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C'est vendredi, c'est le bordel #276

... Oui, une fois de plus, nous sommes à nouveau vendredi car ce n'est pas parce que Michel Tournier se carapate en douce pour retrouver ses chérubins (sic) qu'on va se passer du dernier jour de la semaine. Dixit Popeck, on n'est pas des sauvages. Car soyons clair, si le vendredi disparaît, le jeudi deviendra forcément une sorte de vendredi et le mercredi deviendra le jeudi et non, c'est pas possible, ce serait trop le bordel. Restons donc au vendredi, jour de Vénus et jour de bordel s'il en est. Et il est est puisqu'on vient de vous le dire, bordel. Alors pour que le bordel perdure, pourquoi ne pas vous offrir séant cette magnifique photocopieuse Canon 800 en or 24 carats par Yogi Proctor ? Et alors, pourquoi pas, c'est pour moi, ça me fait plaisir. C'est un peu ça le bordel et puis je fais ce que je veux ici, c'est mon blog.

C'est vendredi, c'est le bordel #276
C'est vendredi, c'est le bordel #276

Passons dès à présent à ces magnifiques télévisions sans télécommande, à écran pas plat, coins pas carrés mais en pure porcelaine de Nankin et ça a son charme tout de même, puis à ces robes avec des dunes pour arrêter les vagues et pas trop de vagues rochers que la marée dépasse et enfin, si vous arrivez à jouer "El Condor Pasa" à la flute de pan en carottes, je vous tire mon chapeau. Qui, en l'occurrence et pour la circonstance, sera un sombrero. Hombre. Olé.

C'est vendredi, c'est le bordel #276
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Apprenons ensemble la bonne manière de manger du popcorn, à s'insinuer dans le pantalon de Bowie ou au pire de faire gouzi gouzi avec ces chatounets ziggy trop mimis et volons ensemble vers de nouveaux horizons (mais en scrollant un peu vers le bas, ça sera plus simple).

C'est vendredi, c'est le bordel #276
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Mesdames et messieurs, nous passons actuellement au dessus du Lac Kanas en bordure méridionale de la chaîne de l'Altaï aux confins de la taïga sibérienne et photographié par Yong Wei qui passait par là alors que nous survolons désormais un oasis moite entre des vagues de dunes qui, stop, c'est bon, et que nous atteignons le Mont Saint-Hélène en pleine éruption en 1980 comme l'adolescent qu'il était encore, ah cette impétuosité hormonale et je vous conseille à cette heure d'emprunter la porte de derrière, oh yeah, i'm your backdoor man pour breaker on through vers le other side afin de continuer agréablement dans ce bordel mais après, chacun et chacune fait un peu comme il (elle) veut.

C'est vendredi, c'est le bordel #276
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Vite, prenons ces quelques victuailles offertes par l'entremise d'un astucieux partenariat avec une marque que nous ne citerons pas pour autant vu que le chèque n'était pas suffisant, partageons ces quelques restes de la Journée du Câlin et zbig bot crouingg syntax error zwing crocroc reload machine, oups pardon, je n'avais plus tout ma tête.

C'est vendredi, c'est le bordel #276
C'est vendredi, c'est le bordel #276
C'est vendredi, c'est le bordel #276

Suivons la route vinylique toute tracée devant nous, montons de concert mais en ordre et dans la bonne humeur dans ce bus rainbow flower power du bonheur et suivons la trace de la Voie Lactée par Xianuo Duoji, quelque part dans le Sichuan, loin, là-bas.

C'est vendredi, c'est le bordel #276
C'est vendredi, c'est le bordel #276
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Quelques damoiseaux venus d'hier ou d'ailleurs avec un James Cagney hargneux, un Peter Sellers heureux et un Tarantino cabot, comme toujours.

C'est vendredi, c'est le bordel #276
C'est vendredi, c'est le bordel #276
C'est vendredi, c'est le bordel #276

Un Brel beau et pas con à la fois, un Nicholson bien en dessous de zéro et quelques barbus certes habillés mais de fort belle qualité avec du tweed tout doux et du coton et tout et tout.

