8 Octobre 2015
Mais tout à fait absolument, nous sommes à nouveau vendredi telle une malédiction récurrente qui planerait sur nos têtes hebdomadairement parlant. Et le vendredi, en ces murs, enfin, en ces pages, il est de coutume de mettre un chouya le bordel avec une sélection d'images vues pendant mes pérégrinations sur le net dans la semaine, remisées par devers moi et reversées ici dans un ordre presque organisé mais pas tout à fait et c'est pourquoi je me permets de vous rajouter un peu de café pour vous réveiller du bon pied (donc du bon œil itou) avec l'aide des subtiles réalisations caféinées de Carter Asmann. Avec un nom pareil, l'a pas dû avoir une enfance facile, le Carter.
Merci de bien vouloir toutes et tous embarquer à bord de cette sublime Firebird III de General Motor et de 1958. La Firebird III, à ne pas confondre avec la II et encore moins la I, attention, déconnez pas. Et essuyez-vous les pieds.
Passons à un cri qui vient de l'intérieur mais qui sort bien en couleurs vers l'extérieur, un tattoo de race vraisemblablement blanche ou juste humaine, un sac chargé et là, c'est le moment de vous tourner vers votre voisin(e), collègue, ami(e), contrôleur(euse) fiscal(e) et de faire une pause câlin. Maintenant. Tout de suite. Là, c'est bien.
Deux bolides de plus, un concombre ou une courgette (je ne sais jamais) de calibre conséquent et une pizza format "Y'a Jackie et Michelle qui viennent ce soir à la maison avec des potes, ramène quelque chose".
Au niveau des gifs, on peut dire ce qu'on veut mais on peut aussi dire qu'on est bien, hein, oui, on est bien. Et ce, sans l'aide de Tintin car il est parti se refaire une santé chez les Picaros et c'est son droit le plus strict. Merci de le respecter.
Au niveau des demoiseaux, on est bien, on est bandés, hnng, on est beaux. Et parfois, on est Geisha. Dans le bordel, c'est comme ça. Sayonara.
Et au niveau demoiselles, alors bon, du lourd cette semaine avec cette splendide série de photos d'Anita Ekberg par un des photographes stars des fiftie's, André de Dienes (de son vrai nom Andor György Ikafalvi-Dienes né le 18 décembre 1913 en Transsylvanie mais c'était moins glamour qu'André de). André, enfin Andor György est célèbre pour ses séries de Marilyn Monroe et ses nus. Enfin, pas les siens, comprenez-moi bien. Mais tout de suite, Anita. Rhaaa. Anita aux champs qui baguenaude dans les paturages telle une vendeuse de fromage. Ah, ça, pour baguenauder, elle baguenaude bien, Anita. Elle minaude aussi un peu mais bon, ça va, on prend aussi.
Ensuite, Anita s'adonne aux plaisirs que jadis Diane appréciait dans les bois foisonnants de la forêt de son sublime château d'Anet, sis pas loin de ma campagne à moi. Bref, Anita bande puis tire à l'arc.
Lasse de la chasse, repue de petits plaisirs à bouts pointus, Anita s'adonne désormais à la communion avec la nature. Elle ne fait plus qu'un, elle est branche, elle est feuille, elle est roseau, elle est rosée et elle en profite pour une bonne séance de stretching car avec tout ça, on dirait pas, mais Anita est toute tendue. Alors elle s'étire, hnnng, elle s'étire de l'autre côté, hnnng, et encore, hnnng puis elle s'étend, haaaa et enfin, elle se détend, rhaayarglaaa.
Et quand vient le soir (puisque bon, il arrive toujours à un moment ou à un autre), Anita toute détendue de sa séance de yoga dans les bois n'a plus qu'à mettre un simple filet de pèche pour resplendir. Et ça, c'est pas donné à tout le monde (non, pas de Nadine M dans ce bordel). Bon après, il y a quand même option maillot de bain, petite robe légère négligemment déstructurée par une épaule délicieusement rebelle ou déshabillé de soie, au choix.
Trêve d'Anita, ans ce bordel, vous apprendrez au moins qu'en 2017, le hotdog aura 150 ans et on sait jamais, dans une conversation, ça peut servir un jour. Et puis vous aurez vu LA Bacall toujours aussi fatale, Agnetha Faltskog de face et de dos (tant qu'elle ne chante pas), Margo Winchester, A.K.A Raven de la Croix, une Raquel qui passait par là et puis si ça ne vous plaît pas, voyez donc encore un peu plus bas.
Sur ce, un peu d'art pour faire passer le tout avec du sobre, de l'efficace, du Goya, du Manet et du Picasso. Ou comment interpréter la femme sous toutes ses facettes. Surtout Picasso.
Mais Schiele, le Titien et Velasquez ne sont pas en reste, comme vous, si vous avez un peu de goût.
Et il est l'heure de passer aux célèbres Messages à Caractères Informatifs que le monde entier s'arrache tel une chemise d'un DG des RH de chez Air France.
Et c'est tout pour cette semaine mais avant de quitter ce bordel, sachez 1. que vous pouvez vous abonner à ce blog si ça vous chante et 2. que pour tout bordel partagé cette semaine (avec les boutons ci-dessous et ci-tout en haut dans la bande noire), vous bénéficierez d'un bordel gratuit rien que pour vous la semaine prochaine. Une offre de dingue, à ne pas manquer, foncez. Mais ne faites tout ceci que si et seulement si vous avez apprécié ce bordel. Sinon, barrez-vous, cons de mimes et plus vite que ça. Bon vendredi, bon week-end et à la semaine prochaine.
Pour tous les Bordels depuis la naissance de l'internet, c'est ici le bordel du vendredi et pour de l'art, c'est là vite de lart et pour du western de petite taille, c'est là la vie est un western et pour le reste, trouvez tout seul, boudiou.