C'est vendredi, c'est le bordel #120

... Nous sommes bien, hein Tintin tu me confirmes, oui c'est ça, nous sommes donc bien vendredi et effectivement, il n'est pas impensable d'évoquer la probabilité que ce soit un tantinet le bordel. Et c'est même le 120e Bordel très exactement. Crévindiou, ça commence à faire. Mais d'un autre côté, avec ce que le monde nous apporte chaque jour, le bordel n'est pas prêt de s'arrêter de sitôt. Car entre les dernières élections législatives qui ont fait le ménage à la Cilit Bang un peu partout (Marine Morano, Klaus Guéant, Nadine Le Pen, Benjamin Lancar, Frédéric Lefebvre, Ségolène Royal et quelques autres), à part quelques tâches résiduelles (Marion Maréchal nous voilà et Gilbert Collard), entre Dodo la Saumure qui prend 5 ans (du sursis, hein) et l'équipe de France qui prend cher mais qui le mérite, entre Air France qui fait du sol le plus bel endroit de la Terre pour 5122 employés à partir de bientôt et la mère de Manuel Valls qu'on escroque non mais c'est dingue, tout va à vau-l'eau depuis l'arrivée des communo-socialistes au pouvoir, aurait-on fait ça à la maman de Brice Hortefeux, hein, je vous le demande, non mais alors, entre Giscard qui vend ses meubles aux courses de dromadaires bientôt sur nos hippodromes, mais où va-t-on ? Droit dans le bordel et c'est bien le propos de cet article composé d'images captées ça et là mais surtout là, remisées par devers moi et importées (pendant des heures) par devers ci-dessous avec pour démarrer cet exceptionnelle coque lapine pour Iphone. Et coque lapine, certes, c'est un peu cochon mais surtout, c'est le pompon.

Pour ceux qui sont allergiques au lapin, il existe des versions interstellaires. Avec ou sans poils.

Et sinon, je peux aussi vous proposer une agrafeuse sushi-riz plus vraie que nature, un burger bien rempli, une glace qui sourit et des cactus très curieux. 

À part ça, voici une bougie qui dure 144 heures, une platine AMG V12 de toute beauté mais à 12000 euros, des écouteurs qui collent aux oreilles pour bien moins cher et une brosse à dents à jet.  

J'ai un parapluie presque bulgare mais en fait non pas du tout et un sac clavier de Jeremy Scott pour rester connectée à tout moment dans sa vie de geek à plein temps. Vite, vous avez un message, répondez.

Il me reste des ciseaux inutiles, des patins nouvelle génération et une tombe trop mortelle et sur ce, nous allons pouvoir poursuivre. Où ? Telle est la question et je vous remercie de ne pas me l'avoir posée car j'aurais été bien embêté pour vous répondre.

En ce vendredi béni, invitons-nous en toute simplicité chez Sofia Loren et son mari Carlo Ponti dans leur petite bicoque du XVIe siècle, une masure toute simple sans chichis.

Oh oui Carlo, prends-moi sur la margelle.

Déjà fini ? Bon...

Sofia Loren ou pas, on ne va pas faire la journée sur une vieille bicoque (et je ne parle pas de Sofia) alors poursuivons avec un hippo ni beau, ni moche, juste un hippo de poche, un hippo pote à moi.

Sinon, j'ai Twitter. Mais en vrai. Dans son habitat naturel.

Une mariée prête à tout flinger (ça ferait un bon titre de série B, ça), un pont trop loin, un géant fait de nains, une femme serpent, deux doigts de rock pour les revenants et un soupçon de lingerie trashy.

Pour faire passer, j'ai le lion de Lucerne. Demandez pas pourquoi, je ne le sais pas moi-même.

Et si vous êtes abonné, je vous offre une glace. Sinon, non.

Quelques WTF de qualité comme cet étrange objet pas volant ni roulant mais bien non identifié, ce poisson volant au funeste destin, ce chemin faisant bien anguleux et une bonne blague d'enculé.

Me reste quelques footeux attachés à leurs bourses, une Shiva en pleine danse lascive, des catholiques repentis très amis amis et quelques images Après La Pubiennes aux couleurs d'ici.

Enchaînons avec une Anonymiss, ça change qui a des arguments de poids pour mener la révolution.

Et tant qu'à parler de Miss, j'ai eu la chance de découvrir au hasard de mes pérégrinations nocturnes sur la grande toile la charmante, la magnifique, la splendide Tina Louise que je ne connaissais pas. Tina, de son vrai nom Tatiana Josivovna Chernova Blacker, naquit le 11 février 34 à New York. Comme sa mère, elle fut d'abord modèle puis pas comme sa mère prit des cours d'art dramatique, passa deux fois dans Playboy et devint très vite actrice à Broadway et pour le cinéma  pour Roberto Rossellini dans "Garibaldi"et pas mal d'autres, puis star de Gilligan's Island, une série qui n'a pas dû arriver jusqu'en France puis chanteuse puis un épisode de Kojak, puis une apparition dans Santa Barbara et puis plus rien. Nib. À part être assez gasp tout de même.

