avec le sublime travail du peintre Lu Cong qui est peut-être marseillais avec un nom comme ça mais rien n'est moins sûr et mes trois jours à Massilia ont probablement biaisé ma perception des choses car avé cet assent de fada, les choses prennent parfois une toute autre dimension. Mais je me renseigne sur Lu Cong, cong, et je reviens vers vous. Bon vendredi, bon week-end et bien à vous. Putaing. Cong.