29 Novembre 2019
... Pif, paf, pouf, à peine le temps de travailler sur un brief avec talent (uh, uh), professionnalisme et abnégation et blam, le vendredi est déjà de retour. Ça revient à une vitesses ces petites bêtes, c'est incroyable. Et qui dit vendredi, dit Bordel et qui dit Bordel dit Bordel et c'est toujours ça que François Asselineau n'aura pas. Un bon point. Comme vous le savez, l'entrée au Bordel est encore gratuite, elle coûte nib, peau de zob, que dalle, ce qui laisse à penser que vous allez profiter de ce Bordel à l'œil, comme ce splendide exemplaire réalisé par Louis Thomas Jérome Auzoux en 1870, année moyennement érotique surtout aux alentours de Paris où ça tonnait sévère sur la ville.
Passons à cet autre regard hypnotique et une vision nouvelle du logo de la Columbia avec celle qui l'a inspiré, la délicieuse Jenny Joseph qui fut le modèle à l'origine d'un générique désormais célèbre.
Bon, pour la suite de ce Bordel, il va falloir avoir de bons mollets alors ne mollissez pas car il reste de la route et hop, hop, hop, on y va car ça commence à bouchonner derrière à l'entrée.
Car une fois de plus, nous irons loin dans le Bordel, comme par exemple à l'hôtel Ryokan Hozantei à Kyushu au Japon car il n'existe pas de Kyushu aux îles Vierges mais au cas où, toute l'équipe technique se renseigne et revient vers nous avec de plus amples renseignements s'il advient que si, quand même, y'a d'autres Kyushus partout.
Après, si vous préférez bouger tout le temps, rester nomade et aller constamment vers les autres, c'est votre choix et ici, on le respecte et vous pouvez vous servir parmi les quelques moyens de locomotion ci-dessous pour poursuivre votre route. Attention, LSD non fourni.
Continuons par une petite marche à New York en 1950 sous l'objectif de Tony Vaccaro, Vera Ellen qui passait par là pour briser quelques cœurs alors ok, Vera, bienvenue et un burger de Song Wei car c'est pas tout mais toutes ces agapes au Bordel commencent à ouvrir l'appétit.
Bon, M. Steed nous propose de trinquer à la santé du week-end qui s'annonce inexorablement en toquant à la porte du bonheur alors hein, pourquoi pas, surtout si c'est Madame Peel qui me sert. De près, si possible.
Et puis si ça ne vous plaît pas, voyez ça avec Paulo. Paulo, les gens du blog, les gens du blog, un doigt de Paulo.
Ah, une petite requête poupoupidoulienne. Qu'est-ce ? Qu'ouis-je ? Quelles sont les revendications ?
Des damoiseaux ? Oui, c'est vrai que le Bordel les a un peu négligés ces derniers temps aux profit des demoiselles mais voyez-vous, faut bien faire tourner le business et remplir les alcôves, les canapés et les petits recoins sombres derrières les rideaux (tarif sur demande).
Et puis si ça ne vous plaît pas non plus, eh oh, ça va bien là et voyez ça avec Jason.
La route de briques jaunes étant actuellement occupée par des gilets de même couleur, je vous propose de bifurquer vers la route arc-en-ciel en tant qu'itinéraire de délestage recommandé par Bison Futé alors voyez. C'est vu ? Allons-y.
Rajoutons pour le plaisir (non Hubert tais-toi ! Sécurité ! Sortez-moi tout de suite Herbert Léonard !) deux splendides tours de magie que Garcimore n'aurait pas renié. Hé hé, décontrachté.
Ah, une nouvelle revendication qui vient du cœur et tout à fait hypno... hypno...hypno... hypno...hypno... hypno...hypno... hypno...hypno... hypno...(excusez-nous, un bug) ...hypnotique.
Oui, il est temps de passer aux donzelles avec une page spéciale pour les beaux yeux de Carolyn Jones dont le charme vénéneux allait ensorceler une tonne d'adolescents bubonneux dans le rôle de Morticia Addams, la querida mia de Gomez, la maman de Pugsley et Vendredi (et la maman de Wonder-Woman mais ceci est une autre histoire que nous ne vous narrerons pas aujourd'hui, pas besoin d'insister, ça suffit, non mais).
Vite, passons à de l'art avec une sélection de qualité comme ce "1943 A" de Clyfford Still, ce "For an Anniversary" par Afro Basaldella en 1955, cet "Untitled 8" de 1979 par Herman Cohen et cet "Untitled" pas huit de Joan Mitchell et de 1964.
Mais encore ? Mais encore du Michael Goldberg, "Untitled" de 1956, Philip Guston, "Untitled" de 1957, "Untitled" de 1949 de Robert Rauschenberg et "Untitled XVIII" de Willem de Kooning et de 1976. Au niveau des "Untitled", on est bien là, on est bien. Ils ne se sont pas trop foulés non plus.
Oui, cher public chéri, mon amour, lecteurs fréquents ou occasionnels, néo-bordelistes ou membres actifs, il est temps de passer aux célèbres Messages à Caractères Informatifs que vous attendez puisque la fin du Bordel approche et qu'ils sont généralement eud' par là.
Et c'est tout pour aujourd'hui mais ce serait sympa de partager ce Bordel avec vos amis par le biais de Twitter, Facebook, Instagram ou ce que vous voulez. Vous pouvez aussi vous abonner directement à ce blog dans la petite fenêtre "Newsletter" touuuuuuut en haut de cet article ou suivre tout sur le groupe Facebook de ce blog sis ici Après La Pub sur Facebook. En attendant (Godot, la pluie, ce que vous voulez), ce blog fête son 11e anniversaire aujourd'hui et nous, toute l'équipe technique et moi-même, ne sommes pas peu fiers de vous nourrir (un peu), de vous faire marrer (de temps en temps) et de vous avoir (régulièrement) sur ces pages. Joyeux 11e anniversaire Après La Pub, bon vendredi, bon week-end et à la semaine prochaine.