14 Février 2011
... Tout le monde connaît Harold Lloyd pour ses films muets, son personnage romantique et maladroit, même s'il eut moins de succès que Buster Keaton et Charlie Chaplin dans les années 20 et 30. Bref avant le cinéma parlant qui lui a pourri sa carrière aussi sûrement qu'une double fracture tibia péroné avec arrachement des ligaments pour un joueur de football.
Mais on sait moins qu'une fois sa carrière terminée, Harold Lloyd s'était passionné pour la photographie et fut un fervent serviteur de la photo en 3D, laissant derrière lui près de 300 000 clichés tout de même, ce qui n'est pas rien, convenons-en, merci bien. Des images anaglyphiques sur lesquelles il immortalisa ainsi bon nombre de ses amis d'Hollywood.
Candice Bergen.
Glenn Ford.
William Boyd.
Carol Lynley.
Dick Powell.
La splendide Marilyn et même Jayne Mansfield qui devait bien rendre en 3D aussi.
Et lui-même parfois.
Pour retrouver ces images qui sortent du cadre, cherchez sur internet "Harold Lloyd's Hollywood Nudes in 3D", le livre qui compile les photographies d'Harold Lloyd et pas de Maurice Lasbugne sinon ce serait bête.
Harold était aussi un petit coquin derrière ses lunettes rondes de premier communiant. Il aimait bien les filles si possible nues et peu farouches et c'est tout naturellement qu'il travailla pour un bon paquet de magazines masculins dans les années 50 et 60. Tura Satana, que le diable ait son âme et son corps aussi, Betty Page, Dixie Evans (célèbre strip-teaseuse de l'époque) passèrent devant son objectif.
Tura Satanaaaah.
Betty Paaaaage.
Sabrina. Pas la Teutonne à tétons, une autre.
Une Kathy couche-toi-là renversante.
Roni à la plage (Martine était souffrante).
Et une inconnue, nue et poilue. Ah ben bravo Harold. C'est du joli. Et en 3D en plus.