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Après la Pub... André Paradis


... Après la Pub, André Paradis, éminent confrère de la période Ammirati Puris Lowe Alice Lintas (en comptant toutes les fusions successives) n'a rien trouvé de mieux que de continuer à faire de la pub mais de l'autre côté de l'Atlantique. Car chez lui, au Québec, c'est bien plus facile de trouver une patinoire où on peut s'envoyer des mandales et se fracasser joyeusement en toute amitié contre des murs de Plexiglas, ce qu'André affectionne particulièrement en sortant du bureau. Comme quoi, une passion, c'est une passion, c'est comme ça, ça ne s'explique pas.


 


Une fois qu'il en a terminé avec les torgnoles, les gnons et les coups de crosses, André poursuit son entraînement en chaise roulante pour se forger un physique d'acier à la Raymond Burr, personnage qui n'a rien à voir avec l'inventeur de la robe de du même nom, rappelons-le. Hé Raymond. Mais c'était surtout pour une bonne cause : la Journée sans Marcher (c'était le 29 mai) sur laquelle travaillait Bos, son agence Montréalaise. Défi relevé.








Ci-dessus, le visage d'André avant son entraînement de hockey. Et ci-dessous, le résultat après l'entraînement. Le Botox, c'est de la gnognotte à côté du hockey sur glace. Enfin, sur glace... sur Plexiglass. Enfin, contre Plexiglass.


 

Il arrive également à André de manger de la côte de brontosaure cuite au barbecue mais là, malheureusement, je n'ai pas réussi à obtenir d'images. Tout comme pour sa relation avec un garagiste nommé Roger ou pour la sloche de Muriel Millard, une spécialité de là-bas mais aucune idée de ce que ça pourrait bien être. Une certitude, André qui se fait également appeler Monsieur Monsieur dans l'intimité la plus intime, a l'air d'être bien à Montréal et c'est quand même l'essentiel, bordel.

 
 
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W
Your article has piqued a lot of positive interest.It entails the story of freienship and simplicity in virtually every domain. I can see why since you have done such a good job of making it interesting.
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A
Content de revoir André, tiens.
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S
trop cool. ça ne me rajeunit pas...j'avais connu André quand j'étais assistante à la young... autant dire en 1932...ça fait du bien de lire ça. Tu le connais toua ossi?
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P
<br /> Tout à fait, nous fûmes voisins de bureau quand nous travaillâmes chez Lintas, où il fréquenta Claire Ravut avant qu'il ne s'éclipsât à nouveau de l'autre côté de l'Atlantique. Et c'est une<br /> personne que j'apprécia particulièrement.<br /> <br /> <br />