27 Janvier 2009
C’est CON mais… (poursuivez)
… c’est bon.
Qu’est-ce qui vous rend CON ?
La connerie des autres.
Le truc le plus CON qu’on vous ait dit ?
Vous êtes apte au service national, félicitations.
À votre dîner de CONS, vous invitez qui ?
Un pauvre con.
Parce que le gros con a des réserves.
Votre CON Premier ?
Mon con premier est aussi con que sa femme est jolie.
Je n’ai pas voté pour mon con premier.
Et je ne m’habitue pas à l’idée que mon con premier va être réélu par des plus cons que lui.
De qui êtes-vous le CON ?
Si j’avais le choix j’aimerais autant être le con d’un con, c’est plus facile à vivre. Parce qu’être le con de quelqu’un qu’on admire, c’est trop con.
Le comble du CON ?
Sa capacité à faire abstraction de sa connerie.
Sa capacité à trouver les autres tellement cons.
CONclusion ?
Il y a fort fort longtemps de cela, je venais d’arriver à Paris, c’était lors d’un soirée étudiante. Alors que quelqu’un roulait un pétard, cette personne s’est rendue compte qu’elle n’avait pas de papier. Elle a demandé alentour qui pouvait la dépanner, et plein de bonnes intentions, et tout naïf, je suis allé chercher des feuilles de cours vierges, les doubles, avec la marge rouge et les petits carreaux et tout, et là j’ai dit sur un ton qui pouvait laisser penser à un humour absolument maîtrisé : « Elles sont pas perforées, c’est pas grave ? » Qu’est-ce qu’on peut être con parfois.