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C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)

Ouais, c'est super 2014 chez Overblog ! Trois heures d'écriture pour ce premier bordel de l'année et tout qui disparaît à la publication à minuit pile. Merci, vraiment merci, ça donne encore envie de poursuivre avec vous. Bref, vous l'aurez compris, ce premier bordel de l'année en est vraiment un et je suis obligé de me retaper un texte de secours car un bordel sans texte, c'est un peu comme une femme sans seins, un tyran sans bombe atomique ou une Nadine Morano avec cerveau, ça ne rime pas à grand-chose. Car sans mots, comment expliquer cette magnifique moto faite entièrement de crevettes ?

C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)
C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)
C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)

Oui, comment expliquer ce café sur le pouce, non, pardon sur l'index ? Comment expliquer l'utilité certaine de ces sweat-shirts à partager entre amoureux ? Comment expliquer cette envie subite un 3 janvier de piquer une petite tête ou de s'offrir un barbecue ? Ou deux ?

C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)
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C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)
C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)

C'est un peu lassant d'avoir à réécrire un texte, d'essayer de retrouver des jeux de mots vaseux que mes écossais et moi-même avions concocté toute la semaine pour les images de ce bordel. Enfin, mes écossais... torchés comme ils sont depuis le 31, ils ne m'ont pas été d'une grande utilité pour vous dire que le Dr Joel Fuhrman est loin d'être con et que cette dague souple de toute beauté est d'un siècle que j'ai oublié de noter, comme son pays d'origine et que donc, bon, voilà. Quand au couteau qui suit, si vous le voulez, envoyez-moi une pièce en argent pour ne pas couper notre amitié à PA Po Box 92100 Boulbi et je vous le retourne par courrier dûment tamponné, tel le coquillard qui se respecte un tant soi peu.

C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)
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C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)
C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)
C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)

Sinon, j'avais dû écrire des trucs vachement intelligents sur les nouvelles bottes de Katy Perry et sur ce tatouage de Popeye de qualité supérieure. Mais plus rien.

C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)
C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)

C'est pareil pour cette sublime série de Sofia Loren qui se balade avec sa 500 SL qui avait suscité en moi une verve littéraire que je ne vous explique même pas car de toute façon, vous ne la lirez pas car elle s'est perdue dans les méandres Overbloguiennes pour l'éternité.

C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)
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C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)
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Alors là forcément, je vous parlais des gifs de la semaine qui sont au nombre de trois et dont un contient du Fangio, en remplacement de Michael Schumacher qui m'a posé un lapin sans que je sache trop pourquoi mais sache que c'est assez peu courtois, Mika.

C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)
C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)
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Donc après, j'avais dû développer des envolées d'un lyrisme intense pour vous présenter Jan Sterlin, Lita Ford et ces trois charmantes inconnues pas ingénues pour un sou mais pour un billet, on peut discuter.

C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)
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C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)
C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)

Tout comme j'avais fait un texte absolument sublime sur l'égalité des droits, les choix de chacun et les goûts et les couleurs et l'amour et Jimmy Page à tout âge dans tout ça.

C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)
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C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)
C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)

Et l'un dans l'autre comme le sussurait Robert Mitchum à l'oreille de Shirley McLane dans "What a way to go", si chacun fait fait fait ce qui lui plaît plaît plaît et s'occupe de ses fefefesses, les bordels seront bien gardés.

C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)

Alors oui, j'avais des mots sublimes pour légitimer cette double boule à facettes, ce plouf et ces pouffes qui pouffent, cette infographie de qualité sur le sandwich, ces bandes blanches, ce gros câlin et ce WTF de qualité mais voyez, tout s'est perdu.

C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)
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C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)
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Bon alors là, fort logiquement, je devais vous proposer une petite pipe, tel que je me connais. C'est tout à fait plausible.

