3 Juillet 2013
... Il est tout à fait possible que l'on soit en quelque sorte vendredi et ce, même si mes récents problèmes avec Overblog me font douter un peu de pas mal de choses. Mais devant l'adversité le bordel se cabre, rue et ne détale pas tel le vil crotale à qui un fier bronco aurait marché sur la queue et bordel que ça fait mal même pour un invertébré. Le bordel retente sa chance en deuxième semaine avec le même nombre exact d'images qui me furent refusées la semaine dernière et on verra bien si ça passe ou pas. Un bordel plein de suspense donc tel la célèbre tarte Tatiiiiiiiiiiiin. Mais poursuivons. Dans le bordel tronçonné la semaine dernière aussi sûrement qu'une gourdasse blonde à forte personnalité dans un film d'horreur pour bubonneux prépubères digne de ce nom, vous auriez dû voir une suite logique d'images que je me fais ch... que je m'évertue à associer les unes aux autres dans un rythme variant entre adaggio, allegro, presto et cappuchino serré. Les voici donc réunies. Enfin, peut-être.
Car quel intérêt d'avoir ce logo si magnifiquement porté s'il n'est pas suivi de ces mi-bas capés qui volent vers vous tel un oiseau, non, tel un avion, non, tel une image du bordel, oh que oui.
Quel intérêt de vous faire découvrir cette Lamborghini peinturlurée si ensuite, vous n'avez pas ces stickers fort utiles pour vous en rappeler ?
Et quel dommage d'avoir manqué ce barbecue que je réservais aux meilleurs d'entre vous accompagné d'une musique enlevée, tendue lyrique et qui élève l'âme mais pas seulement.
Et quel dommage de... ok, bon, on a compris.
Si le bordel doit rester le bordel, quand il est tronqué, ce n'est plus le bordel. Alors que je vous avais prévu la carte de la Pangée, ce primo-continent originel qui aurait pu alimenter les longues discussions de cet été qui pointe enfin mais aussi deux extraits de Laserblast, film de 78 des fois que vous soyez pas trop géographie.
Mais Big Brother Overblog me watchait et d'un coup, m'annonça qu'il mettait le bordel dans le bordel.
Mais c'est pas grave, respirons quelques instants les embruns pour se calmer.
Poursuivons notre chemin envers et malgré tout et faisons fi des turpitudes tout en tournant à droite.
Oublions les tracas.
Et quoi de mieux qu'un peu de barre sans barre pour se détendre ? Je vous le demande. Ci-avant.
Mais passons à un pachyderme sur derme, un chat au chaud, un saut vers l'inconnu tout nu, ressourçons-nous en méditant un instant avant de nous extasier sur ce magnifique disque dur de 10 mega et 10 mega, c'est pas rien puisqu'on vous dit que c'est 10 méga. Alors que rien, ben, c'est pas 10 méga.
Sur ce, je vous rajoute un ballon de toute beauté, deux gifs de qualité et quelques accortes demoiselles triées sous la véranda car le volet est en réfection, excusez-nous pour le dérangement.
Non mesdames, s'il vous plaît. On ne joue pas avec la nourriture. Bon, juste un croc alors.
Passons aux beaux du jour qui sont en fait les beaux de la semaine dernière rapport aux problèmes techniques indépendants de notre volonté et de celles des petits Sikhs que j'ai engagé récemment et dont je suis jusqu'à présent, très content. À part leurs turbans qui prennent de la place dans la cave.
Et si c'est aussi le bordel en ce moment, c'est parce que la maison du bordel est en réfection après 15 ans de feux de cheminée, de Winston et de currys improbables. Alors voici l'avant.
Et voici l'après. Non, je crois que j'ai bien fait.
Je doute encore avec ce modèle-ci. C'est plus austère aussi. non, je garde le premier pour jouer au baron perché.
Allez, hop, on entre, hop, on ressort.
Et on poursuit avec de l'art et notamment le sublimissime tableau de Takashi Sobajima sobrement intitulé "Sympathy" et c'est vrai qu'il est sympathique, le bougre.
J'ai beaucoup aimé cette image de Miranda Lehman, trouvée sur son Flickr.
La sublime Benedetta Barzini portant du Jean Louis en 66. Très Klimtienne.
Un Bo Diddley par Guy Pellaert pour mettre un peu de rythme.
Une petite étude toute simple des nuages par Sir John Constable en 1822. Excusez du peu.
Un bol d'air coloré de Marcelo Jacome.
Un masque Dan de Côte d'Ivoire. Hi, Dan.
Une très belle image de 1956 par Julius Schulman assez logiquement intitulée "Mobil Gas Station" alors que "Cassoulet William Saurin" eut pu, à mon humble avis, créer une disruption intéressante mais bon, voilà, quoi.
Un Araki tout contrit jusqu'au kiki.
Un nuage de Soulages pour faire passer le tout.
Et terminons ce volet (a y'est, il est réparé) artistique avec Stefan Bruggeman. Merci d'éteindre avant de mourir.
Mais oui, avec une semaine de retard certes, il sont là et au complet, les célèbres Messages à Caractères Informatifs que voici que voilà.
Et c'est tout pour aujourd'hui et cette semaine, je ne vous demande même pas de liker ou de twitter car vous l'avez fait la semaine dernière malgré les petits soucis inhérents aux 30 techniciens experts en longueur d'articles de blog. Bon vendredi, bon week-end et peut-être ou pas à la semaine prochaine.