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C'est vendredi, c'est le bordel #292

... Oui, à nouveau, nous sommes vendredi et à nouveau, cette semaine fut un sacré bordel à défaut d'être joyeux. Le Bordel est partout, des grèves (one again a fly) aux inondations, de Trump qui décroche l'investiture Républicaine à la baston à Fallouja qui remet ça. Et en ajoutant le maire de Boulogne-Billancourt qui veut fusionner avec Issy-les-Moulineaux bientôt sous les eaux, sans demander un seul instant l'avis des habitants (pas pour noyer Issy, hein, pour fusionner), je suis sacrément colère et vent debout contre cette manière de faire. Si vous appréciez le bordel et si vous trouvez normal de choisir un peu ce qui se passe dans votre ville, vous me feriez TRÈS plaisir en signant la pétition ci-après contre-la-fusion-entre-boulogne-billancourt-et-issy-les-moulineaux-sans-concertation et en la partageant partout autour de vous. Et comme on ne doit jamais savoir à quoi s'attendre dans le bordel, je vous prends en dépourvu, en traître, au débotté ha ha, en commençant, bam, par une énorme moisson de gifs dans ta face. Yes, right now.

C'est vendredi, c'est le bordel #292
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Afin de prolonger ce vent de folie (et tu danses, danses, danses ce refrain qui te plaît), poursuivons par un petit détour au niveau du Studio 54 avec quelques amis dont Eartha Kitt, oui, Catwoman elle-même, Grace Jones, Andy Warhol, Keith Haring, les Village - Y, M, C, A - People, Michael  - I just can't get enough - Jackson, Jane - Barbarella - Fonda, Divine juste divine et plein d'autres célébrités perdues dans la masse. Ou la mousse.

C'est vendredi, c'est le bordel #292
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Pâmons-nous devant la sublime réhabilitation d'un appartement déjà eud' pas mal par les talentueux architectes Correia et Ragazzi et si vous voulez voir plus de réalisations, c'est par ici correiaragazzi.com et si vous ne voulez pas, c'est par là.

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Faisons un détour parce que c'est joli et par cet immeuble de Kees Scherer et par la Kugelhaus de Peter Birkenholz à Dresde en 1928 mais cherchez pas, elle est désormais détruite. Et pour le reste de ce bordel, merci de suivre le monsieur loin là-bas qui yodle de dune en dune.

C'est vendredi, c'est le bordel #292
C'est vendredi, c'est le bordel #292
C'est vendredi, c'est le bordel #292

Une petite infographie pour les amateurs de Donald, une moquette pectorale détachable et lavable, un tee-shirt du Fonze, un petit cocktail sur le pouce, enfin, manière de parler et je suis ravi de vous présenter ce magnifique briquet en chocolat qui peut servir sauf si vous êtes doublement manchot, d'où l'adage "Pas de bras, pas de briquet en chocolat" qui reste néanmoins disponible si ça vous tente ici chocolate-refillable-butane-lighter.

C'est vendredi, c'est le bordel #292
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Passons à Jean Harlow et son regard n°2, Bette Middler et un gros truck, des mains baladeuses heureuses, une Camille Claudel qui burine, qui burine, qui burine, Olinka Berova, actrice tchèque qui check au niveau des nouveautés des LP d'importations japonais et, ah, excusez-moi, un appel. Oui ? Non, je ne veux pas soutenir la campagne d'Henry de Lesquen, oui, j'aime la musique nègre, oui, je suis cosmopolite, oui je vous emmerde, non, je vous pisse à la raie et bonjour à monsieur le curé.

C'est vendredi, c'est le bordel #292
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Secouons-nous le popotin avec les O'Jays ou Screamin' Lord Sutch qui s'appellait peut-être Eugene (fais gaffe avec la hache, Eugène), passons de suite à des bisons en plein Wyoming (par Matt Anderson) et quelques moyens de locomotion non dénués de charme tels cette Lamborghini Miura, cette Lotus amphibie, cette Type E de toute beauté, cette 911S pas dénuée d'intérêt, une petite Ferrari pour l'école buissonnière, une Rocket Dungeon pour les amateurs de S&M sur la route et une Corvair Allegro II parce que je fais ce que je veux, vu qu'ici c'est un petit peu mon blog.

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C'est vrai qu'elle a foutu un peu le bordel dans les internets cette semaine alors il eût été dommage de se passer ici aussi au Bordel de la plastique pour le moins alléchante de la sublime Audrey Fleurot dans Lui.

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Mais si vous n'êtes pas très rousse, ben vous êtes difficile tout de même, mais il reste aussi Anaïs Pouliot, une belle de profil, une belle de face, une belle presque de dos, une Jane Mansfield avec ses ananas à la main, une Claudia qui se tient encore plutôt bien, une Monica qui ne bouge pas, non, ne bouge pas Monica et oups, pardon, excusez-nous messieurs dames, on ne fait que passer. Allez, on circule, on circule, bande de voyeurs.

C'est vendredi, c'est le bordel #292
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Un petit coin de lune, un peu de Hollande qui donne envie (c'est pas tous les jours) et il est temps de lâcher les watts pour poursuivre dans ce bordel sur les chapeaux de roues. Ou les jantes. Ou la fourche. Ou rien.

C'est vendredi, c'est le bordel #292
C'est vendredi, c'est le bordel #292
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Allez, quelques damoiseaux avec un Harrison tout frais, Aidan Quinn et Jeff Goldblum en plein câlin, Orson Wells sans poils ni cigare, un Sean choupinou, Pier Paolo Pasolini et Alberto Moravia en Inde en 61 et deux Stanley Kubrick, l'un époque pré-Noel Godin, l'autre en plein Spartacus et d'ailleurs, ça me fait penser que je ne vous ai jamais demandé si vous aimiez les films de gladiateurs. C'est fait désormais.

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Et puis si vous n'aimez pas (le bordel ou les films de gladiateurs ou les deux) voyez avec le monsieur plus bas.

C'est vendredi, c'est le bordel #292

Vite, passons à de l'art avec Angela Bullcok (le machin rose), Charles E. Nevols (le machin noir), Jane Cornwell (le machin beige et gris) et André Kertesj (le machin tout bizarre avec des courbes cheloues et des poils qu'on voit pubien).

C'est vendredi, c'est le bordel #292
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Ajoutons Juan Francisco Gallego Sánchez mais aussi Osamu Shiihara (Sans titre, vers 1940), Peter Drahoney en 1977 et Piotr Potworowski (Scrabble 95 points).

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Et il est l'heure de passer aux célèbres Messages à Caractères Informatifs de la semaine qui sont tout frais puisque de la semaine et informatifs mais seulement si vous le voulez bien et si vous ne voulez pas, ben je sais pas, démerdez-vous.

C'est vendredi, c'est le bordel #292
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Et c'est tout pour aujourd'hui mais n'oubliez pas qu'un Bordel partagé sur Facebook, Twitter ou autre vous donne droit à un bordel gratuit la semaine prochaine et que vous pouvez vous abonner pour la ridicule somme de 0 euro à ce blog en allant tout en haut à droite (rescroll, rescroll, rescroll). En attendant, permettez-moi de vous souhaiter un bon vendredi, un bon week-end et à la semaine prochaine (ou dès lundi si vous vous abonnez).

C'est vendredi, c'est le bordel #292
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