2 Octobre 2014
... Oui, tout de même, 220 bordels quasi consécutivement, à quelques exceptions près indépendantes de ma volonté, dues à des problèmes techniques principalement ou des mutineries de mes (ex) esclaves dans la cave, 220 condensés de semaines chargées en images, en questionnements essentiels tel "Tiens, ai-je bien pensé à sortir la choucroute du frigo ?" ou "Putain, mais où sont mes clés ?", 220 résumés hebdomadaires de mes pérégrinations sur le net avec des images remisées par devers moi et reversées ici le vendredi dans un ordre presque réflechi. Ca commence à faire un bail dont on ne connaît pas la durée à l'inverse du lustre qui fait dans les 5 ans. Bref, le bordel est de retour en 220e semaine car s'il est chez lui ici, il ne s'arrête pas en si bon chemin partout ailleurs du deuxième meeting du président, enfin futur président, enfin peut-être futur président de l'UMP de retour comme en 40 à Gérard Depardieu qui est parti pour ne pas être tondu comme en 45, de Hong Kong qui gronde à Levallois où Balkany refuse de payer sa propre dette, de George Clooney marié à Johnny qui repart en tournée, on peut dire que le bordel est bien là et ici aussi avec ce splendide dessin de Run DMC au télécran et pan, prends ça dans les dents.
Si vous voulez bien vous asseoir confortablement sur ce fauteuil-valise de qualité, eh ben vous aurez bien raison car le bordel sera long, d'où ces petites crèpes pour ne pas flancher sur le bas-côté. All you need is love certes mais avec de la pâte, du beurre et du suc', c'est encore mieux. Et n'allez pas chercher ça ailleurs qu'au bordel, y'a pas.
Passons si vous le voulez bien et si vous ne voulez pas, je m'en fous d'une force à ce dessin original de Joseph B. Friedman dont le nom ne vous dira probablement rien mais si je vous annonce qu'il est le créateur de la paille flexible, là, quand même, ça pose son homme. Là, juste à côté de la menthe à l'eau. Et dans la même idée, appréciez l'ingéniosité de ce pont hop, je suis là, hop, je suis pas là, situé sur Merchant Squareà Londres par Knight Architects + AKT II et un kiwi, deux kiwis, trois kiwis, quatre kiwis, kiwikiwikiwi, ah non, juste deux demi kiwis. Mais précis.
Enchainons avec cette affiche de Godzilla contre Opinella (une cousine de Marine car comme le disait si bien Tino Rossi, Marine est là, même si on ne la voit pas bien) ainsi que quelques heaumes de toute beauté issus de différents musées eud' partout à travers le monde. Et je vous rajoute un Bart à mamma, à ne pas confondre avec Barbabapa qui n'est pas poilu, lui.
Pour une fois, un peu de pub dans Après la Pub avec cette remarquable campagne Nescafé par l'agence Prodigious Norge, sise à Oslo, sise elle-même en Norvège. Un seul mot : BRAVØ !
Ajoutons ensuite cette série inédite de 79 des fabulous Blues Brothers par Norman Seeff. C'est toujours un plaisir de revoir Jake et Elwood.
Allez hop, un petit rafraîchissement pour tout le monde avant de bien vouloir poursuivre plus en avant mais ci-dessous avec un quadruple Bruce Lee, un Rork et un Tattoo de l'espace et une punkette à crête comme il se doit et parce qu'ici, c'est mon blog et je fais un peu ce que je veux.
Cette semaine, il n'y aura seulement que deux gifs mais attention, deux gifs de qualité. Et d'un.
Et de deux.
Mais sans transition, ench... oh excusez-nous pour le dérangement messieurs dames, on s'en va. Dis donc, il se passe de ces trucs au bordel.
Alors la semaine dernière, des complaintes, principalement féminines, bla bla bla, y'en a que pour les mecs bla bla bla, on en veut, des durs, des vrais. Et hop, voilà. Bandez (muscles, hein), relachez. Et on recommence. Nnnng. Aaah. Voilà. Et on se rhabille.
Mais les damoiselles ne seront pas en reste avec, en ouverture, Donna Drake en 1942 et une palanquée d'inconnues qui gagneraient à ne pas le rester trop longtemps (donne ton 06 dans les commentaires et je te rappelle).
Et puis quand même la troisième plus belle femme du monde après la mienne et Claudia Cardinale à 25 ans pile ex-æquo, j'ai nommé la sublimissime Christie Turlington devant laquelle vous pouvez tous et toutes vous pâmer dans une série d'Ellen Unwert. D'où l'origine de l'expression : "Unwerth et des pâmures". Ah mais c'est qu'on apprend des choses au bordel.
Et puis si ça vous plaît pas, voyez avec madame. Elle a son caractère et en sus, un M16 chargé mais après vous faites comme vous voulez.
Vite de l'art avec deux artistes cette semaine : Joanne Greenbaum, une américaine qui me botte bien et à la suite, les incroyables installations de Joris Kuipers.
Il est parfaitement l'heure de passer aux célèbres Messages à Caractères Informatifs qui sont venus en nombre et il est même paire, si vous voulez tout savoir car ils sont 50 en tout et pour tout et là, oui, je sais, je brode mais que voulez-vous, quand on aime écrire, on capte la moindre occasion dès qu'elle se présente et la page blanche me tend les, ok, je sors.
Et c'est tout pour aujourd'hui mais avant de quitter le Bordel, n'oubliez pas de l'offrir à un ami, un inconnu, un moine bouddhiste finlandais albinos ou un collègue en le partageant sur Facebook, Twitter, Pinterest et Google + avec les gros boutons ci-dessous. Ou bien, vous pouvez aussi mettre un prix sur ce bordel et contribuer généreusement à sa cagnotte sur leetchi/bordel-du-vendredi. Mais ne faites tout ceci que si et seulement si vous l'avez apprécié, sinon c'est pas d'jeu. Sur ce, bon vendredi, bon week-end et à la semaine prochaine.
Pour ceux ou celles qui ne seraient pas rassasié(e)s par cette dose de bordel, il suffit de vous abonner tout en haut de ce blog ou, autre option ultime, il me reste à vous proposer les articles de la semaine avec du Carver gravé dans la pierre dans c-est-lundi-c-est-poesie et puis aussi du Olafur Eliasson de qualité dans in-the-middle-of-the-street mardi et une excellente initiative à promouvoir absolument dans 2-b-free mercredi et ah, vanité quand tu nous tiens dans vanita-tease jeudi et sinon, pour vous refaire les 219 Bordels précédents, c'est par ici le bordel du vendredi alors que par là, non, ça ne sert à rien de creuser car il n'y a rien on vous dit, vous êtes dur d'oreille quand même.