7 Novembre 2014
... Nous sommes bien, oh oui Tintin, nous sommes bien, le lendemain de jeudi soit à priori aux alentours de vendredi depuis une poignée de secondes pour mes lecteurs les plus avides et quelques heures pour ceux qui sont plus du matin après douze cafés, comme moi. Encore un vendredi, un vendredi de plus ou un vendredi de moins selon que vous soyez verre à moitié vide ou à demi plein. Bref, c'est vendredi et entre Frankie Lowland qui nous parle à la télé à Shark Ozzie qui dézingue en off, de Willy Sagnol qui aurait mieux fait de se taire (comme 90 % des footballeurs, hormis Doudou Cissé et Jean-Luc Sassus et Vikash Dhorasoo, non, pas Dhorasoo) au Clasico qui va faire parler jusqu'à dimanche, d'Obama qui se prend une veste en relevant son pays au batteur d'AC/DC mal barré en Australie, on peut se dire que c'est aussi pas mal le bordel eud' partout. Alors pourquoi pas ici aussi avec une sélection d'images vues un peu partout sur le net cette semaine, remisées par devers moi et reversées ici pour constituer ce bordel n°225 qui démarre par une idée pour faire des œufs au plat moins plats en jouant au pirate sans acheter du Tipiak, le tout étant disponible pour la modique somme de 9 dollars et 85 cents sur Amazon ici : amazon.com/dailycoolgadgets-20.
Passons si vous le voulez bien à cet étonnant miroir Wayfarer disponible sur strictlymancave.com/sunglasses-mirror/, cette valise droïdesque pour vos vacances dans les étoiles et si d'aventure, vous ne baisez pas de ménagères, vous pouvez malgré tout avoir le cul qui brille (© Georges Abitbol) avec cet ingénieux papier-toilette double épaisseur 24 cacas, non, carats.
Poursuivons par cet envoi de la semaine (merci Guillaume L) : une peluche tout à fait ce qu'il y a de plus Après La Pubienne, abreuvons-nous délicieusement par le truchement de cette carafe à sang froid de 1885, admirons cette cravate de la marque Not R et saluons la modernité de ce professeur japonais qui aime le Q, le R et les codes par la même occasion.
Passons par ce petit fanzine illustré et publié de 65 à 70 par un certain Gene Klein plus connu quelques années plus tard sous le nom de Gene Simmons (voir ici gene-simmons-and-kiss-channeling-ones-inner-superhero-2) et n'hésitez pas à partager ces deux infographies absolument inutiles donc rigoureusement indispensables. Quoique. Mais bon.
Enchainons par une partie d'échec à échelle humaine et équine à Saint-Petersbourg en 1924 parce que je fais ce que je veux ici, c'est mon blog, poursuivons avec la splendide Lara Stone par Cédric Buchet et allons chercher la suite du bordel en quelques petits sauts de puce grâce à Neil Walton. Hop, hop, hop, merci Neil.
Quoi d'autre ? Une hôtesse à attraper au lasso entre deux trous d'air, un Joker tout de violet et de vert et des silhouettes de vampires made in BarkingMadArts et si ça vous intéresse, z'avez qu'à chercher.
Merci de vouloir emprunter la sublime Type E afin de poursuivre en déchainant votre pelvis et puis si ça ne vous plaît pas, voyez avec le monsieur plus bas.
C'est par où maintenant ? Eud' par ici. Et n'oubliez pas de prendre vos champis.
Du pelvis, forcément, on arrive vite à Elvis qui s'invite cette semaine dans le bordel mais il a droit car c'était un spécialiste (aah, cette interview face à Nixon où totalement défoncé il propose ses services comme agent secret pour lutter contre les méfaits de la drogue à qui, je vous le rappelle, il faut toujours dire non juste après avoir dit merde au dealer). Bref, Elvis, seul dans toute la splendeur de sa jeunesse et Elvis avec une copine qu'on ne voit pas bien sur la pénultième photo mais mieux sur celle d'après. Chanceuse.
Euh ouane for ze money, two for ze show, allez, go, go, go. Oui, aime-moi tendre mais surtout, aime-moi vrai.
Loin s'en faut après cette débauche de brillantine, mais je vous rajoute quand même trois bellâtres de plus dont Bo et Luke Duke alors tout de même, faizez pas vos mijaurées et appréciez. Non, je n'ai pas de photo de Roscoe et Boss Hogg nus en plein ébat avec Flash, le basset, n'insistez pas (bande de dégueulasses).
... Yvonne de Carlo qui se la pète un chouya, Jane Mansfield qui jette un œil dans du gruyère, Olivia Wilde très comme son nom l'indique et deux charmantes inconnues que vraiment c'est dommage et mon numéro est le...
