14 Février 2020
... Oui alors il semblerait qu'à nouveau, encore, c'est une manie semble-t-il, nous soyons vendredi. Bon, admettons. Mais même aussi pendant les vacances où tout le monde est barré ? Ah oui, encore. On me confirme donc que les vendredis des vacances comptent. Ah oui mais si on ne me dit rien, moi mais on mettra ça sur le dos de toute l'équipe technique dans la cave et d'une mauvaise traduction du Tamoul au français. Ouf, sauvé. Et comme c'est aussi pas mal le Bordel, demandez à Benjamin Griveaux ce qu'il en pense ce matin, autant y aller à donf' dans le Bordel avec les céramiques forcément délicates mais formidablement sympathiques de Toshihisa Ishihara qui n'a rien à voir avec Arsène Lupin et c'était une information importante à vous communiquer. Et pour plus de lui, c'est sur Toshihisa Ishihara parce que sur le site du Modem, vous ne trouverez pas.
Pour vous mettre un peu l'eau à la bouche et plein d'autres trucs mais après c'est vous qui voyez, faisons confiance à Marius Sperlich. Marius, les gens du blog, les gens du blog, Marius. Marius a amené son vin blanc, il est sympa. Et il a un très joli bouc roux, ce qui ne gâche rien.
Si d'aventure, vous aviez le projet de vous exiler au Brésil et que vous aviez, par chance, quelques containers inoccupés sous la main (une grande main), vous pouvez vous fier à Casa Container Marila (voir ici Casa container Marilia c'est par là muchachos muchachas) qui va vous transformer tout ça en petit havre de paix en moins de temps qu'il n'en faut pour term...
Bon, comme toute l'équipe technique m'indique qu'avec vos données biométriques communiquées en temps réel, il semblerait que vous ayez un peu la dalle et comme vous êtes beaucoup à lire ce Bordel, une petite pizza de trois mètres de long a été commandée rien que pour vous et autant vous servir tant que c'est chaud. Oui, il y a de l'huile piquante.
Admirons avec la prunelle de nos yeux (car la prunelle des yeux de votre voisin est à lui et rien qu'à lui) le magnifique travail d'Alice Gur-Arie visible jusqu'au 22 février à la Coningsby Gallery, sise au 30 Tottenham Street dans le plus très swinging London, W1T 4RJ, United Kingdom, not Europe anymore.
Envolons-nous ensuite jusqu'à Coruscant (première à gauche après Tatooine, deuxième à droite après Telos IV, prenez la bretelle de sortie n°12 vers Iridonia, sortez juste après la lune forestière d'Endor et après, c'est tout droit à 28 années lumières après Dagobah), grâce à ces magnifiques dessins préparatoires de Ralph McQuarrie.
Rajoutons quelques desperate housewives de Disney qui discutent de leurs maris dans un épisode de "Confession intime" avec Karine Lemarch... ah non.
Et tant qu'à être loin aux confins de la galaxie, autant faire un petit arrêt sur Saturn 3 où nous attend la délicieuse Farrah Fawcett et feu Kirk Douglas et pas encore feu Harvey Keitel.
Passons si vous le voulez bien et si vous ne voulez pas c'est le même tarif alors vous voulez bien, à cette splendide image de Gordon Parks à Paris en 1964 et à Paul Newman et Joanne Woodward photographiés par Lawrence Schiller en 1967, année pré-pré-érotique.
Tous ensemble, tous ensemble hey, hey, effectuons 1 puis 2 puis 3 puis 4 puis 5 poiriers et là, soudain, dans le Bordel, il se peut que vous ayez une grosse envie de vous offrir un pendentif à moins de 30 dollars parce que vous avez toujours adoré Munch (Edvard, pas John Munch, le collègue de Tutuola dans New York Tadam Unité Spéciale). Paf, ça tombe bien, le collier-cri vous attend eud' par ici C'est làààààààààààààààààà !!!!.
