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C'est vendredi, c'est le bordel #306

... Mais oui, à nouveau voici que la malédiction revient : nous sommes encore vendredi. Un vendredi de plus, un vendredi plus loin, un vendredi comme un autre et tout autour de nous, il n'est nul besoin de vérifier pour savoir que c'est un sacré beau bordel, ça l'est. Alors autant joindre l'utile à l'agreable et profiter d'un beau bordel le vendredi, soit si on mélange un peu les deux, un bordel du vendredi. Si ça vous dit. Si ça ne vous dit pas, fermez cet onglet tout de suite, immédiatement, pour toujours. Sinon, commençons ce bordel de manière mucho caliente avec cette tortilla chip vendue uniquement à l'unité car délicieusement saupoudrée de Carolina Reaper, le piment le plus fort au monde avec pas moins d'1.56 million Scoville. Le tabasco par exemple c'est 2500 Scoville seulement. Ay ay ay ay, caramba, qué calor en la boca.

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Poursuivons si vous le voulez bien sinon la porte est par là par cette très étonnante série de photos anatomico-gore pour mettre en valeur les bijoux-sculpture de Catherine Grizez visibles plus en avant et sur un écran ici catherinegrisez.com/sculpture. Et sinon, un fantome pin's tout mignon disponible ici : etsy.com/noir-ou-blanc-fantome-mignon.

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Longeons ces néons qui piquent un peu les yeux mais que voulez-vous, le bordel se doit d'être brillant et clinquant comme un meeting de Sarkozy à 5 millions d'euros (prix officiel) ou 3000 euros (prix facture Bygmalion).

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Attention, STOP, c'est l'instant pigeon gay. Laissez passer, s'il vous plaît, flap, flap, flap, merci.

C'est vendredi, c'est le bordel #306

Admirons ensemble cette jolie série de champs de coquelicots customisés avec talent par Tamta Giorgadze et visibles commes ses autres travaux sur flickr.com/photos/poppyfields1.

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Continuons avec ce splendide avant floral en diable, ces options pas débiles pour vous faciliter le barbecue et l'alphabet tout à fait boobesque d'Anthony Peters qui est un sacré petit coquin.

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Et là, je sens que vous avez faim alors vous avez le choix dans la pizza, à consommer un peu comme vous voulez mais avec les doigts, c'est encore meilleur comme le sexe et plein d'autres choses comme faire du stop, sonner à la porte et se curer le nez.

C'est vendredi, c'est le bordel #306
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Mais qui va là ? Mais Cassius Clay classe à New York en mai 63, Claudette Colbert dans "La Nuit est à Nous" de Stuart Walker 1933 et Renée Perle à Juan-les-Pins par Jacques-Henri Lartigue en 1930 parce que je fais un peu ce que je veux ici vu que c'est mon blog.

C'est vendredi, c'est le bordel #306
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Ensuite, nous avons cet ensemble tout à fait futuriste et design par Jürgen Mayer-Hermann qui fait lui aussi un peu ce qu'il veut avec ses immeubles à lui, une très belle image de Kansuke Yamamoto vers 1970 et un auto-portrait de Stanley Kubrick en 1946 car lui non plus ne s'en laisse pas compter si facilement alors voyez.

C'est vendredi, c'est le bordel #306
C'est vendredi, c'est le bordel #306
C'est vendredi, c'est le bordel #306

Passons à ce robot cabot et DJ à ses heures (entre 13h45 et 18h41), ce Navajo de 1910 par Horace S. Poley et Martine Carol qui essaye de nous avoir à l'œil mais NON Martine, tout n'est pas aussi facile en ce bas-monde (aye, mes lombaires).

C'est vendredi, c'est le bordel #306
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Si vous voulez bien vous donner la peine d'emprunter l'escalier ci-dessous afin de poursuivre dans le bordel, je vous en serai gré. Non parce que sinon, ça va bouchonner et on n'est pas sortis du bordel qui fut jadis une auberge mais c'est encore une autre histoire que nous ne vous narrerons pas aujourd'hui, non, ça va, j'ai dit non, ça suffit.

C'est vendredi, c'est le bordel #306

Enchainons sur cette fenêtre à nul autre pareil, un Jimmy Page hilare pour une raison qui ne regarde que lui et que donc, il gardera, une Debby Harry qui remue, qui sautille, qui fat sa moue, qui fait sa mie, un œuf mollet qui va mollo et puis cool, peace, si ça ne vous plaît pas, voyez ça avec Gillian plus bas.

