9 Mars 2018
... Hello, bienvenue, welcome au Bordel du Vendredi et si Ute Lemper n'est pas là pour vous accueillir, un empêchement, le Bordel vous ouvre grand ses portes avec une sélection d'images vues cette semaine, agglomérées pas loin dans un dossier prévu à cet effet et reversées ici dans un ordre pas complètement ordonné ni tout à fait désordonné qui fait tout le charme du bordel. Et du bordel à la rue, il n'y a qu'un pas que vous franchirez aisément pour découvrir le talent de nombre de photographes de rues de plein de villes de plein de pays mais à priori, d'une seule planète ayant réussi à capturer pile le bon moment. Comme quoi avant l'heure c'est pas l'heure, après l'heure c'est plus l'heure mais quand c'est l'heure, mieux vaut avoir l'appareil photo.
Tant qu'à être dans la photographie, profitez-en pour découvrir une magnifique sélection parmi les 20 images nommées au Sony World Photography Awards et pour le reste, Clic Clac C'est Sony c'est par ici
Passons tout de suite à la vérité vraie sur les extra-terrestres, la vérité vraie sur le logo de Superman depuis 1938, année moyennement érotique en vérité, la vérité vraie sur les frigos en forme de guitare (oui, ça existe mais la vérité est ailleurs) et la vérité vraie sur ce tatouage étrange : une soirée à La Vegas, 4 grammes d'alcool et des copains gamers sacrément farceurs.
Afin d'entretenir votre santé au cours de ce passage au bordel, toute l'équipe technique et moi-même nous recommandons de sérieusement shake your booty ou de move your moneymaker autant que vous le pouvez au rythme de ces quelques gifs joyeux, ceci dans le but d'augmenter votre fréquence cardiaque comme si vous faisiez un footing mais tout en restant sagement assis(e) à votre bureau en train de faire semblant de travailler et c'est toujours ça que Jeff Bezos, Bill Gates, Warren Buffet et Bernard Arnault n'auront pas.
Si vous avez des réclamations, merci de bien vouloir voir ça avec Anita.
Ou Diana.
Ou Joan.
Ou Catherine (ho, Catherine, on est de ce côté là).
Ou Sofia.
Ou Ursula.
Ou Rita.
Ou Gena.
Ou Raquel.
Ou Naomi.
Bref, vous avez le choix.
Sur ce, passons à Rock Hudson, Tony Curtis et Robert Wagner en train de monter les échelons pour Life Magazine en 1955, une certaine idée de la classe avec le même Tony and Lory Nelson (qui n'a rien à voir ni avec Willy ni avec l'amiral ni avec le commentateur sportif, neither with the sportscaster, ni con el comentarista deportivo, noch mit dem sportkommentator), une discobole qui a déjà gagné l'or et les cœurs et un Keanu. Mais pas nu. Toute l'équipe technique a eu beau chercher d'arrache-pied une image de Keanu nu, ils n'ont pas trouvé.
Attendez, une info de toute dernière minute me parvient à l'instant dans mon oreillette. Oui ? Ok, envoyez. Bon, c'est bien parce que c'est vous, lectrices et lecteurs fidèles du Bordel : un petit Keanu cul nu.
Ah, Ingrid a quelque chose à nous dire. Ingrid, c'est à toi, sens-toi libre, on est entre amis ici au Bordel, va, vis, laisse-toi aller.
Merci Ingrid. Encore quelque chose à rajouter peut-être ? Bon alors juste un dernier mot avant d'y aller mais faut pas tarder, y'a Roberto qui t'attend molto subito sur son Piaggio.
C'est au tour de Z-6P0 de nous di... mais enfin, Z-6P0, c'est quoi cette histoire ? C'est pas tout à fait prévu dans ton protocole de droïde, ça. Certes, c'est une forme de communication mais tout de même. Et où est R2 ? Non, je ne veux pas le savoir.
Mais tout de suite, là, comme ça, me vient une envie folle de Gene. Et comme chacun le sait, là où y'a de la Gene, y'a du plaisir et jusqu'à preuve du contraire, ce blog est toujours à moi et j'y fais ce que je veux, alors hop, le sourire discret de celle qu'on appelait la Joconde du cinéma, la sublime, mutine, gracieuse et délicate Gene Tierney.