Si vous voulez bien vous donner la peine de continuer le Bordel en passant par cet escalier certes un peu casse-gueule mais qui est là et bien là, ce serait fort aimable de votre part car il n'y a pas d'autre issue à moins de rescroller au début de cet article pour en sortir par la porte d'entrée.
Ajoutons un Vladimir Nabokov bucolique à la chasse aux papillons car je fais ce que je veux ici vu que c'est mon blog et poursuivons guillerettement car si on poursuit en faisant la gueule, ça va pas le faire.
Enchainons avec un kziiiik tout à fait électrique, un Frida encadrée avec goût et monsieur et Madame Vinyle qui n'ont pas de fils alors ne vous emmerdez pas à chercher son prénom pendant des heures.
Et puis si ça ne vous plaît pas, voyez ça avec ces quatre gentlemen.
De toute façon, rappelons qu'ici c'est mon blog et que j'y fais exactement ce que je veux. Je vous préviens tout de suite que ce ne sont pas des paroles en l'air et je le prouve : tiens, j'ai envie... mmmm... voyons... de chèvres paissant paisiblement dans un jardin de San Francisco s'allume, San Francisco, où êtes-vous ? Mizzard et Luke, Psylvia, attendez-moi. Quoi ? J'appelle mes chèvres comme je veux.
Oui alors au niveau du standard de l'équipe technique tamoul du fond de la cave, nous avons reçu un certain nombre de plaintes concernant le caractère exclusivement féminin des donzelles (certes, que dire) et qu'un peu de biscottos de temps en temps plairait aussi (bon, d'accord mais c'est bien parce que vous insistez) alors voici quelques damoiseaux tel Noah Centineo, nouvelle coqueluche it-boy tout ça du moment, puis un inconnu qui ne vous offre pas soudain des fleurs mais qui boit du lait nu dans son bain et faudra ben vous en contenter et Alfonso Herrera for Bad Hombre Magazine (de novembre 2018) et allez pas faire la fine bouche non plus quand même.
Mais n'allez pas croire que kzzzzzzk, oui bon d'accord madame, merci de le rappeler avec votre kzzzk, ouille oui tout de suite madame, nous sommes donc obligés contractuellement de passer à ces quelques donzelles ci plus en avant.
Des donzelles toujours de qualité avec une Alejandra Guilmant encore humide de ses 46 longueurs matinales, une Tatjana Patitz par Môssieur Herb Ritts, le joli minois d'Anne Francis sous toutes les coutures, des bas qui ne font pas débat, un string zip zip, un angle parfait, un deuxième angle au cas où, un joli ponton parce que bon, sait-on jamais et deux grains de toute beauté.
Vite, passons à de l'art avec Daniel Buren, "PVC Giallo", de novembre 2003 (c'est précis, merci Daniel), Frank Stella avec son "Gran Cairo" de 1962 mais c'est moins précis qu'avec Daniel et Jules Olitski, "Fanny D, Magna" de 1960 qui ne s'emmerde pas trop non plus avec les fioritures dans les titres.
Ajoutons une pincée de Rogelio Polesello, "Cuadro" de 1968, Mark Edwards, "Finding the Way" de 2008 et Julian Stanczak, "Woods, Warm Red Lights" de 2009 et on est pas mal. Non, vous trouvez pas ? Franchement. Alors.
Et il est l'heure de passer aux célèbres Messages à Caractères Informatifs de la semaine qui sont tout frais eud' ce matin de chez mon fournisseur de Rungis, j'vous raconte pas ma bonne dame.
Et c'est tout pour aujourd'hui à moins de bien vouloir liker, twitter et partager ce Bordel n°417 avec vos ami(e)s si vous l'avez apprécié car toute l'équipe technique y a travaillé d'arrache-pied rien que pour vous et vos amis alors merci, hein, quand même. Vous pouvez aussi vous abonner à ce blog pour ne rien en manquer ou le suivre sur sa page Facebook ici, ah non feinte, aha, c'est là Après La Pub sur Facebook. Sur ce, c'est pas tout mais on va pas trainer à tortiller du cul pendant des heures alors bon vendredi, bon week-end et à la semaine prochaine.