C'est vendredi, c'est le Bordel #218

... Au douxième coup de minuit, Cendrillon vit son caro... ah non merde, c'est pas ça, au douxième coup de minuit sonna l'heure fatidique de l'arrivée du vendredi puisque bon, nous étions jeudi et après minuit, bref, c'est vendredi et c'est pas qu'un peu le bordel entre l'Ecosse qui dit oui qui dit non, la grève à Air ne m'appelez plus jamais France, l'Irak où ça va bientôt péter français, des islamistes arrêtés jusqu'en Australie (mais jusqu'où iront-ils ? Papouasie Nouvelle-Guinée ?) et des exemples, y'en a des palanquées dans vos journaux alors il n'y a aucune raison que ce ne soit pas le bordel ici aussi avec une sélection d'images vues dans mes pérégrinations de la semaine, remisées par devers moi dans un petit dossier pour ne rien perdre et reversées par devers vous ici même avec un bouquet garni de mots choisis comme coccyx ou rhododendron ou hâchoir comme ce très joli sac seyant saignant.

Ca y'est, c'est le bordel partout sur le bureau. Heureusement, en quelques années, la technologie nous aide à faire le vide autour de nous et aussi dans notre for intérieur. Non, jeune, pas la flore, on n'est pas chez Danone, là. Le for. Ah, mauvaise réponse, rien à voir avec le Père Fouras. Cherche encore.

Allez, un petit thé ou de la vieille pisse de panthère (marque authentique) ce qui revient à peu près au même et sur ce, je vous ajoute un avocat car on a toujours besoin d'un bon avocat pas trop loin de soi.

Une très belle chaise de Louis Dierra de 1939, un tournevis absolument pas de Louis Dierra ni de 1939 au cas où vous le pensiez (mais en fait, non) mais fort utile en cas de tuile et un cerbère en boite et franchement, si ça vous tente, ouvrez Chrome, allez sur Google Images, droppez une des images ci-dessous et vous trouverez certainement un lien pour pouvoir l'acheter. Ma bonté a des limites, oh, hé.

Saluons comme il se doit, soit en penchant le bassin vers l'avant tout en créant un large mouvement circulaire en huit du bras droit avec un peu de classe boudiou, le retour du Spirit sous la plume de Darwyn Cooke. Bon courage, cher Darwin pour l'évolution (aha) de ce personnage mythique. En théorie (re aha), pas évident de passer après Will Eisner.

Passons ensuite à cette cartographie européenne à visage humain, cette partie de ball-trap tout ce qu'il y a de plus officielle et ces cuillères à absynthe, comme ça, c'est fée.

Rendons hommage à Joan Rivers qui disait "Never be afraid to laugh at yourself. After all, you could be missing out on the joke of the century" et elle n'avait pas tout à fait tort, limite, parfaitement raison et embrayons sur des pigeons avec une marionettiste, oui, dis-moi tout, marionettiste, j'ai des ficelles à mon destin, tu me fais faire un tour de piste. Mais où je vais ? Je n'en sais rien. Et sinon, Lou Reed qui fume.

Avant de basculer dans la suite de ce bordel, merci de ne pas oublier de bien suivre le guide en corset et porte-jarretelles (ici, c'est le bordel), puis prenez par le bull-terrier in the sky without diamonds et si vous en voulez deux doigts de plus, c'est possible. Un verre avant ? Aussi.

Passons faire un tour dans le monde merveilleux de Tippi (comme Hedren) Benjamine (comme c'est ma cousine, ah non, c'est Bécassine) Okanti (comme mangouste en langue Ovambo) Degré, heureuse fille des photographes animaliers Alain Degré et Sylvie Robert, en Namibie où elle est naquit et vécut pendant 20 ans. Bon, elle a grandi depuis mais pour en voir plus, son site est ici : http://www.tippi.org

Allez, les filles, cette semaine, du mec, du old school, du rasé de près, du repris de justesse, du gangster pur jus de citron pas trop pressé car y'a la barbe à tailler. Et Gene. Salut Gene. Important Gene car là où il y a Gene, il y a du plaisir.

Pour ces messieurs, merci d'applaudir chaleureusement Dorian Dennis, star burlesque s'il en est, avec des courbes s'il en est et il en est. Et plutôt deux fois qu'une, principalement de part et d'autre.

Ah, Dorian insiste pour nous faire un petite danse de son cru. Avec de tels arguments, on ne peut rien te refuser, Dorian. Le Bordel est tien.

Mis à part Dorian, il me reste de côté quelques donzelles de qualité, sélectionnées avec soin et les yeux car c'est mieux. Sans, c'est tout pourri, une fois j'ai eu une Nadine Morano dans le lot.

Et puis si ça vous plaît pas, voyez avec Sofia mais je vous préviens, c'est une Italienne. Elle n'est pas commode. Ni bureau ou armoire, des fois que vous vous demandiez. Mais non.

Sur ce, je vous rajoute quelques gifs, c'est ma tournée.

Vite, il est l'heure de l'art avec une superbe composition de l'Anglais Bryan Winter, "Hill Landscape", de 1954 ou 55, il reste un doute, Jean Xceron avec "Peinture 210" de 1937, là, pas de doute et l'Écossais Jim Lambie, avec "Metal Box (Summer Breeze)" de 2010.

Ah, Réné, René Magritte et sa "La race blanche" pourtant si hottentote en 1937, Edouard Manet par Berthe Morisot à l'Île de Wight en 1875 soit quelques jours avant le concert exceptionnel de Jimi Hendrix et Max Weber, "The Fisherman" de 1919. Parce que je fais ce que je veux ici, c'est mon blog.

Un peu de Keith Haring au coin mais au point et "Photogram (7)" de 1928 par Stevan Živadinović et je vous raconte pas comment j'en ai chié pour trouver les bons accents.

Il est l'heure de passer aux célèbres Messages à Caractères Informatifs car si on passait aux calendes grecques à ce moment là du bordel, ça foutrait trop le bordel au niveau du timing.

Et c'est tout pour aujourd'hui mais avant d'aller vaquer à ce que vous voulez, n'oubliez pas de vous abonner pour ne rien manquer de ce blog, de partager ce bordel avec les gros boutons ronds tout en bas de la page. Vous pouvez (exemple non contractuel) offrir ce bordel à un ou une amie qui n'y est encore jamais allé(e), vous pouvez twitter et retweeter ce bordel avec le hashtag #BordelDuVendredi auquel vous pouvez même adjoindre le n° 218 du jour en disant tout le bien que vous en pensez en moins de 140 caractères, vous pouvez le Google+er, le Pinterester et le Linkediner. Mais ne faites tout ceci que si et seulement si vous avez apprécié ce bordel. Sinon, évitez, ça me vexerait. Et si vraiment, vous l'avez apprécié beaucoup beaucoup, vous pouvez me laisser une petite piécette sur la table de nuit, oh oui mon chou, et participer au bien-être du proprio du bordel en versant ce que vous voulez sur Leetchi ici leetchi.com/solidarite-au-bordel-du-vendredi, ça prend une minute et c'est sécurisé. Et sur ce, c'est pas tout mais bon vendredi, bon week-end et à la semaine prochaine. 

Pour les articles de la semaine qui vient de s'écouler, il y eut les délicieux fruits-concis lundi et hop, encore-un-petit-perno mardi et rien mercredi par manque de temps et les superbres miniatures de lorraine-loots jeudi et pour tous les bordels du vendredi, c'est par ici le bordel du vendredi et là, zobi, c'est fini.