10 Février 2017
... Mais oui, nous sommes vendredi et c'est encore un gros bordel un peu partout dans le monde, près de nous aussi alors pourquoi pas ici aussi avec une sélection d'images vues cette semaine, remisées par devers moi et reversées ici dans un ordre très particulier qui reprend le chiffre d'or mais chut je ne vais pas vous dévoiler tous les secrets du bordel tout de suite mais plutôt dès maintenant avec de quoi changer des traditionnels bouquets et cartes un peu cucul de la Saint-Valentin. 2017, année de (pleins de rimes en "Ette" au choix), innovez, que diable, disruptivez-moi tout ça, bordel !
Hop, ni une ni deux, retrouvons-nous (ça y'est, tout le monde est là ? On y va) au Brésil dans la charmante maison d'Oscar Niemeyer à Casa de Canoas, Baja de Tijuca aux abords de la baie de Rio que je n'oublierai jamais. Ni la couleur du ciel le long du Corcovado. Ni la Rua Madureira que tu habitais, tout ça, je ne l'oublierai pas et pourtant je n'y suis jamais allé (© Daniel Beretta et Nino Ferrer)
Oscar a la gentillesse de nous accompagner personnellement lui-même bien qu'il soit actuellement désormais décédé, ce qui vous prouve la chance que vous avez qu'ils soit ici avec nous. Merci Oscar. À vous Cognacq-Jay.
Si vous n'aimez pas les circonvolutions mais plutôt les angles bien prononcés, nous tenons à votre disposition la magnifique réalisation du cabinet d'architecte Omar Gandhi et Design Base 8 avec cette splendide "Modern Cabin" située à Cape-Breton. Attention, pas CapBreton à côté d'Hossegor, hein. Cape-Breton, l'île. Loin là-bas, là-haut, très haut dans la province de Nouvelle-Écosse au Canada.
Mais passons derechef à un chniper d'élite nyctalope, ce qui est fort pratique, une robe qui dévoile tout sans rien montrer du tout, les mocassins préférées de Nicolas Sarkozy (ah non, on me dit à la technique par le biais de mon oreillette qu'il s'agirait en fait de bottines de cuir cousues main des années 1870. Mea culpa donc, la ressemblance était flagrante), un "Dining Trolley", de Joe Colombo pour Rosenthal dans les années 1970 tout comme cette "‘Slack I", lampe-sculpture de Mart Van Schijndel et de sensiblement la même époque.
Et puisqu'il est utile de la rappeler, autant le faire de suite : je vous rajoute une maison de poupée d'origine germanique ci-dessous. Non pas que je sois particulièrement féru de maisons de poupées d'origine germanique, ni d'autres pays si tant est que vous vous posiez la question et la réponse est non, mais juste parce qu'ici c'est mon blog et que j'y mets ce que je veux. Comme des maisons de poupées d'origine germanique mais c'est un exemple parmi tant d'autres. Il n'est donc pas contractuel.
Je vous ajoute également car tel est mon bon vouloir, mouarhh arhh arrhhh, ces magnifiques images de confection d'une disque vinyle en 1954 car d'une, c'est beau et de deux, c'est toujours mon blog eud' par ici.
Et puis si ça ne vous plaît pas, voyez avec le mons... non mademoiselle, on n'a pas le temps, là. Un peu de sérieux, s'il vous plaît, j'ai un bordel à tenir dans les temps.
Non parce que si je suis troublé toutes les deux minutes, ça va pas le faire et ce serait dommage de passer à côté de cette très belle série de jeux de mains pas vilains de Talia Chetrit présentées à la Sies+Höke Gallery à Dusseldrof, si des fois, vous passez par là. Sinon c'est par ici dailyartfair.com/talia-chetrit-sies-hoke-galerie
Mais tout ceci a-t-il vraiment de l'importance ? Ce petit film peut tenter de nous apporter la réponse mais rien n'est moins sûr donc tout est forcément illusoire. Bref, je vous raconte pas le bordel. Ah, si (bonanga).
Mais sans transition, passons à... non, ça suffit, leave me alone, vous êtes charmante en contre-plongée mais j'ai encore du boulot.
Et puis y'en a qui s'impatientent alors on ne traîne pas dans les rangs. Avanti !
