24 Mars 2017
... Mais oui, il est de retour, vaillant comme une Trabant, fidèle comme une Caravelle sauf celle de la rua Madureira qui n'est jamais arrivée. Et de cette rue chère à Nino Ferrer à Sao Polo, il n'y a qu'un pas, hop, à franchir pour s'abreuver d'un peu de street-art plein de couleurs vu qu'il paraît que c'est le printemps mais qu'on n'en a pas vu le bout de la queue du début pour l'instant. Pour en savoir plus sur cette belle opération, c'est à lire eud' par ici streetartnews.net/poesia-and-magica-by-boa-mistura-in-sao-paulo.
Afin de poursuivre dans ce bordel avec une vue panoramique mais aussi des roues et du style, merci de bien vouloir monter dans cette sublime Citroën Karin présentée au Salon de l'Auto à Paris en 1980. Un design de Trevor Fiore et trois places côte-à-côte assez révolutionnaires. J'aime, j'aime, j'aime.
Si vous êtes plus rétro que futur même rétro, enfin je me comprends, je ne peux que vous indiquer les ailerons effilés et les lignes acérées de cette sublime DeSoto Fireflite, produite entre 1955 et 1960, années où Bob Marley balbutiait encore son reggae de pré-ado pas du tout Jah Man Rastafaraï encore à ce moment-là.
Qu'avons-nous donc ici ? Mais un bel arbre d'art de qualité, Betty McLauchlen, Meg Mundy, Helen Bennett, Lisa Fonssagrives, Lily Carlson, Elizabeth Gibbons, Muriel Maxwell, Marilyn Ambrose, Dana Jenney, Andrea Johnson, Kay Herman and Dorian Leigh par Irving Penn, attention du peu, en 1947. Peu. Je vous avais dit de faire attention. Mais poursuivons par Liz Taylor - Ahaaaa darling, ha haha haaaa hellooooo - c'est bon Liz, n'en fais pas trop, par Helmut Newton en 1985, je me souviens, c'était un mardi et la brise fraîche des hauts de Los Angeles enivrait nos sens en émoi qui... mais je m'égare.
Ajoutons à ce bordel déjà bien chargé une femme-scarabée par Laurent Seroussi, le copain de Rox (ben oui Rox-Seroussi, deux petits amis, petit bébé chien, renard orphelin) et puis aussi une grosse tapette et pourtant ce bordel est très gay-friendly et deux colonnes grecques et deux grecques avec des colonnes, le tout par Henri Cartier-Bresson en 1953.
Je vous mets aussi, en tout bien tout honneur hein, une petite Joan Jett en 77 par Brad Elterman juste avant sa séance de cinéma, une pin-up de qualité de Robert McGinnis pour le magazine Pulp et... aaaah bordel, Christopher... mais tu pourrais prévenir, merde ! Et réduis un peu la Ganja.
Oui, qu'est-ce que c'est, c'est pour quoi, c'est à qui que je m'exprime présentement ?
C'était vraiment très intéressant. Et maintenant, pour quelque chose de complètement différent, aaaahhh, non mais vous perdez la tête dans ce bordel ? Ah oui. Désolé mademoiselle. Dommage vous aviez de jolis yeux. Je peux les prendre avec moi ? C'est fort aimable.
Allez, on se détend avec quelques petits exercices d'assouplissements. Alors flexion, hnnng, extension. Et on reprend : flexion, hnnng, extension. Et on poursuit parce que sinon, vous n'êtes pas sorti du bordel.
Pour celles ou ceux qui souhaiteraient faire une petite pause dans ce bordel, c'est là, maintenant, tout de suite et à Oklahoma en 1985 mais c'est une longue histoire que je ne vous narrerai pas là, ni ici non plus, n'y pensez même pas. J'ai aussi mes petits jardins secrets.