C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)

Alors là, forcément on passait à l'art avec les rubans qu'on dirait de la GRS tellement c'est beau de Daniel Sinsel, avec Gösta Adrian-Nilsson et son "Konstruktion på svart", soit "construction en noir, de 1930, et avec John Sloan (peintre américain né en 1871 et mort en 1951) et son "Sunset, West Twenty-third Street " de 1906.

C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)
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Ensuite, je vous disais que cette image est intitulée "Landscapers" par Robert c'est bon, c'est bien et c'est Bösch, qu'ensuite nous avions un "Standing Male Nude" soit un homme debout à oualpé par Edward Hopper, peint aux alentour de 1902-1904, soit peut-être en 1903 mais mes écossais n'ont toujours pas décuvé donc rien dans l'oreillette et qu'enfin, voici qu'arrivait le dernier tableau peint par Vincent Van Gogh à ce que l'on m'a dit mais avec toutes ces conneries d'administration et de texte qui se barre, j'ai pas eu le temps de recouper pour valider la véracité de cette information.

C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)
C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)
C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)

Et enfin, je nous finissais valeureusement avec ces sculptures d'une grande beauté de Stian Ådlandsvik, "Metal Clouds" de 2010, avec ces études de mains sans prétention mais avec un putain de talent d'Albrecht Dürer et je vous offrais quelques bulles de Yayoi Kusama pour finir sur une note gaie et pétillante.

C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)
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C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)
C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)

Venait ensuite un texte en prose absolument admirable sur l'impérieuse nécéssité de lire, de vous servir comme dans un self et de partager ces premiers Messages à Caractères Informatifs de 2014.

C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)
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Et là, forcément, je devais vous dire que c'est fini pour aujourd'hui mais que ce serait sympa de liker, de twitter, de google+er et de Linkediner ce bordel comme des guedins mais si et seulement si vous l'avez apprécié sauf si vous avez un peu de charité chrétienne ou musulmane ou bouddhiste ou une charité juste athée, auquel cas vous pouvez le faire quand même. Et je devais finir par bon vendredi, bon week-end, bonne année, bonne santé et bonne bourre ou quelque chose comme ça, ce que je vous souhaite de tout cœur et avec toutes mes excuses pour ce léger désagrément passager.

C'est vendredi, c'est le Bordel #187 (de 2014)
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D
Dans notre infinie mansuétude nous ne te tenons pas rigueur de ce minuscule incident. (mais que cela ne se reproduise jamais)<br /> Bonne Année, et arrête un peu de te goinfrer de pâté.
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P
Le foie gras, je peux ?
G
A part que c'est pas des crevettes mais des langoustines..<br /> C'est un beau Bordel... comme d’habitude.
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P
C'est parce que je ne mange pas de ce pain là. Enfin, pain...
D
Bonne année PE et encore beaucoup de bordel !<br /> JF
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P
Bonne année ms'ieur Dufay mais ta vue baisse, moi, c'est PA :)
M
Les mains de Dûrer sont magnifiques mais en parlant de mains, heu'l Gillet, il a deux mains gauches ! Pourquoi qu'il écrit pô d'abord sin texte dans TextEdit sur sin bô mac portap et qui le redispose pô à nos mirettes ébaubis après ? Au lieu heu'd faire chô à l'arrache direc dans overmerde ? Hein ?<br /> Bon, sans les paroles j'ai beaucoup apprécié quand même et j'ai presque cru à une nouvelle version du bordel : «le choc des images et la légèreté des mots» :-)
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P
Il préfère l'écriture en direct live sans filets...
L
c'est vrai que c'est le grand bordelo : reçu les mêmes ce matin et maintenant ... pas grave j'ai pu réviser toutes les belles conneries du joyeux bordel 2014 !
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P
Il est reviendu le bordelu.
Z
même muet c'est un super bordel.....Vive lui et 2014 !
Répondre
P
Ca y'est, il parle à nouveau !
C
Argh !
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P
Le texte (de secours) est arrivé.
F
Bonne et belle annee 2014 pour mes yeux et mon cerveau <br /> Fred
Répondre
P
C'est tout ce qu'on vous souhaite ici, au bordel.