15 Mars 2019
... But yes indeed, it is trou, it is l'heure du Bordel du Vendredi, dear. Ça ne vous dérange pas si je vous appelle dear, dear ? J'ai hésité avec mon Glaude mais finalement, dear, c'est bien. N'est-ce pas, dear ? Ok let's go for dear. Le Bordel du Vendredi est donc à l'heure, frais et dispos dès jeudi minuit soit pile vendredi car sinon, ce serait un tout petit peu trop le bordel. Du Bordel oui mais organisé comme celui qui suit composé (pour les nouveaux/nouvelles qui ne le sauraient pas) d'images vues çà et là pendant la semaine, remisées par devers moi quelque part sur mon ordi et reversées eud' par ici dans un ordre pas vraiment logique (puisqu'il n'y en a pas entre elles) mais qui fait sens quand même. Quel sens ? Là est la question. Le Bordel n'a pas de sens comme la nouvelle du décès de Jan-Michael Vincent, petit ange parti trop tôt en vrille mortelle cause que ce con de pigeon cyborg a fienté dans le rotor arrière et patatras. SuperCopter down.
Mais pour vous rappeler immédiatement qu'ici c'est mon blog (et ce, depuis 2009) et que j'y fais exactement ce que je veux, je fais là tout de suite en écrivant en même temps un double salto arrière avec triple vrille latérale et réception sur un doigt avant de vous offrir quelques images du sublime Faust de 1926 de Friedrich Wilhelm Murnau parce Murnau que tard, c'est un fait et Murnau tout court, ça vaut le coup d'œil et c'est un second fait.
Dans un tout autre style, intéressons-nous un instant (enfin, moi, vous, faites comme vous voulez) à cette très jolie série de Blaise Cepis revisitant l'art du nu avec talent, un appareil photo, un modèle et de jolies couleurs et si ça vous dit, le reste n'est pas très loin : Puisqu'on vous dit que Blaise Cepis, c'est par ici
Bon alors, si vous êtes passionné(e) par les paillettes, les tickets et les Pokemon super glitter ultra-shiny en édition limitée limite collection privée de ouf', 1. Je ne sais pas trop ce que vous foutez là mais bienvenue quand même. De 2. J'ai un truc pour vous, ce serait bien que vous m'en débarrassiez en allant sur Assume ton côté kawaï avec stayle
Excusez-moi, je m'époussette, j'ai encore plein de paillettes. Saloperies. Mais tout de suite, passons à ces dessins originaux de Don Lawrence pour “Karl the Viking” et ces quelques pages crayonnées main crayonnées cœur en direct from the 1960′s qui prouvent que Don y touche sa canette au niveau du roman graphique de pirates sanguinaires sur toutes les mers du monde (grands lacs possibles, voir avec Triple-Pattes).
Mais qu'ois-je ? Mais les fabulous Four Tops en direct du plateau télé du show Hullabaloo in 1965, année bof érotique. Oyons tous ensemble, mes frères et mes sœurs because it is something about you alors merci de bien ouïr. Alléluia.
Et en matière de "Baby" langoureusement susurré, on peut faire confiance à la spécialiste, Marilyn Monroe, captée dans son intimité et son appartement et son lit et son canapé et son fauteuil vaguement bergère à la ricaine en 1953 par Bob Beerman. Robert Homme-Bière, tout un programme.
Et puis, de toute façon, si ça ne vous plaît pas, vous êtes méchant(e) et vous n'avez plus qu'à aller au coin, na, mais avec Joel Sternfeld et tout de suite, c'est beaucoup mieux mais laissez tomber, y'a pas Canal ni Arte.
Passons tout de suite à ce rare cliché d'un ver solitaire - bon d'accord, c'est un type appelé Alex J. Rota installant une maquette de grosse bête pour la Forest Floor exhibition à l'American Museum of natural history en 1958 - un Frontiste en train d'écrire un tweet, non, Cheetah qui nous parle d'évolution, Walt Disney compulsant sa toute petite collection de National Geographic (les Penthouse sont dans une autre pièce secrète accessible par un mécanisme activé par un faux National Geographic, le n°174 précisément selon nos sources très sûres) et des Bridges à ne plus savoir qu'en faire avec Beau, papa Lloyd "C'était pas le jour pour arrêter la colle" et Jeff. The Dude.
Mais qu'ois-je encore ? Les talons trépidants de Liza Minnelli en plein jerk avec Joey Heatherton (que j'ai eu la flemme de Google alors démerdez-vous si ça vous intéresse), Frank Stella dans ses œuvres à New York photographié en 1959 par Matthew Antezzo, une assiette Maya avec un singe à queue en spirale de 300 à 850 avant Jean-Claude, visible à Mexico au Museo Nacional de Antropologia, pas Jean-Claude, l'assiette et maintenant, ça suffit, je vous demande de vous arrêter de me déranger.