C'est vendredi, c'est le bordel #276
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Au niveau damoiselles, une sélection hétéroclite avec la vintage Chelo Alonso, muy caliente comme il faut, un joli coin de rue tout en arrondis à New York en 1956, deux Sofia et deux Claudia dont une qui se prend la tête ma qué no, c'est pas possible, ça.

C'est vendredi, c'est le bordel #276
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Ajoutons une "Etude pour voyeurisme" de 1989 du regretté Helmut Newton, un beau dos pour pouvoir dire qu'il a bon dos le bordel, un regard qui tue, elle a tiré la première, m'a touché c'est foutu, une femme porc-épic qui s'y frotte s'y pique et une langue ma foi, fort bien pendue.

C'est vendredi, c'est le bordel #276
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Un soupçon de Lana Turner en 1939 et une série très rare de Wonder Woman en blonde haltérophile, de l'époque où elle revenait d'un entraînement en RDA pour être encore plus Wonder que Wonder et devenir Super Wonder. Comme la pile. Pile poil.

C'est vendredi, c'est le bordel #276
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Il me reste une Anita Ekberg superbe et pour faire un peu contrepoids, deux Birkin. Mais mutines. Et encore, c'est un peu juste.

C'est vendredi, c'est le bordel #276
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C'est vendredi, c'est le bordel #276

Mais passons tout de suite à une sélection de gifs qui sont totalement intenables cette semaine, non mais on se calme, ho. Allez vite me chercher un extincteur. Oh my god, They Are On Fire.

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Vire, de l'art avec Clio Goldsmith by Barry Lategan en 1974, une œuvre de Joan Mitchell pour laquelle j'ai eu la flemme de chercher le titre je l'avoue, un travail de Katrien De Blauwer issu de la  série ‘Without’ et une œuvre de Richard Diebenkorn avec probablement un titre mais là, aussi petit coup de mou. Zavez qu'à chercher un peu, je vais pas non plus toujours tout vous mâcher.

C'est vendredi, c'est le bordel #276
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Et c'est l'heure de passer aux célèbres Messages à Caractères Informatifs de la semaine. Des messages avec des lettres, lettres qui forment des mots qui eux-même forment des messages dont on peut espérer qu'ils sont parfois informatifs mais parfois non et c'est un peu la grande roue de la vie, le va-et-vient incessant du ressac qui s'égrène sans cesse, ahanant la côte dans des flots d'écume comme un bœuf en rut qui b... mais je m'égare.

C'est vendredi, c'est le bordel #276
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Et c'est tout pour aujourd'hui dans ce bordel n°276 mais n'oubliez pas que vous pouvez vous abonner à ce blog pour la modique somme de que dalle, que vous pouvez partager ce bordel à qui mieux-mieux mais quand même aussi avec vos amis par le biais des boutons fort pratiques ci-dessous ou les icones dans la barre noire toute en haut car le bordel est ouvert à tout le monde. C'est un peu le principe d'un bordel, en général. Sur ce, ou plutôt sur ce ce, bon vendredi, bon week-end et à la semaine prochaine.

C'est vendredi, c'est le bordel #276

Non, allez, un effort. Mettons-le en français pour une fois. Pensons à ce pauvre Jacques Toubon qui s'est tant battu.

C'est vendredi, c'est le bordel #276

Si vous avez manqué de temps cette semaine pour venir sur Après La Pub, vous pouvez vous ratrapper ici avec la découverte du premier livre de David Garnier, jeune auteur prometteur qui vous évitera d'emblée les 30 métiers qui semblent bien comme ça mais en fait c'est une vraie chienlit sur j-irai-cracher-sur-vos-jobs et un peu d'art avec Carl Kurtz, comme le Colonel mais pas comme le Colonel du tout dans carligraphies et à ne pas manquer, le créateur du meilleur pâté du monde qui parle de pâté, donc d'art et de vie sur campagne-de-pate et là, ça sert à rien de pousser derrière, c'est fini.

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