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C'est vendredi, c'est le bordel #275

... hé bé dis donc, nous qui attendions tous cette nouvelle année avec tant d'impatience, elle part carrément sur les chapeaux de roues direction higway to hell pour Michel Kilmister, Michel Boulez, Michel Delpech, Michel Courrèges, Michel Galabru, Michel Bowie, Michel Rickman et même Michel-R'né Angélil, le mari de Céline Je t'AIIIIIIIIME, TA GUEULE, Dion. Ce ne sont plus des vœux, c'est une veillée funèbre. Et si on ajoute au lugubre Jerry Hall qui épouse Rupert Murdock, le Paris-Daker qui tue et existe donc encore, Johnny qui chante pour Charlie, L'amour est dans le pré sans James Blunt et son "You're beautiful", Julien Lepers qui est, qui est, qui est viré et puis les bombes à Djakarta, à Istanbul, les viols en Suède et à Cologne, l'Arabie Saoudite qui débite de l'opposant à tour de sabre au bras, El Chapo, sombre héros qui se fait gauler à cause de Sean Penn et la Journée sans Pantalons qui ravit Rika Zaraï certes mais qui sévit encore et toujours, on peut se dire que c'est bien parti pour être un beau bordel aussi en 2016. Alors tant qu'à faire, autant dépenser derechef 780 $ pour ces splendides bustes intergalactiques en marbre chinois véritable sur milkcargo.com. Ou pas, car c'est aussi une option plus que valable.

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Allez, un peu plus de classe avec cette Lombard Chair par Charles Hollis Jones, l'appartement d'André Breton en 1924, rue Fontaine (je ne boirai pas de ton eau), Chet Baker en 1953 à L.A, California, un peu de Miles Davis pour les yeux et puis si ça ne vous plaît pas, zizi panpan. 

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Passons par Daytona Beach en 1976 car c'est joli et je fais ce que je veux dans ce blog qui est le mien, rafraîchissons-nous à New York le temps d'un geiser inopiné, posons-nous pour lire au hasard du Salter, du Carver ou du Fante, un café, l'addition et puis si ça ne vous plaît toujours pas, voyez avec Ludmila, Gudrun et Ramona, les célèbres sœurs Bazooka ci-bas.

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Passons à quelques gifs de qualité car si on commence à vous mettre des gifs de merde, ça se verra. Et ça sentira en plus. Ici, on respecte l'intégrité et l'intelligence du lecteur. On est pas sur MinuteBuzz ou Topito. Allez, music Maestro.

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Bien sûr, la perte la plus retentissante cette semaine fut celle de David Jones-Bowie-Ziggie. Petit retour en arrière sur sa carrière mais pas trop car si on recule, ça fout le bordel dans la lecture et quand ça bouchonne, les lecteurs se plaignent et c'est encore plus le bordel. Alors on avance en commençant donc par David Bowie dans sa prime jeunesse et on suit le guide, on continue, allez, allez vers l'adolescence à la mode Mod et très vite, le cheveux longs de jeune dépravé qui fait rien qu'à fumer de la drogue et à écouter de la musique du diable très fort.

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Puis la période caniche royal précèdant de peu la période Mary Ingalls qui aimerait bien avoir les bouclettes de Nellie Olson mais elle peut pas, elle est pauvre et y'a même pas de salon Frank Provost à Walnut Grove alors elle est triste, très triste.

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Vint ensuite la période punko-JackieQuartzienne avec parfois un peu de Régine inside, parfois pas non plus car ça boudine de trop au niveau de la tenue de Yamamoto.

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- Ziggy ? - Oui ? - Je m'apelle Ziggy. -Ah, quelle étrange coïncidence, moi aussi, ah ha ha ha, c'est dingue la vie, un Aladdin pas si sain, un Halloween Jack comme l'Union qui comme chacun le sait, fait la force alors que l'oignon, lui, fait la farce. Que cela soit dit. C'est fait.

 

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Un Duc tout fin, un roux qui s'estompe comme un matelot irlandais sur une marine de Turner et David redevient Bowie pour un temps.

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Après une tentative Véronique Jeannot après une nuit d'amour avec Greg Germain dans les toilettes du dispensaire de nuit, David opte pour un Pierrot lunatique puis est frappé de plein fouet par les années 80, pif, le brushing, paf, la mini-vague, pouf, la décoloration des mèches mais ne nous remémorons pas trop ces heures difficiles que nous avons, pour la plupart, vécu. Et parfois subi.

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La maturité aidant, David trouve son style ou comme toujours ses styles et ne commet plus de fautes de goût jusqu'à son histoire de Lazare qu'on a du mal à croire. On sait bien que c'est Eve qui se lève et qui danse avec la vie. Pas David. Et c'est fort fâcheux.

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En marge (sans Homer) de sa carrière musicale, David Bowie aimait à balader son pinceau sur Iman une toile vierge pour s'adonner au grand vertige de la peinture. Je vous laisse seul juge vu que Roy Bean est aux Caraïbes en train de se taper des margharitas, des putes et de la coke dans un jacuzzi privé. L'ouest du Pécos, c'est sympa mais un peu aride toute l'année.

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Revenons au sieur David qui exprimait même son amour de la chose picturale dans ce vidéoclip de 1979 où il regarde derrière lui avec colère, ce qui n'aide pas pour bien mettre les coups de pinceau sur la toile si on veut faire un truc qui se tient un tant soit peu.

Mais passons désormais à de l'art non Bowien avec "A view of the river Amstel in winter" par Hendrik Jan Wolter dans les années 1914 à 18 (encore un planqué, ce Hendrik Jan), deux œuvres hautes en couleur par Emma Coulter, Frederick Hammersley avec "Fractions 17", de 1960, un petit Fernand Léger pour continuer, Sol LeWitt avec "Isometric Figure With Bars of Color", 2003 et Lee Kwang-Ho, "Cactus No.33"  de 2009, huile sur toile de 259 x 193 soit quand même un sacré beau morceau

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Et c'est l'heure de passer aux célèbres Messages à Caractères Informatifs qui sont à prendre, à laisser, à voler, à partager ou à ignorer si vous voulez passer plus vite vers la fin de ce bordel car vous avez un rendez-vous et après tout, c'est votre bordel à vous.

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Et c'est tout pour aujourd'hui mais n'oubliez pas que vous pouvez vous abonner à ce blog pour ne rien manquer en 2016 et que vous pouvez partager ce bordel du jour pour la plus grande joie de vos amis, votre entourage, vos connaissances plus lointaines ou les gens que vous connaissez à peine sur Facebook, Twitter et autres avec les petits boutons ci-dessous et les icônes sur la barre noire tout en haut. Sur ce, bon vendredi, bon week-end et à la semaine prochaine. 

C'est vendredi, c'est le bordel #275

Retrouvez tous les bordels du vendredi depuis 2007 sur le bordel du vendredi et les derniers bordels sont aisément accessibles grâce aux astucieuse vignettes ci-dessous, c'est dingue la technologie mais là, le bordel, c'est fini.

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L
2016 ?
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L
Traductions, contexte, histoire, nouvelles, photos, versions live et studios :<br /> <br /> http://rocktraductions.over-blog.com/tag/david%20bowie/
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B
Merci pour David Bowie <3
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M
En 2016 autant qu'en 2015, j'adore ! Qui es-tu?...
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P
Un être curieux.