20 Juin 2016
Malgré un temps annoncé comme plus que maussade, demain se tiendra la Fête de la Musique un peu partout en France. Alors si vous faites de la musique et surtout de la musique nègre (jazz, rap, rock, hard rock), ce serait sympa d'aller jouer toute la journée et au moins jusqu'à minuit devant le domicile d'Henry de Lesquen qui n'aime pas mais pas du tout la musique nègre et le XXe et le XXIe siècle. Faut l'excuser, il est resté bloqué au milieu du XIXe (pas l'arrondissement que jamais il ne fréquentera car trop cosmopolite, le siècle qui a suivi celui des lumières qu'Henry préfère voir éteintes, comme quand il trousse bobonne).
Pour rappel, quelques unes des saillies d'Henry sur cette musique du diable :
Le cosmopolitisme détruit notre civilisation grâce à la musique nègre*, par Henry de Lesquen
L’idéologie cosmopolite détruit notre identité non seulement par l’immigration, mais aussi par la déculturation, grâce à la musique nègre. L’invasion du monde occidental par la danse et la musique nègres depuis un siècle est une régression civilisationnelle. Dominée par le rythme, s’adressant au paléocortex (cerveau reptilien), la musique nègre est un ensauvagement de l’homme.
* Musique nègre : le jazz, le rap. Le rock, dans son rythme et son obscénité, est typiquement de la musique nègre, même joué par des blancs. C’est le tam-tam, qui retentit dans toute la musique nègre.