C'est vendredi, c'est le Bordel #103

... Oui, c'est vendredi malgré des vacances toulousaines, amicales et gastronomiques. Le vendredi est bien calé à sa place, pile entre le jeudi et le samedi ce qui est un coup de chance assez inespéré, tout de même, vous en conviendrez. Et si vous n'en convenez pas, la porte est là. Pour autant, le bordel est comme chaque semaine : présent d'un coin à l'autre du globe si tant est que quelqu'un puisse trouver un coin sur un globe, ce qui reste à prouver et malgré mes notions basiques de mathématiques, ça va pas être facile, facile. Bref, le bordel nous entoure tels les Chiracahuas autour du Fort-Navajo de Mike Blueberry et quand même, myrtille pour un nom de héros, c'est ridicule. Tout autant que la mort de deux journalistes en Syrie évoquée hier, comme le débat sur la viande hallal initié par Ramène le Pire, pardon, Marine Le Pen, comme Gerald Dahan viré de Rires et Chansons alors que vu son humour navrant, il devrait être interdit d'antenne depuis longtemps, comme ce train fou à Buenos Aires qui danse un sanglant dernier tango, comme les milliers d'Espagnols dans les rues, les Grecs qui n'en peuvent plus, les Syriens qui n'ont rien si ce n'est les yeux pour pleurer ou Poutine qui fait tout pour redevenir tsar à la place du tsar. Donc en gros, vacance ou pas, c'est quand même bien le bordel de partout. Et donc ici itou avec comme chaque semaine une sélection d'images et d'idées remisées par devers moi dans un dossier de mon ordinateur avant d'apparaître ici dans ce bordel du vendredi avec pour commencer ce délicieux shampoing aux œufs. Mais aux œufs que par deux. Sinon, non.

Mais poursuivons. Nous n'allons pas rester sur cette première impression. Poursuivons donc par ce chien pénien, ce Puma, ce mixer très wonder, ce scooter pour trois, ce cui cui à clé clé et un petit doigt de fantaisie pour faire des duels qui font schwoooo et kziiiiii aussi.

Poursuivons avec Rihanna qui nous offre encore une preuve de son bon goût notoire, une paire de chaussures à délacer avec patience et les doigts quand même car avec les dents, vous n'avez pas fini, une robe pour scintiller sous les sunlights pas forcément des tropiques où je vous le rappelle l'amour se raconte en musique et où on a toute la nuit pour s'aimer alors en attendant, viens danser. Et sinon, j'ai un chapeau à dragon et un téléphone rouge comme Brejnev et Nixon mais c'est un exemple (non contractuel).

Sinon cette semaine comme j'ai commencé par une belle paire, pourquoi ne pas poursuivre en ce sens avec un florilège de jumeaux et de jumelles qui vaut son pesant de cacahuètes grillées, salées ou non, c'est selon. Les premiers sont tellement magnifiques que je vous les mets trois fois (et oui, ce n'est qu'une expression).

Ils sont magnifiques et je dirai même plus, ils sont magnifiques. Mais ceux et celles qui arrivent sont pas mal aussi. Un florilège de stylimsme et d'art capillairmsme de toute beauté.

Et pourquoi ne pas poursuivre par Michael Jackson et Benny Hill, hein, alors ? Je vous le demande (ci-avant) et je rajoute dix de der et belote, rebelote, Sophia Loren entre des couverts à salade géants (si ça c'est pas du bordel, je ne m'y connais pas), un distributeur à whisky, un joli cœur, un Lui d'un temps ancien que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaîtreuh, une baby-sitteuse des fois que vous en ayez besoin et un peu de Tom et Jerry pour toute la maisonnette.

J'ai aussi un peu d'Ike et Tina et ça ne fait jamais de mal sauf à Tina parfois, une baleine et un bien beau renard, une Eve de gala (merci ELH) bien que pas tout à fait de saison, un Ronald Mc Chesterfield, des hommes dont un avec une femme entre les jambes, une publicité gonflée, des petits jeunes qui débutent, un Pinscher à sa mammaire bien au chaud et un lit. Pourquoi ? Car il est joli.

