14 Avril 2016
... Mais alors, mais tout à fait, nous sommes bien vendredi et inutile de dire qu'un peu partout sur la planète, c'est sacrément le bordel alors pourquoi pas ici aussi avec une sélection d'images vues dans la semaine, remisées par devers moi et reversées ici dans un ordre cherchant une logique qui n'existe pas. En gros. Pour ceux ou celles qui viendraient d'arriver au bordel pour la première fois, ne vous inquiétez pas, tout va bien se passer. Pour les autres, c'est par ici, suivez le guide et commençons ce bordel en douceur dans un doux rêve ouaté, léger et délicat avec cette sublimissime série photographique de 1971, sobrement intitulée "Sonia" (supputons ensemble que ce soit possiblement le nom du modèle), par la grande photographe brésilienne Claudia Andujar qui porte désormais fièrement ses 84 printemps alors respect s'il vous plaît. Cliquez sur les images pour les apprécier en grand format, c'est mieux.
Passons ensuite pour continuer dans cette veine artistique à une petite évolution simple du style de Picasso en quelques images car ça ne peut pas faire de mal alors autant que ça fasse du bien l'un dans l'autre comme disait la jeune mariée qui mais je m'égare.
Ajoutons derechef un frigo poilu avec des yeux CAR JE FAIS CE QUE JE VEUX ICI VU QUE C'EST MON BLOG, une réinterprétation intéressante d'un grand classique de Leonardo de Vinci et poursuivons si vous le voulez bien par cette route aux couleurs du bordel qui mériterait un peu de manutention. Hé ho, les services techniques du bordel, qu'est-ce que vous foutez ? Tout va à vau-l'eau.
Enchaînons avec une belle image d'Arvida Bystrom, un peu de Martial Raysse de 1964 avec "La France verte", (photo et néon de 153 x 102 cm si vous voulez tout savoir) et un cœur dur dans une main de fer dans un gant de velours ou quelque chose comme ça.
Appontons en douceur pour poursuivre ce bordel qui nous mène aujourd'hui vers cette pionnière du Mobile Alabama 1st Motorcycle Queen dans les années 40, ces prêtres orthodoxes au top du ZZ et ce tour de magie, hop, décontrachté.
Profitons de ce moment magique capté par Leo Berne que vous pouvez retrouver sur Flickr en cherchant un peu, détendons-nous un instant tel ce Kermit sino-antique, passons par ci puis par là et puis si ça ne vous plaît pas, voyez avec le gros poilu là-bas.
... Même si le monde entier est un cactus, partons sous des cieux plus cléments (comme le pape), sapons-nous correctement et puis si ça ne vous plaît pas, voyez avec le monsieur plus bas là-bas.
Toute chose arrive, petite sélection de donzelles cette semaine mais une sélection affutée avec rien de trop, juste du bon avec un derrière de fête, un sacré dos dis donc, un toit ouvrant très ouvert, une sieste assurément tentante et un bol de céréales car c'est important de bien manger au petit-déjeuner.
Durant la semaine, je me suis permis de vous sélectionner quelques gifs de qualité afin de constituer une histoire gifesque qui dit ce qu'elle dit, qui fait ce qu'elle fait, ce qui prouve d'une qu'elle n'est pas un homme politique et de deux, que c'est toujours ça de gagné que les boches n'auront pas, gottferdom.
Vite, passons à de l'art avec le monde étrange et fascinant de Shang ChengXiang représenté par la Art Labor Gallery de Shangaï si vous passez par là et que vous avez gagné à l'Euromillion avant car ça doit douiller. Sa page Facebook est ici pour en voir plus facebook.com/chengxiang.shang.
Baladons-nous dans la nature vivifiante, fervente et émouvante des paysages du peintre russe Nikolai Dubovskoi, né en 1859 et décédé de manière définitive en 1918 en laissant derrière lui (il ne rangeait jamais), près de 400 tableaux et plus de mille croquis d'études.
Et ponctuons de manière définitive cette partie artistique avec Albert Gleize "Sans Titre" de 1920, et le "Portrait du postier Joseph Roulin" par Vincent Van Gogh, et là, je dois vous avouer que j'ai eu la flemme d'aller chercher la date exacte mais c'est fin XIXe, en gros, à vue d'œil.
Il est temps de passer aux célèbres Messages à Caractères Informatifs qui concluent généralement le bordel du jour alors comme on ne va pas tout reprendre à zéro et tourner autour du pot 107 ans pour rien, allons-y. Et gaiement si possible.
Et c'est tout pour aujourd'hui mais n'oubliez pas de partager ce bordel dans tous les sens (en haut, en bas, à gauche, à droite) en utilisant les astucieux boutons Facebook, Twitter, Linkedin et Google + situés ci-dessous, partage que vous pouvez agrémenter d'une phrase de votre cru ou d'un hashtag #BordelDuVendredi pour inciter vos amis et connaissances à venir se détendre à leur tour au bordel vu qu'il y a de la place pour tout le monde, que c'est gratuit, que ça fait du bien et qu'on est vendredi alors faudrait voir à pas trop se fouler non plus. Si, dans un dernier effort, vous éprouvez le besoin de vous abonner à ce blog pour ne rien louper des articles essentiels ou totalement inutiles qui le nourrissent régulièrement, sachez que vous pouvez. Même que c'est en haut à droite. Sur ce, bon vendredi, bon week-end et à la semaine prochaine ou peut-être pas car je serai en vacances fort méritées sous d'autres cieux, alors j'aurai peut-être la molle.