22 Décembre 2017
... Mais oui, le Bordel du Vendredi est de retour, tel une lèpre mal soignée sauf que le Bordel rend la peau douce et soyeuse comme celle d'un bébé. Si, si, essayez. Le Bordel est donc bien là, une avant-dernière fois en 2017 dans cette édition n°357 constituée d'images vues ça et là pendant la semaine, remisées par devers moi dans un petit dossier pour ne rien oublier et reversées ici dans un ordre spécifique gardé sous clé par un huissier assermenté tout à fait respectable. Et comme nous approchons de Nawel, de ses chants énervants, ses décorations qui coutent bonbon en consommation et ses bons sentiments à foison, autant commencer avec ces siprobranches-arbres de Noël. Des arbres-vers polychètetubicles de la famille des Serpulidae, visibles principalement au fond de la mer et surtout dans les océans tropicaux si vous passez dans le coin avec un masque et un tuba.
Mais que serait Noël sans le Père Noël ? Une fête païenne à l'origine certes mais avec un peu de Rat Pack au grand complet, de Zappa, de James Brown, de Marc Bolan et de Willie Nelson, tout de suite, ça a une autre gueule et en plus, ça fait de jolis bruits dans votre iPod s'il vous reste encore ça dans un coin (attention, collector).
Afin d'approfondir le Bordel du jour, merci de bien vouloir emprunter l'atypique escalier littéraire ci-dessous dédié uniquement aux lectrices et aux lecteurs du Bordel du Vendredi, c'est dire si on vous chouchoute. Non, on ne borde pas. Pas de petite histoire non plus avant le dodo, n'insistez pas.
Rendons désormais hommage à feu (pan, pan, argh, je suis blessé, laisse-moi Jeff) Alessandro Biffignandi, grand maître du Sfumetti (ces bandes dessinées italiennes au goût prononcé pour l'horreur, le suspenses et les bonnets C) et des affiches de films qui œuvra des années 60 jusqu'au 22 janvier 2017, date à laquelle il décida bizarrement de décéder, poum comme ça, basta lo Sandro.
Parce que quand même, Alessandro, il touchait sacrément sa bille dans l'illustration qui déchire la ch**** à sa mère ou les t********* à son père, c'est possible aussi, c'est selon, ça dépend, donc ça dépasse (attention : un sapin coquin, à ne pas confondre avec le lapin crétin, s'est caché parmi ces illustrations. Sauras-tu le retrouver ? Le sapin. Pas le lapin. Crétin).
Passons à ces quelques Motos de clubs célèbres illustrés avec des belles images et des lettres qui forment des mots qui ont du sens, parce que d'une, c'est assez joli et j'avais un trou là dans le Bordel et de deux, ici, c'est quand même encore un peu mon blog, donc j'y fais ce que je veux.
Plongeons la tête la première vers la suite de ce Bordel constitué pour l'instant de Jones Grace et son alter-ego Grace Jones et d'un petit mouvement de break, H.I.P, H.O.P, on se calme Sidney, non, rentre dans ta petite cellule capitonnée et tout ira bien, tu auras du Grandmaster Flash et un petit Rocksteady Crew pour le goûter si tu restes bien sage. Non, arrête de tourner sur la tête et retire-moi cette ridicule casquette de travers. Par contre, ton Tacchini, tu me le vendrais ? Hmm ?
Un petit Stevie pour Atari, oui, oui, rions et passons à la suite avec un bisou de fort bon goût, quatre garçons dans le vent il y a fort longtemps, Gene qui s'énerve pour un Twix, oups pardon, pour un Raider et un solo de Peter Criss qui... merde, ça déconne encore à la technique, oh les gars, c'est pas Peter Criss, ça, vous pouvez vérifier les connexions ? Merci bien beaucoup. Ah, voilà la vidéo de Peter pour vous montrer qu'il n'est pas manchot puisqu'on voit bien un bras gauche et un bras droit au bout desquels se meuvent des mains qui tapotent sacrément bien.
Certes, ça n'a pas l'air très engageant mais la suite du Bordel est sise après la porte là-bas au fond, alors gloups, allons-y en retenant notre souffle et advienne que pourra et Alea Jacta Est et que sera sera et hasta la vista.
