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C'est vendredi, c'est le bordel #272

... Il y a bien longtemps, dans une galaxie lointaine, très lointaine bla bla bla bla bla etc... bla bla bla etc... pa paa papapa paaa pa pa paa papapa paaa pa pa pa pa paaa bla bla bla sauver le peuple et restaurer la liberté dans la galaxie. On l'a compris, cette semaine a été un gros bordel intergalactique sans même parler du week-end dernier avec les deux impératrices clodoaldiennes décérébrées et leur grand Moff Tarkin alsacien. Difficile d'y couper (avec un sabre laser forcément), l'actualité cette fin d'année fut aussi chargée que l'haleine de Gérard Depardieu un premier janvier. Et le deux. Et le trois. Bref, ce fut un beau bordel et comme Noël n'est pas encore passé, il faut bien se préparer en conséquence avec pour démarrer dans ce bordel une sélection iconoclaste d'objets célestes (comme la meuf à Babar) et parfaitement inutiles (comme nos politiciens), sauf peut-être pour cette basse qui vous transportera vers le groove plus vite que la vitesse de la lumière grâce à son hyperpropulsion de classe 0.5. Enfin, quand elle marche.

C'est vendredi, c'est le bordel #272
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C'est vendredi, c'est le bordel #272
C'est vendredi, c'est le bordel #272

Mais que serait un Faucon Millenium sans son pommeau de vitesse, hein, hein, hein, je vous le demande ? Une R19 sans aileron arrière, une 103 sans guidon torsadé et kit carbu, bref, pas grand-chose. Et puis si on ne peut même pas passer la première, je vous concède que ça n'a pas beaucoup d'intérêt. D'où la possibilité non pas d'une île mais au choix, d'un fauteuil stormtrooper de belle facture, de cette machine à popcorn chasseur tie, cette étoile noire pour merguez ad'hoc et cette casquette C3PO pour maîtriser instantanément plus de six millions de formes de communication. Mais désolé, ça ne marche ni avec la Moranovlang ni la Sarkovlang. Trop obscur.

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C'est vendredi, c'est le bordel #272
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Quoi encore ? Cette flasque pour boire en solo (mwarh ar arh), un frigo à canette très shiii rroo shii rrro je ne vous dis que ça et puis aussi une machine à pancakes, un diffuseur d'atmosphère (sic), un chargeur d'Iphone et franchement si l'un de ces gadgets débiles vous intéresse, démerdez-vous tout(e) seul(e) pour le trouver dans l'hyper-espace amazonio-etsy-internetien. La Force vous avez ? Pas où ? Et puis ça va, oh. Je ne suis pas votre père.

C'est vendredi, c'est le bordel #272
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C'est vendredi, c'est le bordel #272
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Ajoutons à cette débauche d'hypothétiques cadeaux des baguettes laser pour vos sushis avec Chewie, un aspiro robot R2D2, des serviettes de toilette droïdesques en diable, une veste de toute beauté qui me rappelle une couette de mes 10 ans et un magnifique Sandspeeder gonflable si vous n'êtes pas encore totalement gonflés par cette déferlante de marketing sylvestre de mauvais goût. 

C'est vendredi, c'est le bordel #272
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Si vous n'aimez pas ça, il y a aussi des cochons d'Inde SM avec tenue incluse pour éviter de les exploser en pleine action grâce aux petits élastiques là (et là) et un Commodore 64 avec modem téléphonique intégré et écran euh, une couleur. Mais une belle.

C'est vendredi, c'est le bordel #272
C'est vendredi, c'est le bordel #272

Star Wars, Star Wars, Star Wars, vont arrêter de nous gonfler, oui ? D'autant que moi, j'étais assez Battlestar Galactica en fait. Avec le Commandant Adama, Starbuck (pas le café pourri, le blondinet rigolo) et son pote Appolo (pas Creed, on n'est pas dans Rocky), les Cylons avec leur regard à la K2000, le comte Baltar (comme la pavillon), Muffet le chien de Boxey et aussi, quand même, énormément pour les très beaux yeux en amande du lieutenant Athena (la splendide Maren Jansen, rhaaa). 

C'est vendredi, c'est le bordel #272
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Et puis merde, niveau musique, c'était autre chose que les grosse pompes de John Williams (n'est-ce pas amigo Alex Jaffray ? Voir sa super chronique dans Télématin Alex nous dresse le portrait musical de la saga.

