Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

C'est vendredi, c'est le Bordel #481

Mais dites, ne serait-on pas vendredi ? Mais bave de cornofulgur, bien sûr ! Et autant la semaine dernière, ayant été bloqué dans un parking pour une bête histoire de fuite, ça n'avait pas été possible de bâtir un Bordel digne de ce nom pour vous, autant là, maintenant, tout de suite, les esclaves dans la cave et moi-même ayant plus de réseau, ça entre à nouveau dans le domaine du possible. Alors allons promptement vers ce 481e Bordel du vendredi qui nuira au moins 5 minutes à l'activité dans votre entreprise et c'est toujours ça de gagné que le CAC 40 n'aura pas. Et comme tout est gratuit au Bordel, je vous ai loué une petite bicoque toute simple, sans chichis, pour oublier les aléas de la vie, les petits tracas dans une piscine à 28°, le tout avec une vue imprenable sur quelque part, étant donné que j'ai eu la flemme de chercher où c'était.

C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481

Noël approchant, on va tous se gaver et autant le faire avec style et avec rythme en commandant des galettes à déguster autant avec les oreilles qu'avec les yeux qu'avec les papilles. Je ne sais si La Fabrique des Saveurs à Ruffec, douce Charente, peut vous les envoyer mais c'est pour ça que je vous ai mis leur numéro de téléphone car quand même, vous êtes assez grands pour vous démerder. S'il y a un Love Gun de Kiss, vous pouvez me l'offrir avec plaisir (mon adresse en message privé). 

C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481

On ne sait jamais, ça peut toujours servir : une table de conversion en inches, en mètres et en bananes car il est possible qu'un jour, la banane soit une valeur de mesure et autant être prêt à affronter cette réalité. Et une fois que vous aurez apprécié cette carte de la densité des villes françaises en 3D, vous pourrez passer par cette porte tridimensionnelle en forme de gros rond de fumée pour atteindre la suite de ce bordel.

C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481

Ah ben tiens, vous voilà. J'en profite pour partager avec vous (et pas "vous partager", horreur, malheur) ces illustrations de 1899 par Jean-Marc Cote sur la vie dans les années 2000 telles qu'on l'imaginait 101 ans avant. Du faux et pas mal de vrai, finalement.

C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481

Si ça vous tente d'aller faire un petit tour au crépuscule dans le Denali National Park en Alaska, ça tombe pas mal car Ania Tuzel l'a photographié pour vous et l'un dans l'autre comme disait la jeune mariée, ça tombe pas mal tout ça.

C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481

Comme il reste encore de la route dans ce Bordel, autant la faire dans une Fiat Multipla, dans de bonnes conditions et avec beaucoup de style puisque vous êtes invités, oui toutes et tous, à prendre place dans ces sublimissimes BMW 507 disponibles dans les couleurs de votre choix. Attention, il y a des pièges dans cette série où deux intruses se sont infiltrées. Pas facile, je vous l'accorde mais le Bordel du vendredi n'est pas donné à tout le monde. Ah, si.

C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481

Il est si bon parfois de rentrer chez soi et ce ne sont pas James Brown à Curlers dans le Queens (par Diane Arbus, 1966), David Byrne devant un bon bol de céréales en 1970, Peter Falk à la cool sans sa femme qui lui dit tout le temps des trucs et Anita, rhâââ, Anita, benaise sur son canapé qui diront le contraire.

C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481

Passons quelques instants dans les coulisses du film "Metropolis" de Fritz Lang avec les petites mains talentueuses qui y ont contribué et dans les ateliers de deux grands noms de la musique, Hans Zimmer et son synthesizeur Moog Modular de fort joli gabarit et Leo Fender en juin 1959 avec son pote Luther Perkins en train de travailleur sur un prototype d'ampli qui va jusqu'à 11. Une révolution. Quant à Morticia Addams et King-Kong, ne me demandez pas ce qu'ils font là, c'est leur vie, c'est leur droit, Gomez n'est pas là et ça ne nous regarde pas.

C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481

Et puis si ça ne vous plaît pas, voyez ça avec Johnny Cash actuellement au Columbia recording studio et photographié par Leigh Wiener en 1961 mais si vous insistez, il veut bien aller s'expliquer avec vous dans la rue, le blanc des yeux dans le blanc des yeux.

C'est vendredi, c'est le Bordel #481

Il est temps, c'est syndical, de se mettre quelques instants en pause. Boris Karloff en profite pour s'en griller une petite sur le tournage de “La momie”(1932), les Strokes en profitent pour défoncer le canapé mais pas seulement, Freddie Mercury nous propose une séance de double air-wanking et Tom Petty est déjà reparti. Hé Tom, la pause ? Tom pas trop pouce.

C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481

Alors que Sonny et Cher, eux, respectent la pause syndicale avec un professionnalisme et une ponctualité qui les honore, comme le disait la délicieuse madame Blackman.

C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481

Et puis si ça ne vous plaît toujours pas, démerdez-vous avec Godzilla une fois qu'il a fini de mettre sa raclée à Megalon.