Mi Sherilyn Fenn, mi Nathalie Wood, 100% Tina Louise.

Même sur un pouf, elle ne faisait jamais pouffe. Et c'est pas aisé.

Et en amie des chips, elle n'était même pas ridicule. Et c'est bon les CHIPS !

En capitaine de bord, elle est très bien aussi. Babord, tribord, le choix est cruel.

Pardonnez Tina, elle a un appel mais elle revient de suite vers nous.

La revoici. Et c'est là qu'ébaubis, vous découvrez à la lueur de cette image en couleur que Tina Louise était une splendide rousse tout ce qu'il y a de plus rousse, ce qui ne manque pas d'ajouter plus de piquant à sa personnalité alors qu'avec les images en noir et blanc précédentes, c'était forcément moins facile de le discerner. J'en conviens.

Pour preuves supplémentaire, ces reportages encore très chaste mais en couleurs dans les Playboy d'avril 59 et de décembre 61 pour ceux qui auraient la collec' et voudraient s'y replonger.

Mais évidemment, je ne vais pas laisser ces dames en reste avec un florilège d'images du sublime Ricardo Montalban lors de ses plus vertes années avec des pectoraux, des deltoïdes et des biceps placés à chaque fois là où il faut.

Qualité supplémentaire, Ricardo jouait super bien "Stairway to Heaven" et "Jeux Interdits" à la guitare, courait le 100m en 10.14, réussissait très bien le gigot au lait de coco et dansait à peu près tout, du Mambo à la Carioca, de la Valse à mille temps à la Rumba et du Kollé Serré au Paso Doble. Et là, je suis tenté de dire : "Olé".

Allez, sans transition, je vous rajoute Paris Jackson (oui, la fille de The Artist Formerly Know As Prince) qui a vraiment bien grandi et un Jésus qui joue au bowling car je fais ce que je veux et c'est toujours mon blog ici.

Dix de der, je retiens deux et Quinte Flush dans ta face, je vous mets aussi un acrobate du quotidien, une récolte de chanvre sur tous les billets de 10 dollars dans le monde (si, si), mais que fait la police et si vous ne me croyez pas, vous pouvez toujours vous fourrer le doigt dans l'œil, je vous en ai mis un gros.

Mais passons à un peu d'art avec cet hippopotame datant de 1961 à 1878 avant Jésus Christ, soit rappelons-le, 3900 à 3817 avant John Cleese. Que son nom soit sanctifié (pas le premier, l'autre).

Un peu de Felice Varini à qui je demanderai bien de refaire mon appartement si j'avais de l'argent.

Du Jacob Hashimoto en bas, en haut, de partout.

Un H.R Giger en position du Lotus (très rare).

Cette belle image d'Anton Polyakov trouvée sur Flickr.

Un petit Calder pour prendre l'air.

Deux dessins bluffants de Cath Riley.

Un peu de Marc Quinn pour faire avancer le tout.

Le moulage de Kate Moss parce que c'est joli.

Une petite sculpture de Nicole Wermers. Une vraie. Une Wermers Original.

Et les étranges œuvres de Richard Stipl qui a bien fait de faire artiste plutôt que psychopathe serial-killer sanguinaire et qui ne peuvent laisser personne indifférent sauf si le personne en question a le maheur d'être aveugle, de ne pas avoir internet et d'habiter seul à Guéret (spéciale dédicace Technikart).

Sur ce cri guttural, il est temps de passer aux inénarrables Messages à Caractères Informatifs que je ne vous narrerai pas donc et puis en plus ce serait trop long de les narrer un à un vu qu'il y en a plein de partout ci-dessous.

Et voilà c'est fini pour aujourd'hui mais si vous avez loupé les articles de la semaine dans Après La Pub, c'est que 1. vous n'êtes pas encore abonné mais vous pouvez encore vous rattraper et de 2. c'est pas grave, ils sont là  avec par exemple CleanArtPlanet de retour pour une bonne cause dans Planète Urgence. et de sublimes images toutes carré dans Les Polas d'Andréa. et des Lions d'or car oui, le lion est d'or ce soir Yes we Cannes et deux footballeurs de grand talent sauf derrière un micro dans Hit Marades #4 : Chris Waddle & Glenn Hoddle et des footballeurs plein de talent aussi mais avec un melon gigantesque dans  La France en carton et et c'est à peu près tout pour la semaine écoulée. Mais avant de nous quitter, pensez à partager ce bordel à qui mieux-mieux à qui vous voulez grâce à l'usage fort utile de ces petits boutons Twitter, Google+, Linkedin et celui du dessous avec marqué "J'aime" qui ouvrira une petite fenêtre pour vous épancher sur le pourquoi du comment de cette envie irrépréssible de partager ce bordel et moi, je serai vous, je n'hésiterai pas. Bon vendredi, bon week-end et à la semaine prochaine.

Tous les Bordels du vendredi sont compulsables ici Le Bordel du Vendredi mais veillez à respecter ces lieux et laisser les bordels dans l'état où vous les avez trouvés en entrant. En vous remerciant.