... Attention, ce titre ne veut pas dire que les autres graffitis sont inutiles. Mais disons qu'il y a graffiti et
graffiti. Et si le graffiti est une vraie forme d'expression, la majorité de ceux que je rencontre régulièrement sont assez pathétiques. il ne suffit pas de signer Sum47 ou Wozir avec un Posca
pour devenir un artiste. Mais il y a des exceptions et je ne saurai trop vous recommander d'aller jeter un œil sur les photos de Jim & Karla Murray, ici link deux amis New Yorkais, grand chasseurs de graffitis sublimes dans leur ville et auteurs du magnifique livre "Store Front : disappearing
faces of New York" que je ne saurai trop vous recommander d'acheter (cherchez sur Amazon, vous le trouverez vite) et dont j'avais parlé ici : Store Front. The disappearing face of New York. Oui, je sais, ce matin, je recommande trop et je sais que je recommande trop. Mais je ne
saurai trop vous recommander de penser qu'il y a des lundis comme ça, il faut faire avec.
Mais ce n'est pas de Jim et Karla dont je voulais vous parler aujourd'hui, je me suis totalement fourvoyé en voulant prendre un raccourci que jamais... c'est bon on la connaît l'histoire.
Non, je voulais vous parler de ce travail de design basé sur le graffiti par un artiste dont j'ai malheureusement perdu le nom parmi mes déambulations du week-end sur un site dont j'ai
malheureusement oublié l'adresse mais si je le retrouve, je le rajouterai et puis, si vous n'êtes pas content, estimez-vous heureux que je n'ai malheureusement pas oublié de vous en parler. Mais
qui êtes-vous, au fait ?
A y'est, j'ai retrouvé son nom : il s'appelle Luis Alicandu et vous pouvez en voir plus de lui sur link. Rendons à Luis ce qui appartient à Luis, tout de même. Et puis, j'aime bien les
Luis.