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C'est vendredi, c'est le bordel #266

... Bien que nous ne soyons pas à priori dans les limbes du Pacifique, nous pouvons malgré tout supposer qu'il y a de fortes chances que nous soyons vendredi. Et ici, en ces pages, il est de coutume de célébrer une sorte de messe païenne le vendredi avec une sélection d'images vues dans la semaine sur le net, remisées par devers moi et reversées ici dans un ordre pas tout à fait ordonné mais un peu ordonné mais pas trop non, constituant ainsi un bordel de fort bel acabit qui démarre instamment avec les mini-galaxies maxi sympathiques de Lorraine Loots, artiste minimaliste s'il en est que vous pouvez même acheter eud' par ici : paintingsforants.com

C'est vendredi, c'est le bordel #266
C'est vendredi, c'est le bordel #266
C'est vendredi, c'est le bordel #266
C'est vendredi, c'est le bordel #266
C'est vendredi, c'est le bordel #266

Enchainons avec un sweet-shirt monoglobique de qualité, de l'herbe à chat qui ne se fume pas (l'herbe, le chat, ça peut se négocier avec des serbes à partir de 500 euros), des bagues pour rester connectée en toute tranquilité et une couronne pour reine naine ou baronne ou daronne de petite taille. 

C'est vendredi, c'est le bordel #266
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C'est vendredi, c'est le bordel #266
C'est vendredi, c'est le bordel #266

Passons désormais à l'œuvre monumentale "Bullseye" par James Popsys, une carafe cobra Lalique 1920 de toute beauté et une cigogne que vous pouvez vous carrer à peu près où vous voulez.

C'est vendredi, c'est le bordel #266
C'est vendredi, c'est le bordel #266
C'est vendredi, c'est le bordel #266

Poursuivons avec un spécialiste en informatique de l'ère Ming (juste avant l'ère Ping), trois sabres boucle d'oreille si jamais vous avez trois oreilles et un premier gif pour vous mettre en appétif, euh, appétit.

C'est vendredi, c'est le bordel #266
C'est vendredi, c'est le bordel #266
C'est vendredi, c'est le bordel #266

Car les gifs de la semaine sont bien là vu que la dite semaine est écoulée, tel jadis le Rainbow Warrior qui, pour les plus jeunes lecteurs ou lectrices de ce blog, n'était pas un vil homophobe amateur de close-combat à mains nues.

C'est vendredi, c'est le bordel #266
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C'est vendredi, c'est le bordel #266
C'est vendredi, c'est le bordel #266

Installez-vous bien confortablement pour la suite de ce bordel  qui passe actuellement à votre gauche et votre droite par les dessins préparatoires de Ron Cobb pour le film Alien. Oui comme dans "Et j'ai crié, criééé Alien pour qu'elle revienne mais dans l'espace, personne ne vous entendra crier alors oubliez".

C'est vendredi, c'est le bordel #266
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C'est vendredi, c'est le bordel #266
C'est vendredi, c'est le bordel #266

Ah, excusez-moi, un appel, le travail sûrement, les affaires reprennent, ah ah ah, ah non merde, encore des vendeurs de fenêtres en alu à la con.

C'est vendredi, c'est le bordel #266

Passons à Bela Lugosi tranquilou chez lui, Gainsbourg face à des paras prêts à sauter sur Kolwezi (oui, le petit nom de Serge Gainsbourg dans l'intimité était Kolwezi, on ne le sait que peu), une dune animée, un fauteuil pour aller comme sur des roulettes, l'autre cruche de Beyonce qui s'essaye aux couleurs du bordel mais c'est pas gagné Bey et puis si ça ne lui plaît pas, qu'elle voie avec le bambin que voilà.

C'est vendredi, c'est le bordel #266
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Ou, au choix, cette semaine...

C'est vendredi, c'est le bordel #266

Si vous voulez bien vous donner la peine de schboinger par ici et de ploufer par là, ce serait sympa pour poursuivre de manière logique dans ce bordel. Merci. Les serviettes sont dans le pool-house, servez-vous. 

C'est vendredi, c'est le bordel #266
C'est vendredi, c'est le bordel #266

Sur ce, passons à Carré Otis. Comme la forme et l'ascenseur. Ou John Le et Redding. Ou Isabelle et  la famille occupant le château dans la nouvelle d'Oscar Wilde "Le fantôme de Canterville", la ville de Maître Kanter, oh oh, oh oh.

