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C'est Vendredi, c'est le Bordel #326

... Mais oui, nous sommes à nouveau vendredi et inutile de vous dire que pour le vieux supporter du PSG que je suis, la semaine a été un beau bordel. Mais vaille que vaille, la vie doit continuer et merci à tous les autres acteurs de l'actualité d'aider un peu à relativiser tout ça. Mais c'est pas joli joli, contrairement au château de Sammezzano dans la province de Florence, qui fut longtemps abandonné avec ses 365 pièces pour ne jamais s'emmerder toute l'année. Racheté par Palmerstin Hotel & Resorts, il vient d'être réhabilité et ça déch*** la ch**** à sa m*** ou comme on dit en italien : la puttana mazetta la minetta.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
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C'est Vendredi, c'est le Bordel #326

Mais poursuivons avec ces pots à thé pas empotés à emporter ou à laisser, c'est un peu comme vous voulez.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
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C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
C'est Vendredi, c'est le Bordel #326

Enchainons avec ce poster la chaise Ypsilon de Hans J. Wegner (disponible de 1960 à 1969 chez Carl Hansen & Son au Danemark si vous voyagez dans le temps et dans l'espace en même temps), un peu de Bauhaus qui tourne en rond et une maison tout aussi circulaire tel un basique mawashi-geri mais à faire imprimer en trois jours donc pas du tout comme le mawashi-geri. pour en savoir plus, ohiooo, mushi mushi, c'est par ici : blazepress.com/2017/03/this-3d-printed-house-only-took-24-hours-to-build/

C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
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Et là, comme c'est un peu mon blog ici et que j'y fais ce que je veux et que ce serait bien que vous ne l'oubliez pas, je vous ajoute quelques images de "Les voitures qui ont mangé Paris", film vraiment tout à fait existant de 1974 de Peter Weir (L'année de tous les dangers, Witness, Le cercle des poètes disparus, Truman Show) dont je vous laisse lire le synopsis : Arthur qui, à la suite d'un accident de voiture sur une route de campagne, se retrouve bloqué dans la petite ville isolée de Paris, en Australie, s'aperçoit peu à peu que les habitants de cette ville provoquent et vivent des accidents de la route. Un soir, une escouade de véhicules monstrueux, conduites par des délinquants, attaque la ville." Voilà. À vous les studios.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
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C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
C'est Vendredi, c'est le Bordel #326

Mais si vous voulez bien vous donner la peine de poursuivre votre chemin en empruntant l'escalier ci-dessous, ça m'arrangerait vu qu'il y a du monde qui arrive au bordel et que vous êtes au milieu et que si ça n'avance pas, ça risque de bouchonner. Et voyez, j'ai pas que ça à faire un vendredi. On circule, on circule ou sinon, j'appelle le terrible Longtarin.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
C'est Vendredi, c'est le Bordel #326

Alors sans regrets, passons à Ann Margret qui met un truc chouette, Arthur Lee qui ne lit pas au lit puisqu'il boude apparemment sur scène, un lapin qui fait tout un tintouin et ah, excusez mais y'a le Major Tom qui veut savoir si on a bien pris nos pilules de protéines. Oui, Major, c'est bon. Oui, on met le casque et on y va. Relou ce Major. Limite fatal (© les amateurs de Mœbius seulement qui fêteront comme moi les 5 ans de sa disparition aujourd'hui).

C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
C'est Vendredi, c'est le Bordel #326

Et pusi comme ici aussi c'est mon blog et bien que n'ayant aucune attirance particulière pour Emma Watson, j'ai trouvé cette série de Tim Walker pour Vanity Fair très belle alors je pose ça là.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
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C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
C'est Vendredi, c'est le Bordel #326

Oui Madame, qu'est-ce que c'est ? Ah non, vous allez me ruiner toute la moquette de mon bordel. Une moquette presque toute neuve de 1970, merde.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #326

Ces messieurs désirent ? Non mais allez-y, faites comme chez vous aussi. C'est n'importe quoi ce bordel. J'vous jure.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
C'est Vendredi, c'est le Bordel #326

Quoi encore, bordel ? Bon ok, toi ça va. Flower Power.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #326

Mais ne nous arrêtons pas en si bon chemin et vous avez le choix dans le véhicule. Ou sur le véhicule. En bref, démerdez-vous comme vous pouvez.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
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C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
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Une souplesse arrière, hnnnng, une souplesse avant, aye ça coince et on continue dans ce bordel qui n'est pas près de s'arrêter, en tout cas pas là, tout de suite exactement maintenant.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
C'est Vendredi, c'est le Bordel #326

Je vous rajoute deux pyramides au café et une à la vanille, un photographe à trois têtes mais c'est totalement con vu qu'il n'a qu'un seul objectif, les splendides créations du talentueux Dojo Electrikettle, un chti français, à découvrir plus en avant sur dojo.electrickettle.fr et hop, tournée pour tout le monde à la machine à glouglou, c'est moi qui régale.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
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Quelques donzelles de ci de là avec Anita a l'air, l'air ravie, les gambettes de Martha Vickers par je sais pas qui et celles d'Anastasiya Sadovskaya par je sais qui, Tim Rise, le regard de Gene Tierney qui m'a toujours retourné et le joli retourné de cette donzelle anonyme et néanmoins amène bien que pas très catholique au niveau du serre-tête réglementaire.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
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C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
C'est Vendredi, c'est le Bordel #326