C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481

Que nous reste-t-il ? Une très jolie paire de lunettes Mughal originaires d'Inde. Diamants et émeraudes, un truc simple et discret (la monture est du XVIIe, les verres du XIXe), une double mappemonde pour réviser un peu de géographie et si vous avez une petite soif, une table vous est réservée au Grasshopper Café, quelque part in South Korea, pas loin de l'atoll de Pom Pom Galli, dans l'océan South Pacific.

C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481

Comme je sais que vous aimez les curiosités, sinon vous ne seriez pas des régulier(e)s au Bordel, je vous ajoute l'une des toutes premières publicités filmées, celle pour les cigarettes Admiral en 1897, avec déjà un certain sens du placement produit. Plus gros le logo on a dit.

C'est vendredi, c'est le Bordel #481

Allez, hop, hop, hop, quelques efforts en empruntant ce magnifique escalier (image : Genevieve Barnhart à Tomar, au Portugal en 1979) et c'est reparti vers la fin du Bordel du vendredi.

C'est vendredi, c'est le Bordel #481

Il reste quand même des choses à ne rater sous aucun prétexte dans ce Bordel du vendredi n°481, comme James Dean hésitant entre "The power of love" et "Smalltown boy" sur le juke-box à Marfa, Texas en 1955, Fredric March et son cocker spaniel sous la pluie en 1944 (photo par Nina Leen), une Elisabeth Montgomery vraiment très hotte et mais non mademoiselle, mais enfin mais pourquoi ? La honte, oui, pas le haut. Alors. Non mais.

C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481

Qu'avons-nous encore en magasin ? Mais une photocopieuse dernier cri qui ravira votre secrétaire, des radios qui n'en sont pas et un ananas qui n'est pas une radio (difficulté : moyenne), des chaises empilées en pagaille si vous avez un coup de mou et une magnifique lampe avec abat-jour, ah non, ah bonjour madame. 

C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481

Enfin, tout ça, ça en bouge une sans remuer l'autre à Syd Barrett chez lui à Londres en 1969. Salut Syd. Hé Syd. Allo Syd ? Laissons tomber, le diamant fou a cessé de briller.

C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481

Bien avant Pirelli et Victoria's Secret, la marque d'accessoires d'outils Ridgid avait compris l'intérêt de la tête de gondole, d'abord avec des pin-ups d'encre et de papier puis avec des donzelles de chair et d'os et d'encre et de papier. Dont Raquel. Rhâââ, Raquel. Salut Raquel.  

C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481

Tiens, d'ailleurs, en parlant de donzelles, ajoutons céans Madame Shakira Caine en conversation avec son dessus de lit, Julie London défiant les lois de la gravité ou sortant d'un chili con carne détonnant et Pam Grier parce que Pam, comme Raquel, comme Claudia, est toujours invitée au Bordel surtout avec cette combinaison rose échancrée de toute beauté.

C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481

Oui mademoiselle, oui, nous y arrivons. pas besoin de vous impatienter à faire la toupie comme ça, on vous a vu.

C'est vendredi, c'est le Bordel #481

Comment ne pas évoquer la disparition récente d'une donzelle exceptionnelle à la fois dans sa carrière et dans sa vie de femme de conviction ? Adieu Mylène, forte femme malgré les apparences de petit bonbon. Quelle superbe carrière et quel magnifique sourire.

C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481

Et puis si ça vous plaît, cœur sur vous et plein de bisous.

C'est vendredi, c'est le Bordel #481

Vite, passons à de l'art avec Cecily Brown, The Sleep Around and the Lost and Found de 2014, Claude Francis Barry, The Canal, Evening, en 1964 et le sublime Fleur du mal de 1913 par Adrien Henri Tanoux. Et ce qui est Tanoux est à vous.

C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481

Ajoutons un soupçon de George L.K. Morris, de Lee Ufan, Untitled et de Pino Pascali, Muffa, de 1959 et là, on commence à être pas mal.

C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481

Et il est temps de passer aux célèbres Messages à Caractères Informatifs que vous attendez depuis un certain temps et même depuis un temps certain alors ne tournons pas autour du pot plus que de raison et enchainons.

C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481
C'est vendredi, c'est le Bordel #481

Et c'est tout pour ce Bordel du vendredi n°481 que vous pouvez partager avec qui vous voulez dans la mesure des stocks disponibles (et y'a ce qu'il faut). N'oubliez pas que vous pouvez vous abonner à ce blog en mettant votre mail dans la case Newsletter et que vous pouvez le suivre comme 2500 fans en délire dans sa page dédiée sur Facebook ici Après La Pub Facebook. Sur ce, c'est pas tout mais y'a un Nordmann à couper à la hache, une nouvelle aile de maison à offrir à Jeff Bezos alors bon vendredi, bon week-end et à la prochaine.

C'est vendredi, c'est le Bordel #481
Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
B
vous suis depuis le début, toujours aussi drôle, étonnant, instructif, ...
Répondre
P
Merci à vous :)
L
épatant de découvrir Mylene en pin up alors que je l'ai toujours connu agée..<br /> faut que j'en parle à mon pere :-)
Répondre
M
Moi j'ai adoré les maisons....Vous êtes super inspirés au fond de la cave..........
Répondre