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Poursuivons plus en avant à travers cette agréable route cotière pour retrouver Lemmy quelque part en France en 1979, un tatoué qu'est à toué et Françoise Hardy qui se gèle les miches qu'elle a, paraît-il, fort jolies mais ce con de Dutronc n'a pas voulu me filer la photo.

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Pour vous rappeler quand même qu'ici aussi c'est mon blog et que j'y fais ce que je veux, j'ajoute là tout de suite maintenant Wayne Shorter, Herbie Hancock, Ron Carter et Tony Williams à Amsterdam en 1964, l'ardeur par Rocco Siffredi  Jacques Chirac au mieux de sa forme et puis si ça ne vous plaît pas, voyez avec Harry. Attention, il est sale, il pue plus que peut-être et il a un gros flingue.

C'est vendredi, c'est le bordel #306
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Peu de donzelles cette semaine mais de la donzelle sélectionnée avec soin, comme la Tina Louise toujours à bouder et chafouiner, cette charmante inconnue qui veut vous emmener en balade et je serais vous, certes je serais en train de lire ce bordel au lieu de l'écrire, mais je ne dirais pas non et une autre donzelle inconnue sur un hippocampe de fort beau calibre et cette ingénue qui ne sait plus pourquoi elle est là et moi non plus, alors poursuivons plus en avant pour éviter les faux semblants et cette terrible déconvenue. Scroll, scroll, scroll.

C'est vendredi, c'est le bordel #306
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Et là, je vous présente Kowalski. Kowalski est sympa mais parfois il est pressé, très pressé et c'est pas tout mais il faut qu'il soit à San Francisco dans 15 heures et là, il est à Denver alors il n'a pas trop le temps de faire la causette sauf une fois pour pisser, une fois parce que la jolie fille à moto est jolie et qu'il aime les motos et une fois parce qu'il écoute SuperSoul qui, bien qu'aveugle, le guide à travers champs, déserts et barrages policiers pour tenter d'atteindre son but mais c'est pas gagné. Si vous ne connaissez pas, ruez-vous sur Point Limite Zéro (Vanishing Point en V.O.), sublime road-movie sous amphétamines de Richard Sarafian de 1971 avec Barry Newman dans le rôle de Kowalski qui est déjà loin très loin, parti.

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Vite, passons de l'art avec Antony Gormley pour une petite sculpture à mettre tranquillement dans votre salon ou, autre option plus envisageable, les œuvres en bois naturel de Donelle Woolford à la Martin Janda Gallery, sise à Vienne et c'est là qu'on se demande que deviennent, que deviennent les valses de Vienne, excusez-moi, ça m'a échappé mais le reste est à voir ici donelle-woolford-at-martin-janda.

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Passons ensemble à cette œuvre magnifique de Robert William Moreland et ces quelques tableaux tout en transparence délicate mais avec aussi de l'huile et une toile de Ho-Ryon Lee.

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Et enfin, l'art inclassable, donc nous ne tenterons pas de le classer, que les choses soient bien claires entre nous, de Takasi Inoda, visible à la Elsa Art Gallery à Taipei si par chance ou par mégarde ou par "Mais qu'ai-je bien pu faire hier soir après la soirée avec les copains au bar ?", vous vous retrouvez là-bas.

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Et c'est l'heure de passer aux célèbres Messages à Caractères Informatifs de la semaine dont vous pouvez disposer comme bon vous semble mais le mieux, c'est avec parcimonie, votre ordinateur ou votre smartphone et si possible, en citant le Bordel du Vendredi mais c'est pas obligé non plus, on va pas commencer à fliquer eud' par ici.

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Et c'est tout pour aujourd'hui mais n'oubliez pas de remercier l'auteur de ce bordel en le partageant (pas moi, le bordel) via Facebook, Twitter ou tout autre moyen avouable, pour les autres moyens, surtout ne dites rien et sachez que vous pouvez vous abonner à ce blog pour la modique somme de que dalle et que dalle, c'est déjà ça que les autres à Bercy là-bas n'auront pas. Sur ce, bon vendredi, bon week-end et à la semaine prochaine.

C'est vendredi, c'est le bordel #306
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