C'est vendredi, c'est le bordel #266
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C'est vendredi, c'est le bordel #266

Et puisqu'ici, c'est encore un petit peu mon blog et que j'y fais ce que je veux, je vous rajoute un peu de Veronica Lake car on n'a jamais trop de Veronica Lake quand on a envie de Veronica Lake. Bon, quand on a envie d'Alice Sapritch, c'est surprenant au début mais on s'y fait vite, finalement.

C'est vendredi, c'est le bordel #266
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C'est vendredi, c'est le bordel #266
C'est vendredi, c'est le bordel #266

Trois donzelles de plus et... hé ho, mademoiselle, un peu de tenue s'il vous plaît. Enfin, plus de tenue, enfin, moins de nu, enfin faites comme vous voulez, après tout.

C'est vendredi, c'est le bordel #266
C'est vendredi, c'est le bordel #266
C'est vendredi, c'est le bordel #266

Vite, passons à de l'art, de l'art de qualité avec Alain Biltereyst "Untitled" de 2010, "Geometric Rods" de Sidney Gordin en 1948 et deux chèvres magnifiques d'Asai Kiyoshi en 1950.

C'est vendredi, c'est le bordel #266
C'est vendredi, c'est le bordel #266
C'est vendredi, c'est le bordel #266

Dans un tout autre style, "La Scogliera" par Rubaldo  Merello en 1906, "Larkspur" par Siegward Sprotte et là, non, j'ai pas l'année et "Red Leaves" par Karl Hagemeister en 1908. Juste avant 1909.

C'est vendredi, c'est le bordel #266
C'est vendredi, c'est le bordel #266
C'est vendredi, c'est le bordel #266

Ajoutons la très belle série "Incarnate" de Leigh Wells en 2011. Collage et mix media, comme on dit chez les professionnels de la profession.

C'est vendredi, c'est le bordel #266
C'est vendredi, c'est le bordel #266
C'est vendredi, c'est le bordel #266
C'est vendredi, c'est le bordel #266

Un chouya de Salvador Dali, "Death Card", du Tino Vaglieri (Italia, 1929 - 2000) "Senza titolo (Figura con televisione)" de 1957, un ciel du nord toujours sublime d'Emil Nolde et "Waves in the storm" de Karl Hagemeister en 1914 et on poursuit.

C'est vendredi, c'est le bordel #266
C'est vendredi, c'est le bordel #266
C'est vendredi, c'est le bordel #266
C'est vendredi, c'est le bordel #266

Car il serait dommage d'oublier la moisson toute fraîche coupée y'a pas deux heures de Messages à Caractères Informatifs de la semaine, r'gardez donc comme c'est de la belle camelote, ça messieurs dames, allez, allez. 

C'est vendredi, c'est le bordel #266
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C'est vendredi, c'est le bordel #266

Et c'est tout pour aujourd'hui mais n'oubliez pas que vous pouvez vous abonner à ce blog qui est ouvert tous les jours de la semaine et pas seulement le vendredi et que vous pouvez partager ce bordel du jour avec un, deux ou douze amis aujourd'hui, là, tout de suite avec les boutons Facebook, Twitter, Google+ et Linkedin ci-dessous. Mais ne faites ceci que si et seulement si vous l'avez apprécié. Dans le cas inverse, ne faites rien, sauf si vous avez du boulot auquel cas je vous absous, faites-moi un Avé, deux Pater et trois gargarismes et on n'en parle plus. Bon vendredi, bon week-end et à la semaine prochaine.

C'est vendredi, c'est le bordel #266

Peu d'articles cette semaine pour cause d'actualité professionnelle chargée mais vous avez loupé lundi c-est-lundi-c-est-bukowski et de l'art jeudi avec livres-d-art et là, c'est tout, c'est fini, vous pouvez vous disperser. Pour tous les Bordels du Vendredi depuis l'origine des temps du monde de l'humanité, c'est ici : le bordel du vendredi

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T
A Carré Otis, j'ai toujours préféré Losange Schindler.<br /> Mais ça n'engage que moi !
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