Non parce que là aussi, ce serait dommage de louper les sublimes images du photographe espagnol Marcel Giro dont voici seulement quelques exemples mais que je vous invite à découvrir vite fait en parcourant ce site bien fait http://marcelgiro.com/fotografies
Et puis il me reste encore l'officier J.B Burnside à bord d'un Avro Lancaster B Mark III du 619e esquadron de la RAF en 1943, du Cartier-Bresson de qualité à l'ombre des buildings en fleurs, des Kinks en transit au Bourget en 1965 par Roger Kasparian, Peter Gabriel à Londres en 73 juste avant l'attaque du train-postal et un chef Crow près de la Sharp River en 1900 alors ce serait vraiment dommage de s'arrêter en si bon chemin.
Tout comme il serait idiot de se passer de cette série romantique à souhait d'un Vincent Price dans la fleur de l'âge. Âge tendre et canines proéminentes et pic en bois.
Mais tout de... Non, NOn, NON, on a dit NON ! Non mais.
Mais ils sont tous déchaînés ! Dégagez ! Allez pas me foutre le bordel dans mon bordel, bordel !
Bon, il faut que je me trouve des spécialistes des phénomènes paranormaux pour me sortir de cette situation. Une idée, messieurs dames ?
Ok, merci pour l'aide... De toute façon, ça ne sert plus à rien, tout ça. Dans ce monde de fake news, de faits alternatifs, de rumeurs, on ne sait même plus où est la vérité.
Ah oui, c'est vrai. Merci. Mais poursuivons dans ce bordel avec Christie Brinkley et ses deux filles Alexa Ray Joel et Sailor Brinkley Cook, un bisou torridement sapien, un câlin qui ne trompe personne, un Gremlin qui lit Starfix (Wopitin Starfix, que de souvenirs) et Debbie Boyland dans le plus simple appareil. Elle est souvent sans le haut, Debbie. Oui, fi de garce.
Je me permets de revenir sur la charmante personne de Sandra Edwards que j'ai à peine survolé la semaine dernière et c'est tout de même dommage car le panorama est absolument magnifique et elle méritait un second regard. Et un troisième. Et encore un autre.
Tout comme Jhonattan Burjack (non mais où va le monde, Jhonattan avec un H et deux T, on est mal barré, je vous le dis) photographié par Alex Bramall, que je vous pose là mais c'est vraiment pour faire plaisir à mon lectorat féminin. Et masculin.
Pour convenir de ce qu'il doit advenir de la suite de ce bordel, posons donc la question à ce charmant mons... ah non.
Bon alors poursuivons sans plus attendre par de l'art avec Alberto Gonzalez "Vivo circulo op de Colores", un chouya de Jean, ou Hans, c'est un peu comme vous voulez, Arp, une composition géométrique de Miguel Angel Vidal de 1960 et un petit coucher de soleil par Felix Vallotton parce que ça ne fait jamais de mal par où ça passe.
Ajoutons un charmant paysage d'Edgar Degas de 1892, du Giangiacomo Spadari, "Per un paesaggio" de 1965, "Messaline descend l'escalier bordé de figurants" d'Henri de Toulouse-Lautrec vers 1900-01, c'est pas bien précis et "La Ronde II" de Louise Crossan et là, c'est de 2017, au moins, on sait.
Mais il est temps de passer aux célèbres Messages à Caractères Informatifs de la semaine qui sont tout frais comme des poisson à Rungis à 4h du mat', l'odeur en moins. Et c'est déjà ça, vous me direz.
Et c'est tout pour aujourd'hui mais n'oubliez pas que vous pouvez suivre ce blog sur Facebook ici facebook.com/apreslapub et sur Twitter eud' là twitter.com/ApresLaPub mais surtout ce serait sympa de partager ce bordel avec vos amis avec les boutons ci-dessous, d'autant que je suis bloqué sur Facebook à cause de l'image pourtant prude du poème de jeudi qui a déplu à une bigote américaine et je ne peux rien poster avant lundi. Alors à votre bon cœur messieurs dames, merci de partager ce bordel partout autour de vous et bon vendredi, bon week-end, saleté de Mark Zuckerberg et à la semaine prochaine.