Ouf, ça va. Tout le monde est là ? C'est bon, on y va avec ce bel A par Anton Stankovsk, ces bébés aux nouilles asiatiques pour une haleine exotique, des gogues de saison parce que tout Père Noël qu'il soit, il doit bien se soulager aussi alors autant penser à lui, une vue de Petrograd car alors, non mais, pourquoi pas et pour la première fois dans toute l'histoire du Bordel, une image du centre de contrôle opérationnel du Bordel du Vendredi avec quelques membres du service technique qui ne se retourneront pas sinon ils sont punis et puis ils sont occupés à ce que cet avant-dernier bordel de l'année se passe bien et les gars, on compte sur vous sinon, c'est le goulag de Novossibirsk ou un stage sur Les Marseillais à Las Vegas.
Un Orson Welles qui débite (avec peut-être bien madame Michael Caine à côté mais je mets l'équipe technique sur le coup et je reviens vers vous avec plus de précisions), Jake et Elwood pour n'avoir que le bon blues, Ed Sheeran en Miss Nord-Pas-de-Calais, ça, c'est fait, Eartha Kitt pas en toc, c'est bon aussi et puis si ça ne vous plaît pas, voyez ça avec Bruce Lee plus bas. Merde les gars, ça redéconne encore à la technique, là ! Vivement que l'année se termine.
Un McQueen en kart, deux marins en partance, une petite accélération et vroumons ensemble vers la suite de ce bordel en n'omettant pas de vous décrasser un peu car la moto, ça salit et n'allez pas me foutre vos bottes crottées sur la moquette du Bordel, merci bien beaucoup.
Encore un effort et quelques marches et la suite de ce bordel s'offre à vous avec un chat de l'espace et un bon petit coup car boire un petit coup, c'est agréable, boire un petit coup, c'est doux et qu'on n'est pas ici au Bordel pour se faire du mal et oui, Pam ? Mais tout à fait, Pam. Et oui, ta copine Raquel peut venir aussi. Oh, ça va, moi aussi je peux fantasmer.
Pêle-même pour finir l'année, de gents damoiseaux et de charmantes donzelles pour satisfaire l'ensemble du public chéri mon amour, lecteurs et lectrices du Bordel et puis comme ça, pas de jaloux ni de jalouses et puis si ça ne vous plaît pas, voyez avec Rhonda, Linda, Nadia, Ludmilla, Graziella, Sacha, Natalia. Ou Godzilla. Là, c'est votre choix.
Vite, passons à de l'art avec un magnifique trio de taureaux par Martiros Sarian en 1903, une "Annonciation" de saison par René Magritte en 1930 et le sublime "Pluie à Maekawa" par Hasui Kawase en 1932.
Ajoutons à ça "Winter day, Scales in Telemark" par Jacob Gløersen en 1900 parce que ça farte un max, une lithographie constructiviste de qualité de Ludwig Hirschfeld Mack et de 1923 et une ultime "Diagonale nera" par Walter Valentini en 77 et là, on est comment Tintin, hein ? On est bien, Tintin, on est bien.
Et il est l'heure des passer aux pénultièmes Messages à Caractères Informatifs de l'année alors profitez-en bien car après tout, qui sait ce que nous réserve 2018 ? Personne. Même pas Elisabeth Teyssier ou Stephen Hawking. Laurent Wauquiez ? Bien essayé, toujours pas.
Et c'est tout pour aujourd'hui sauf si vous vous avez l'âme généreuse auquel cas vous partagerez cette 357e édition du Bordel du Vendredi pour distribuer un peu de joie et de bonne humeur à votre entourage, votre famille, vos collègues ou vos amis à l'aide des boutons Facebook et Twitter situés juste ci-dessous. N'oubliez pas également qu'il vous reste encore quelques jours en 2017 pour ne rien louper de ce blog sur Facebook facebook/apreslapub et sur Twitter eud' là twitter/ApresLaPub et pour donner une dernière fois en 2017 ce que vous voulez, 10, 20 centimes, 1, 27 ou 999999 euros en échange du Bordel du jour sur leetchi.com/apres-la-pub. Sur ce, bon vendredi, bon week-end, très joyeuses fêtes, doucement sur les huîtres et la bibine, faizez gaffe sur les routes, déconnez pas et à la semaine prochaine.