C'est vendredi, c'est le Bordel #165 (partie 1)

... Mais oui mais tout à fait mais absolument mais alors là, je peux vous l'assurer, c'est vendredi et c'est bien le bordel. J'hésite encore à vous faire subir la litanie de raisons qui me poussent à croire que le bordel est bien parmi nous et partout mais elle serait trop longue, fastidieuse et peu engageante alors merci mais non. Demandez à Cahuzac si c'est pas le bordel, demandez à Balladur si c'est pas le bordel, demandez à Mandela qui ci-gît bientôt là-bas, à Kimberly McCarthy, 500e exécutée du Texas, demandez aux Brésiliens, aux Turcs, aux Grecs, aux Espagnols. Tous en chœur, ils vous répondront que oui, quand même, un peu, c'est un chouya le bordel en ce moment. Alors pourquoi ne pas poursuivre ici, dans sa maison car si le bordel est le bienvenu quelque part et surtout le vendredi, c'est ici sur Après La Pub. Un bordel concoté avec des images vues ça et là toute la semaine, remisées par devers moi dans un petit dossier dès le lundi matin, classées à partir du jeudi et reversées par devers vous aux alentours de jeudi minuit. Et comme malgré le bordel ambiant, le soleil éclot enfin de plus en plus, pensons dès à présent aux beaux jours qui, enfin, s'éterniseront d'ici peu et habillons-nous en conséquence si vous êtes principalement une fille à forte poitrine. dans le cas où vous seriez Mathieu Laugier, ça pourrait le faire aussi mais autrement.

Côté garçons, nous avons un heureux, yes, we have a winner (mais pourquoi je fais Nelson Montfort, moi ?), un jeunot qui le restera éternellement, un Charlton qui se beurre la tartine allègrement, deux princes à fort bel air, un beau, oui, un Bowie, un inconnu quasi nu, un Marty Feldman au top de la coolitude, un John Wayne et quelques Clashs et autres Yardbirds ainsi qu'un soldat pas nazi mais pas loin qui s'essaye à la guitare avec une meuleuse mais n'étant pas un spécialiste du bricolage, je peux me tromper.