Elvis s'est invité, la callipyge Betty Bromser en fait de même et ça tombe bien car Betty sait faire plein de choses dans la vie, comme cuisiner de la cuisine avec des ustensiles de cuisine dans une cuisine, par exemple.
Parfois, Betty se lave les cheveux, qu'elle a fort soyeux sauf quand ils sont sales et c'est bien pour ça qu'elle les lave. Bon, là c'est bête, elle a oublié son shampoing.
Il arrive aussi à Betty de téléphoner. Et ce, sans téléphone. C'est très technique et avec le pont de mardi, je suis navré de vous informer que Michel Chevalet n'est pas là pour tout vous expliquer. Vous m'en voyez fort navré.
Il arrive également que Betty dubite, malgré le fait qu'elle soit née à Sofia, ce qui a une importance non négligeable à ce moment du bordel. Là, elle dubite dur mais étonnamment, elle reste vraiment chou. D'où l'expression consacrée "Elle dubite chou, de Sofia". Voilà voilà.
Betty lit mais pas comme le commun des mortels, ce serait trop facile. Quand Betty lit, elle lit de dos, en biais et par derrière.
Preuve de sa maturité technique à toute épreuve, il arrive même à Betty de lire sans livre mais n'essayez pas, il faut des années de pratique assidue pour en arriver là.
Betty est finalement une femme toute simple, elle aime faire des étirements, faire plaisir à un arbre, faire quelques longueurs dans la piscine et faire son boulot de Super-Betty-Bromser-Girl à la perfection.
À noter (merci de prendre un cahier et un stylo) que Betty s'exprime également très bien en couleurs dans toute la splendeur de sa blondeur et l'exubérance de ses courbes folles et sinueuses qui... mais je m'emballe, excusez-moi, enfin donc voilà, Betty, les ami(e)s du blog, les ami(e)s, Betty.
Et puis ça ne vous plaît pas, voyez avec le monsieur plus bas (et si c'est vous qui avez tué son père, préparez-vous à mourir).
Vite, de l'art en attendant la prochaine SHAG avec une construction spaciale de 1920 par Alexandre Rodchenko, "Paisaje-Sur" de 1966, un tableau vert de toute beauté de Gunther Gerzso, artiste mexicain né en 1915 et trépassé en 2000 et "Pedestrian Bridge in Dusseldorf", image de 1963 et surtout, hein, quand même, de Karl Hugo Schmölz. Oui, comme Eddie Mitchellz.
Deux magnifiques œuvres de Cyprien Eugène Boulet qui est peut-être de la famille d'Olive et Sändy mais rien n'est moins sûr et les sculptures de papier de Ho Yoon Shin qui a encore moins de chances d'en être.
Il est l'heure à présent de passer aux célèbres Messages à Caractères Informatifs de la semaine qui sont en nombre conséquent et juste à côté en sus, à piaffer comme des mômes et non, rien de rien, non je ne regrette en rien ce jeu de mot.
Et c'est tout pour aujourd'hui, sauf si dans un immense élan de solidarité collective, vous décidez de tous contribuer à la cagnotte du Bordel sur Leetchi ici solidarite-au-bordel-du-vendredi ou si vous pensez que partager ce bordel avec des amis, des inconnus, des voisins, des collègues est une bonne idée, auquel cas, n'hésitez pas à tripoter les boutons ronds en bas pour le diffuser sur Facebook, Twitter, Google+, Linkedin, Pinterest ou juste par mail car c'est aussi possible. Mais ne faites ceci que si et seulement si vous avez apprécié ce bordel. Si, par exemple, vous êtes Gilbert Montagné, c'est pas obligé. Sur ce, bon vendredi, bon week-end et à la semaine prochaine sauf si vous voulez vous abonner en rescrollant tout en haut de ce blog pour mettre votre mail dans la petite fenêtre prévue à cet effet (une fenêtre Tryba, de qualité française).
Pour les encore non-abonné(e)s, vous pouvez compulser tout à fait gratuitement les articles de la semaine d'Après La Pub comme ce splendide cabinet de curiosités dans le-plus-beau-bureau-du-monde et l'hommage à Joël le Berre, grand DA désormais (et c'est bien malheureux) devant l'Éternel dans joyeux-joel et une énième fumisterie à la FIAC dans copie-pas-top et la splendeur du travail de presque Jack l'Eventreur dans mon-cher-walter et pour vous refaire tous les bordels du vendredi de l'histoire de l'humanité, c'est par ici le bordel du vendredi alors que par là, non, il n'y a plus rien. Non, rien de rien, non. Ni le bien. Ni le mal. On vous dit qu'il n'y a plus rien.