Tunnel instantané dans l'espace-temps de nos mémoires collectives, voila-t-y pas que Renée Simonsen elle-même s'invite au Bordel. Et comme on n'est pas bégueules et qu'il reste de la place sur les banquettes dans les petits coins, on dit bienvenue Renée. Welcome Renée, Wilkommen Renée, Bienvenida Renée, Benvenuto Ren... ça suffit maintenant, tais-toi Nelson. Et rends-moi ce micro tout de suite.
Tiens Joey, tu veux bien t'occuper de mon pote Nelson ? Celui avec la choucroute permanentée de caniche royal. Les autres, tu les laisse passer steuplait, merci bien beaucoup.
Bon, il me reste une Diana Dors de qualité et ce serait dommage de la jeter sans vous en faire profiter alors je vous la pose là, enfin pas exactement là où là est écrit car ça foutrait le bordel dans le texte mais plutôt là, non, pas là non plus mais un peu plus bas. Par là. Argh, non, gottferdom. Plus bas (scroll, scroll, scroll). Voilà.
Et puis si ça ne vous plaît pas, d'une : z'êtes un peu maso de revenir au Bordel toutes les semaines et de le recommander à tous et toutes vos amies, merci, merci et de deux, vous êtes aussi un peu schizophrènes comme moi, cassez-vous bande d'enculés, je vous aime mes chéri(e)s et de trois, voyez ça avec Phil. Mais parlez-lui bien fort. Avec le temps il est devenu sourd comme un pot.
Vite, passons à de l'art avec une belle équation de Claude Tousignant, "Blue + Green = Yellow", de 1965, George Tjungurrayi, "Unkunya, 2012, un superbe “Portrait de Sarah Bernhardt" de 1876 par Georges Jules Victor Clairin et Gustav Klimt "Les amis" de 1931 et les amis de Gustav sont toujours mes amis.
Ajoutons une surprenante "Ladybug" de Joan Mitchell en 57, "Le Méridien (Rio)" de Sarah Morris en 2012, "Rain" de Sean Kratzert de 2018 et un "Acrobate et son partenaire" de Fernand Léger, léger, léger, oups pardon, une réminiscence de tournesol.
Et il est l'heure à ma Timex quartz aiguille toute nouvelle Frank Muller Aeternitas Mega 4 à 36 complications (dont 25 visibles, avec 1483 composants, une grande sonnerie à carillon Westminster, un chronographe monopoussoir à rattrapante, un quantième perpétuel séculaire et un calendrier décomptant mille ans sans Rémo) de déclarer ouvert la session des Messages à Caractères Informatifs de la semaine. Et je tiens à dire que c'est bien fait pour Timex qui n'avait qu'à s'allonger sur le prix de Frank Muller. Frank, lui, il a bien compris qu'un Bordel lu dans 147 pays, c'est une occasion qui ne se manque pas (envoyez vos chèques et produits sous pli discret).
Et c'est tout pour aujourd'hui mais il reste encore des lecteurs à trouver en Nouvelle-Guinée, en Mongolie et dans pas mal d'autres pays alors ce serait sympa de vous activer pour partager ce bordel avec vos amis qui le partageront avec leurs amis et ainsi de suite jusqu'aux derniers pays encore vierges de bordel. Il suffit maintenant. L'humanité toute entière a droit à son Bordel mondial hebdomadaire sans discrimination. Agissez. Après avoir partagé, vous pourrez aussi vous abonner à ce blog pour ne rien manquer ou rejoindre sa communauté grandissante sur Facebook ici facebook/apreslapub. Et si vous avez pris du plaisir dans ce bordel du jour, vous pouvez laisser une petite piécette sur la table basse ici pour toute l'équipe technique la Cagnotte du Bordel et merci bien beaucoup à ma contributrice et mes contributeurs de la semaine dernière. Il est temps, au millionième de seconde près, à ma Franck Muller de vous souhaiter un bon vendredi, un bon week-end et à la semaine prochaine.