Et là, PAF, je vous mets l'Atomium de Bruxelles, des lèvres de feu qu'on pourrait croire que c'est Margaret O'Houlihan dans M.A.S.H. mais en fait non, et un immeuble rose. Et vous savez pourquoi ? Parce qu'ici c'est mon blog et que j'y fais exactement ce que je veux, tiens je peux écrire cdbqdjkf,kdfjf,zn;,cd;,nv;:v,nqds;,qds;ds, d si je veux. Alors. Non mais.
Et puis de toute façon, si ça ne vous plaît pas, voyez ça avec Ace et à moins d'avoir une bouteille de gin frais sur vous, vous n'avez aucune chance.
Mais poursuivons avec ces Californiennes des années 70 dans toute la liberté d'une Amér..., hé, les filles, revenez ! Ah zut, parties.
Poursuivons avec cette très belle plante, avec Claudia Lennear qui fait rien qu'à énerver et la délicieuse Rosa Dolmaille, plus connue outre-manche sous le sobriquet d'Eve Eden dans les années 1960, heureuses années s'il en est et oui, il en est puisqu'on vous dit qu'il en est, arrêtez d'être aussi borné(e)s.
Et pusi une envie subite de Carré me prit. Pas du chocolat, de l'Otis, pas de l'ascenseur, plutôt de l'accélérateur de pulsions de tout hétérosexuel normalement constitué. Carré Otis ? Ready. Aha, Otis Ready. Non ? Poursuivons vers le dock of the bay vers la suite de Carré un peu carré blanc. Nous avons Carré à l'eau. C'est beau.
Puis Carré dans une botte de foin. Plus facile que l'aiguille à trouver.
Carré à l'aise, détendue du slip et tant qu'à faire, du reste.
Attention chaud devant : Carré en cuir (prononcer C-tchuir).
Et puis Carré à l'huile. Et Carré à boue de bout en bout.
Et puis parce qu'ici aussi à ce moment précis de ce bordel, le n°328 tout de même, c'est aussi un peu mon blog, je vous rajoute Jacqueline Bisset sous oxygène et Vilma Santos dans "Darna et la planète des Femmes" et c'est quand même pas de la daube. Ah, si. Désolé.
Sinon, pour contenter mes lectrices féminines, je vous ai réservé Amaury Mousquet pour qu'à la fin de l'envoi, je touche et ce très joli petit tutu à porter lors de vos barbecues pour réchauffer l'atmosphère et éventuellement, faire griller quelques merguez supplémentaires (vous noterez à cet instant du bordel que "Merguez" ne prend pas de S, même au pluriel alors que chipolatas, oui. Les mystères de la vie. Fermez la parenthèse).
Vites, passons à de l'art avec les exubérantes créations anatomico-érotiques de Pierre Schmidt a.k.a. Drømsjel.
Et ajoutons une "Bouteille et panier de fruits" de Juan Gris, un peu de Georges Lemmen, de Manabu Mabe en 73, de Wassily Kandinsky, "Dull Red" en 1927 et de Tadanori Yokoo en 1968, années pré-érotique s'il en est et il en est et on va pas passer le printemps dessus non plus.
Car il est temps désormais de passer aux célèbres Messages à Caractères Informatifs. Alors attention : on me rapporte qu'il est parfois proposé des Massages à Caractères Informatifs par des gens sans scrupule aux moeurs pour le moins douteuses. Faizez gaffe, c'est du faux.
Et c'est tout pour aujourd'hui mais c'est déjà pas mal et n'oubliez pas que vous pouvez suivre ce blog sur Facebook ici facebook/apreslapub, sur Twitter eud' par là twitter/ApresLaPub, que vous pouvez vous abonner à ce blog pour ne rien louper et que ce serait sympa avant de partir de faire péter au moins 328 likes et des tweets comme s'il en pleuvait pour partager ce bordel avec vos amis qui l'attendent, déconnez pas avec ça. Sur ce, bon vendredi, bon week-end et à la semaine prochaine.