Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

C'est vendredi, c'est le bordel #263

... Diantre, ventrebleu et Montjoie Saint-Denis réunis, nous sommes à nouveau vendredi et il me tarde que flotte à nouveau la bannière du bordel afin de chasser les nuages délétères de la semaine. Taïaut, marauds et ribaudes, oyez, oyez la complainte du bordel par ce doux menestrel qui, eh oh, c'est bon le Moyen-Âge. Passsons plutôt directement au bordel du jour avec une sélection d'images vues dans la semaine, remisées par devers moi et reversées ici, tel ce sublime Seating Egg de Peter Ghyczy (mot compte triple) de 1968, année pas tout à fait érotique mais bien chaude quand même.

C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263

Mais partons dès à présent pas loin de l'aéroport de Minneapolis où de doux dingues ont décidé de reproduire en énorme dans un champ un tableau de Vincent Van Gogh. Pourquoi ? Et pourquoi pas (et le tout est à voir ici blazepress.com/giant-artwork-inspired-by-van-gogh/).

C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263

De Minneapolis, patrie du Purple Kid tout petit, passons à la Corso Zundert, parade joyeuse inspirée très librement de Van Gogh itou dans la bonne ville de Zundert donc, sise dans le bon pays des Bataves à couperose précoce, moulins à vent et enfumages à l'avenant.

C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263

Alors attention : à cet instant du bordel, voici un conseil plus qu'utile pour mes amis amateurs de Métal (j'en ai, je vous vois au fond, là-bas, headbangant de bonheur). N'oubliez pas que jamais, au grand jamais, ni même au petit ou au moyen jamais, vous ne devez écouter du Métal ET vous brosser les dents. Non. On a dit NON. Ça ne marche pas. Voyez ci-bas. Sinon, une Dark Mater pour mateurs amateurs, des chewing-gums pour empêcher vos mains de devenir enceintes dans l'au-delà (oui, ça peut), une perruche à tasse à la masse et si vous voulez bien vous donner la peine de passer par ici, ce serait gentil parce qu'il reste du chemin à faire dans ce bordel.

C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263

Puis-je me permettre de vous proposer ces quelques gifs de qualité sis céant ? Mais alors mais bien sûr, on n'est pas des sauvages comme le disait si bien le regretté Popeck.

C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263

Avant d'être méga hype, l'hôtel Amour était un vrai bordel en 1930, John Wayne était un chaud lapin et on ne le dit pas assez, Freddy Mercury n'était parfois pas au mieux de son sex-appeal même si c'était pratique pour les bières alors que Harry Dean Stanton reste toujours égal à lui-même. Et en sus, deux damoiseaux. On se calme, mesdames.

C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263

Ajoutons un regard octogonal de qualité et des tirailleurs sénégalais, noirs, français et pas forcément judéo-chrétiens, comme ça, pour mémoire. Et si ça ne vous plaît pas, voyez avec les gars plus bas.

C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263

Un peu de Lucas précoce (non, pas l'ailier énervant du PSG), un monolithe qui lévite, un Jimi assez haut aussi et au niveau du gimme five mignon, là, je crois qu'on est bon.

C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263

Sans donzelles, un bordel n'aurait pas lieu d'être alors un dos de marteau, une Sofia Loren pas trop quiche et deux Sylvia Kristel pour le prix d'une, c'est une promo, profitez-en.

C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263

Une Birkin bouclée comme un caniche, une inconnue tout ce qu'il y a de plus slurp et excusez-moi mais j'ai un vol à prendre immédiatement, on m'attend.

C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263

Vite, passons à de l'art avec Joseph Marr qui sculpte le caramel comme d'autres le marbre, avec un gros gourdin pas toujours dans sa housse.

C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263

Enchainons derechef avec les délicats découpages de Timothy Hyunsoo Lee qui, comme son nom l'indique, n'est pas Burkinabé mais après, on ne sait pas, ça peut aussi arriver.

C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263

Je vous rajoute, c'est pour moi, ça me fait plaisir une belle série de gifs artistiques issus de tableaux célèbres que je vous laisse le soin de retrouver (et puis ça m'arrange).

C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263

Passons enfin dans cette partie artistique à Jules Pascin et une magnifique "Maison close" en 1908 et à Petrus Christus, né à Baerle-Duc près de Breda, avec quelques détails fort précis du superbe "Un orfevre dans son atelier, peut-être Saint-Éloi", peint en 1449 (huile sur panneau 98x85 sise au Metropolitan Museum of Art pour ceux qui veulent tout savoir).

C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263

Il est temps désormais de paser aux Messages à Caractères Informatifs de la semaine qui sont au nombre de vraiment plein et qui n'attendaient que vous pour se lâcher et comme vous êtes là, ben, allons-y, lâchons-les tels des Républicains sur un fait divers.

C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263
C'est vendredi, c'est le bordel #263

Et c'est tout pour aujourd'hui sauf si vous décidez de vous abonner à ce blog ou de partager ce bordel avec des ami(e)s en utilisant les boutons Facebook, Twitter, Google+, Linkedin et Pinterest ci-dessous. Mais ne faites ceci que si et seulement si vous avez apprécié ce bordel. Sinon, évitez. Mais bon, vous faites aussi un peu ce que vous voulez.

C'est vendredi, c'est le bordel #263

Pour retrouver tous les Bordels du Vendredi, c'est pas loin, c'est pas là, hop feinte, mais c'est plutôt par ici : le bordel du vendredi

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
F
Orange. Orange psychédélique. Une intro qui m'embarque tout de go dans un état de béatitude qui n'a rien à envier à Jimi & co en mode flower power. Délirant ! Délirant comme ces caramels loin d'être mous. Quant l'art devient une friandise, ça colle aux dents, bordel. "Délicats découpages" : délicat. Moins délicate que la formule consacrée par Saint-Eloi : votre majesté est mal culottée, comprenez allez tous vous faire enc****r. Peinture à l'appui ! M.C.I. : You are made. Flower power ou Psycho à go-go, le fait est que bugs bunny n'a ni anus, ni...Devons nous légiférer ?!
Répondre
C
Dès le démarrage vous oubliâtes VERTUCHOU (mon préféré avec diantre en fait !), mais vous êtes très largement pardonné bien évidement puisque PARBLEU, vous nous réjouissez chaque Vendredaille...
Répondre