Et puis si ça ne vous plait pas, vous pouvez voir ça au choix avec Ripley et son petit ami ou David Banner et son grand ami. Le tout vert. Et c'est pas la tourista.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
C'est Vendredi, c'est le Bordel #326

Vite, passons à de l'art qui m'a titillé les pupilles cette semaine avec la "Constellation des amants" d'André Masson en 58, "Elastikakt (Acrobat)" par Angelika Hoerle en 1921, Ellsworth Kelly, "Untitled" de 1960, encre sur papier et Gerhard Richter, "Ema" de 1992.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
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C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
C'est Vendredi, c'est le Bordel #326

Mais aussi cette "Banane" de John Craig Ross car oui bordel de merde on a encore le droit de peindre des bananes dans la vie après Warhol, cette "Femme avec un café", un duo toujours gagnant le matin, par Józef Mehoffer, "La chambre de Schiele à Neulengbar" par Egon Schiele personnellement lui-même et un joli László Moholy-Nagy de 1923. Oui, comme ça, pour le plaisir, non tais-toi Herbert, non chut, zip it. Chut. Zip.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
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C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
C'est Vendredi, c'est le Bordel #326

Et enfin du Rubens, "Saturne dévorant son fils" de 1636, histoire de bien casser l'ambiance, merci Rubens, un peu de Picabia en 1917, un "Auto-portrait avec cigarette" par Ernst Ludwig Kirchner, un "Portrait inachevé d'Amalie Zuckerkandl" par Gustav Klimt et un chti Willem de Kooning, "Deux torses de femmes" de 1952 pour terminer en couleurs certes et en apothéose, applaudissements, merci, merci, rappel, merci, non c'est trop, merci, rappel, merci, bon on va pas trop tarder non plus, merci.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
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Il est désormais l'heure des célèbres Messages à Caractères Informatifs de la semaine qui sont au nombre de plein alors qu'ils partirent à pas beaucoup, c'est dire si le renfort fut prompt en arrivant au port. Bordel, as-tu du cœur ? Ah non, je confonds avec Rodrigue. Rodrigue, as-tu du cœur ? Don Rodrigue : Tout autre que mon père l’éprouverait sur l’heure et j'ai ma Kelton, c'est vous dire si je suis précis à la seconde près. Don Diègue : Agréable colère ! Digne ressentiment à ma douleur bien doux ! Je reconnais mon sang à ce noble courroux (coucou); Ma jeunesse revit en cette ardeur si prompte comme quand je prends cette petite pilule bleu magique le soir avec ta mère. Viens, mon fils, viens, ma bataille, viens, mon sang, fallait pas qu'elle s'en ailler, viens réparer ma honte et si tu peux jeter un coup d'œil au carburant je veux bien aussi ; Viens me venger. Don Rodrigue : De quoi ? J'ai pas bien capté, j'ai que trois barres et le wifi merde grave. Don Diègue : D’un affront si cruel qu’à l’honneur de tous deux il porte un coup mortel : d’un soufflet. L’insolent en eût perdu la vie ; mais mon âge a trompé ma généreuse envie ; et ce fer que mon bras ne peut plus soutenir, je le remets au tien pour venger et punir. Va contre un arrogant éprouver ton courage : ce n’est que dans le sang qu’on lave un tel outrage ; meurs, ou tue. Au surplus, pour ne te point flatter, je te donne à combattre un homme à redouter; je l’ai vu, tout couvert de sang et de poussière, porter partout l’effroi dans une armée entière. J’ai vu par sa valeur cent escadrons rompus ; et pour t’en dire encor quelque chose de plus, plus que brave soldat, plus que grand capitaine, c’est… Don Rodrigue : De grâce, achevez, zyva, t'es saoulant, là, accouche. Don Diègue : Le père de Chimène. Don Rodrigue : Baadi ? Don Diègue : Ne réplique point, je connais ton amour de la variété française insipide mais que nenni. Qui peut vivre infâme est indigne du jour sans écouter Led Zeppelin ? Plus l’offenseur est cher et ce, avec ou sans Sonny, plus grande est l’offense. Enfin tu sais l’affront, et tu tiens la vengeance : Je ne te dis plus rien. Non mais allo, quoi. Venge-moi, venge-toi ; Montre-toi digne fils d’un père tel que moi. Accablé des malheurs où le destin me range, Je vais les déplorer. Va, cours, vole, is it a bird, is it a plane, no it's Super Rodrigue et nous venge ! Avec un masque pour faire vengeur masqué si c'était possible merci siouplait.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #326
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Et c'est tout pour aujourd'hui mais n'oubliez pas que vous pouvez être le ou la 1491e à suivre ce blog et son bordel sur Facebook ici facebook/apreslapub et le ou la 2249e sur Twitter là twitter/ApresLaPub et ça vous fera une belle jambe. Et sinon, ce serait sympa de partager ce bordel du jour avec vos amis qui le demandent à cor (pwêêêêêt) et à cris (iiiiihiiiiiiiiii !) et comme vous êtes somme toute assez charitable comme personne, vous appuyez sur les boutons Facebook, Twitter and co ci-dessus pour le partager à tire-larigot (2e à droite, 1e à gauche, vous suivez la D712 sur 5km puis la D243, vous passez la droguerie-épicerie fine-club échangiste et c'est là. Sur ce, bon vendredi, bon week-end et à la semaine prochaine.

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