Passons par ce passage Pantonesque plein de Pantones pluriels et arrêtons là les allitérations en P car ça va deux minutes et y'a la suite du Bordel qui attend.
Il nous reste Jimi, aaaah Jimi, hello my friend, so good to see you again, et papa Hendrix, un petit coin pour s'isoler au calme, pas emmerdé, à la cool et puis si ça ne vous plaît pas, voyez ça avec Eartha. Eartha, tu vises entre les yeux, tu mets tout ça en kit, Eartha et tu appelles le Nettoyeur après, comme d'habitude. Merci Eartha.
Un petit gif positif, sympathique, youplala, yippee giddyap et plein d'avenir et on y va.
Bon allez, c'est cadeau en ce bordel 386 : faites un vœu. Voilà, ça, c'est fait.
Ajoutons enfin quelques donzelles sans qui le Bordel ne serait pas tout à fait le Bordel et ce, même en ces temps de #metoopub mais ici au moins, les femmes sont toujours bien traitées et même choyées. Comme la délicieuse Tina Louise toujours exquise, la pauvre Yolanda Cabau qui vient de se séparer de son chéri Wesley Sneijder (avis aux âmes charitables), une Pam sans Pim ni Poum (rare), deux Raquel (y'avait une promo), un joli voilage, un coup de maquillage et une Gillian avé la banane parce que FAUT GARDER LA BANANE, BORDEL et on va pouvoir passer à la suite.
Vite, passons à de l'art avec ce sublimissime (quel mouvement, quelle palette, quelle composition) "La jeunesse décadente" par Ramon Casas en 1899, Eduardo Zabala qui se démerde pas mal aussi avec "La Visite inopportune" en 1868 et deux chats par Theophile Steinlen en 1898 parce que pourquoi pas, alors, d'abord.
Un peu de Poliakoff cher à mon cœur et mes neurones, du David Bromley (artiste Australien) fraichement découvert eud' hier mais datant de 1960, du Hercules Barsotti des années 50 (possiblement le père de Claude, je mets toute l'équipe technique dessus et je reviens vers vous ASAP) et du Kasper Bosmans d'encore pas plus tard qu'il y a pas longtemps mais j'ai bêtement oublié de noter la date.
Et enfin, un bouquet de fleurs de 1959 de Pablo Picasso, du Wassily Kandinsky de toute beauté avec "Violet-vert" de 1926, du Willem de Kooning pas sale non plus, "Untitled XXV" de 1977 et Willard Lustenader, Willard, les amis du blog, les amis du blog, Willard, "Means of Self Definition" qu'on pourrait croire tout droit de 1923 mais en fait non, c'est de 2015, merci Willard.
Comme je vois que certains s'impatientent et que c'est pas tout mais tout de même, il est temps d'ouvrir les portes des Messages à Caractères Informatifs et faizez gaffe, c'est des sauvages parfois.
Et c'est tout pour aujourd'hui mais n'oubliez pas d'inviter vos amis au Bordel en faisant péter les likes et les tweets, de vous abonner à ce blog si vous le souhaitez (par contre, faut remonter tout en haut du Bordel), de rejoindre la page Facebook qui s'approche irrémédiablement un peu plus des 2000 membres Après La Pub sur Facebook.
Et que ce soit pour l'ensemble de l'œuvre du Bordel du Vendredi depuis dix ans ou pour le Bordel du jour, vous pouvez contribuer d'un, deux, dix ou cent-vingt-sept-mille-deux-cent-quatre-vingt-un euros, bref, de la somme de votre choix, sur la cagnotte du Bordel sise ici À vot' bon cœur msieurs dames pour la cagnotte Leetchi du Bordel. À un euro par lecteur, le Bordel serait quasi auto-suffisant, le rêve. Sachez en toute honnêteté que l'ensemble de la cagnotte (ne) sera (pas) reversée à l'équipe technique au fond de la cave pour le climatiseur dont ils rêvent avant l'été, lourd et suffocant.
Sur ce, c'est pas tout mais on ne va pas non plus tarder cause que y'a le week-end à préparer, du pâté à acheter, les amis à appeler, la famille à embrasser et puis à trop traîner, y'a Castaner qui va arriver avec des LBD alors dispersion tout le monde et bon vendredi, bon week-end et à la semaine prochaine. Si tout va bien. Kof kof kof, qui a envoyé des lacrymogènes ? Sacré Christophe, toujours la blague pour faire rire.