Tant qu'à être dans les jolies brunes, en voici une moisson arrivant principalement d'Israël avec les magnifiques Yamit Sol, Or Grossman, Schlomit (ou Shiloh) Malka, Gal Gadot, une policière tout à fait sympathique et une blonde en recommandé pour équilibrer un  peu le tout.

C'est vendredi, c'est le bordel #272
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Allez, pause. On boit un petit verre. Mais pas plus d'un.

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Faisons un détour d'une, parce que c'est joli et de deux, parce que je fais ce que je veux ici vu que c'est mon blog par les montagnes arc-en-ciel de Vinicunca au Perou pour tomber pile poil sur Glenn Ford photographié par Ed Cronenwerth en 1946, DJ Brown qui lance un set d'enfer pour aller sur la scène comme une machine de sexe alors que Mohamed Ali, lui, hésite encore au niveau de la set-list avant de choisir les Kinks pour aller jusqu'au bout du jour grâce à cet ingénieux monospace de l'espace pour chevaucher des nuages léoniens et peut-être faudrait-il penser à arrêter la drogue, là.

C'est vendredi, c'est le bordel #272
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C'est vendredi, c'est le bordel #272

Retour à la réalité mais en beauté avec cette Pacer X AMC bi-goût vanille-pistache d'une grande rareté et quelques modèles supplémentaires que Wayne et Garth ne renieraient pas. Party on, guys.

C'est vendredi, c'est le bordel #272
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Ah, excusez-moi, j'ai un appel. Les affaires reprennent.

C'est vendredi, c'est le bordel #272

Chier. Vu leur accent, c'était encore des vendeurs de fenêtres en pvc made in Pakistan. Mais sans tarder, passons à ces quelques gifs qui se méritent. D'ailleurs, ne dit-on pas souvent : "Il mérite des gifs" ? Alors. Voyez ? Oui, vous aussi, mesdames. On n'est pas sexiste ici, au Bordel.

C'est vendredi, c'est le bordel #272
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Vite, de l'art avec quelques "Iris et pensées" d'Edouard Vuillard, "Blue Rose" de Jeremy Moon en 1967, "O Beijo (Le Baiser)" de Waldemar Cordeiro la même année et "Black Brain 3", attention, pas le 1, hein, pas le 2, hein, le 3, de 2008.

C'est vendredi, c'est le bordel #272
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C'est vendredi, c'est le bordel #272

Et c'est l'heure de passer aux Messages à Caractères Informatifs de la semaine car voyez, si je vous mets ceux d'il y a deux mois, ça va se voir et ça ne se fait pas.

C'est vendredi, c'est le bordel #272
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Et c'est tout pour aujourd'hui mais n'oubliez pas que vous pouvez encore vous abonner à ce blog en 2015 et que grâce aux ingénieux boutons ci-dessous, vous pouvez offrir, donner, bref, partager ce bordel n°272 avec votre réseau, vos amis et tous les autres aussi. Mais ne faites ceci que si et seulement si vous avez apprécié ce bordel sinon, ce serait pas très franc et des fois que des membres du FN lisent ce bordel, ils noteraient que vous n'êtes pas franc. Et pas franc, c'est pas loin de pas français. Et pas français... Bon vendredi, bon week-end, bonnes fêtes et alors, à la semaine prochaine, ça, on verra.

C'est vendredi, c'est le bordel #272

Sinon, pour les articles de la semaine pour les non-abonné(e)s, il y a eu une bonne rigolade avec un bas du front dans post-campagnum-coitus et aussi the-dark-side-of-the-force-be-with-you et de l'art dans  a-plats-pas-plats et au fait, Yan Solo, il meurt à la fin.

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D
mille mercis pour Glen Ford, Vuillard, le bulletin de vote, le pq,la vulgarité, le temps et ton texte comme toujours - Love -
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S
je suis un anus en internet tout ça mais je ne vois pas le bouton "partager" sur facebook. du coup mes contacts me tirent la tronche.
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P
Juste en dessous de l'article ou tout en haut dans la barre noire.
F
Je crois que la citation de Victor n'est pas de lui mais je crois que c'est un extrait de "Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi" de Pancol. En tous cas, ça ne lui ressemble pas.
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