Sinon, j'ai une cacahuète qui se tape un alien si vous vouliez une seconde preuve qu'ici c'est vraiment le bordel, un sac pas facile à assumer à l'école, une belle Bo au galop, un presque Bernard Lama mais en fait, non, c'est pas lui, un anarchiste à moustache, un sandwich long comme une semaine à Roubaix sous la pluie, un bain pas tout à fait diététique et un solo haut, très haut perché. Ah, les ravages de la drogue sur la jeunesse sur le toit.   

J'ai aussi un couple fleuri, une prise de tête entre de bonnes mains, un chignon élaboré, une grosse coupe et deux petites lignes pour faire passer et un concombre qui n'avance plus masqué mais c'est parce qu'il est un peu bourré, faut l'excuser.

Sinon, bien sûr, j'ai pensé aux filles et aux garçons lisant ce blog avec une petite sélection fort sympathique qui devrait contenter quelques fantasmes et puis de toute façon, c'est pareil si ça ne vous va pas. N'oubliez pas que c'est mon blog et que j'en fais ce que je veux. Garçon, fille, garçon, fille, pouf pouf, allez, cette semaine, contentons d'abord les garçons. Donc, les garçons, voici vos filles de la semaine. Faites-en bon usage mais soyez (ou pas) sages.

Une petite Traci Lords car c'est toujours bien, surtout chez John Waters (quoique dans Ma petite Sœur chérie, elle était pas mal aussi mais c'est une autre histoire que je ne vous narrerai pas aujourd'hui).

Et une jolie bikeuse pour faire la transition avec son homme à elle que voici ci-dessous et qui inaugure les mâles de la semaine. Des mâles burnés, des mâles à épée parfois ou à gants ou à rien. Juste des mâles.

L'est pas beau lui ? Alors. Allez, un punk en hauteur un peu flou, un main au panier qui n'est pas un dunk, un petit feu pour se réchauffer et on va pouvoir poursuivre.

Poursuivre ? Certes mais où ? Vers de l'art bordel avec Markus Linnenbrick qui s'est occupé de la prison de Dusseldorff avec plein de couleurs. Mais au niveau de la finition, c'est pas trop ça, Markus.

De l'art avec Seo Young Deok qui, comme son nom ne l'indique pas, est Auvergnat. Ah, on me dit dans l'oreillette que c'est une information possiblement erronnée qui demande confirmation. Ou non.

De l'art avec cette belle série de Peter Lippmann qui aime les caisses qui se mettent au vert.

Et il est temps de passer à de très fournis Messages à Caractères Informatifs de la semaine qui sont principalement informatifs mais qui ont aussi du caractère au niveau du sens du message que vous pouvez prendre un peu comme vous voulez au niveau du vécu.

Et c'est tout pour aujourd'hui mais n'allez pas me quitter sans avoir Liké comme des morts de faim avec le bouton Like un peu plus bas, Twitté ce bordel à qui mieux-mieux, partagé ce Bordel sur Facebook avec une phrase de votre cru qui attirera irrémédiablement tous vos amis et toutes vos amies vers ce Bordel où ils et elles sont les bienvenu(e)s. Et s'il vous reste un petit creux, il y a les articles de la semaine comme les dernières aventures du sherif Shark Ozzie dans Sherif, fais-moi re-peur et de splendides portraits d'Irving Penn dans  Au coin. et de la bière au choix dans  Bière blonde ou bière brune ? et de gros flingues sans forcément puer dans  Gun Report et la perte douloureuse et insensée de deux reporters sur le terrain dans  Le prix de l'information  et hier, je n'ai rien écrit car j'étais à Carcassonne et je ne peux pas tout faire en même temps non plus. Sinon, abonnez-vous. Enfin si vous voulez.

Tous les Bordels du Vendredi depuis l'aube des temps ici : Le Bordel du Vendredi

P.S : Spéciale dédicace au Toulousain.