20 Avril 2017
... Il est de retour, repu, reposé et hâlé mais sans luya, après une semaine de repos dans les vertes prairies de son enfance et il est bien heureux de vous retrouver tous et toutes autant que vous êtes derrière vos écrans divers et variés. Oui, le Bordel est à nouveau fonctionnel après moult agapes familiales et autres journées à rester le plus éloigné possible d'un écran d'ordinateur, ce qui n'arrange pas généralement la conception dudit Bordel. Mais il fallait bien repartir sur la route du quotidien et se nourrir de ces illusions qui font nos vies d'où, pour démarrer avec charme et transition toute trouvée, ce "Mirage" de l'artiste Doug Aitken doug-aitken-mirrored-house-reflects dans la vallée de Coachella, comme le festival du même nom où même PNL est invité, c'est vous dire à quoi ils sont rendus. Non mais PNL. Pourquoi pas Fauve, La Femme, Black M et Colonel Reyel aussi. J'vous jure.
Mais ne nous attardons pas dans le pays de Donald et découvrons si vous le voulez bien cette lampe Mélenchonique, euh, holographique, de toute beauté et qui est plus disponible sur hologramlamp/love-knot alors que demande le peuple ? Du pain ? Mais vous avez vu le prix de la baguette ? N'y pensez pas, ma mie.
Passons désormais sur l'œuvre d'Akika Kurata, puisque désormais on va "sur" Paris ou "sur" Dijon et non plus "à" et croyez bien que je le déplore et ça vous fait une belle jambe de le savoir et ça me faisait du bien quand même de vous en parler. On peut parler aussi de cet horrible "supporter" une équipe ? Bon, la prochaine fois alors. Pour en voir plus sur Akika, en tout cas, c'est sur ici : kaifineart/akika-kurata
Et pour vous rappeler malgré cette interruption hebdomadaire qu'ici, c'est mon blog et que j'y fais ce que je veux, je vous ajoute une photo d'Andrei Tarkovsky à San Gregorio en Italie en 1984 et ne me demandez pas pourquoi, je n'en ai aucune idée moi-même, un très joli arc-en-lune très rare et deux bobtails in the wind. Un peu like a candle mais avec plus de poils.
J'ajoute aussi ces images issues d'un film non cité, donc inconnu de moi mais s'il est connu de vous, je veux bien, par curiosité, que vous me laissiez l'info en commentaire, merci bien siouplait.
Qu'avons-nous encore ? Mais Orson Welles et Janet Leigh sur le tournage de "the Touch of Evil" (en VF, "Marine Le Pen") de 1958, une bonne tête de gland fin XIVe début XVe, Kristy et Jimmy, salut Kristy, salut Jimmy et une Audi 100 avec Marilyn qu'est là mais on comprend pas trop bien le comment du pourquoi.
Sur ce, je me permets de vous ajouter des Polaroids de castings de strip-teaseuses parce que ça ne peut pas faire de mal au niveau de la brigade du style, sauf si vous reconnaissez votre maman. On ne sait jamais, tout est possible au bordel.
Et pour contenter tous les goûts, quelques damoiseaux à salopette, à col roulé, à poil ou en slip et diantre, on ne sait que choisir, oui mais décidez-vous, on a encore un bordel à terminer.
Et puis si ça ne vous plaît pas, voyez ça avec Bruce ci-bas (bruit de craquements d'articulation des doigts suivi d'un "Wooïïïooooo de fort bon aloi).
Ou avec les gars. Les gars ? Des récalcitrants par ici.
Ou, dernière option, vous pouvez voir ça avec Patrick. Mais il est occupé.
Un petit rappel, comme ça, en passant : en deux-roues (et en vélo aussi), portez un casque.
Bref, sortez couverts, qui plus est si vous rencontrez une des donzelles du Bordel, sauf Claudia qu'est à moi, pas touche, yacht, non, n'y pense même pas ni Monica au saut du lit, hop, stop, c'est pour moi aussi. Pour la jolie blonde en marcel, la brune en équilibre, Vivian Leigh sur canapé, Sienna Miller dans la chantilly, ah non, une robe de créateur, Mary Tamm, Laura Antonelli, les voilages Roche-Bobois et l'ingénue à lèvres charnues, voyez directement avec elles.
Cerise sur le gâteau, schlougnette sur le poktroll, la splendide Cameron Russell, rhaaaa, excusez-moi, ça m'a échappé, par le chanceux Lachlan Bailey.
Mais tout de suite, passons à de l'art avec Gerd Rauter, Le Corbusier "Nature morte, carafe, verre, bouteille et dé" de 1955, un mobile de Marc Sardà que voilà, "Tolède" par Raoul Dufy en 1949 et Tomie Ohtake qui était vraiment à fond, à fond, à fond en 1967.
Et il est l'heure de passer aux célèbres Messages à Caractères Informatifs qui n'attendaient que vous et ça tombe bien, vous êtes là, alors l'un dans l'autre comme disait papa dans maman, allons-y et ne traînons pas plus en avant.
Et c'est tout pour aujourd'hui dans ce 331e Bordel mais avant de nous quitter, n'oubliez pas 1. que vous pouvez suivre ce blog sur Facebook sur le groupe éponyme (non, jeune, ce n'est pas du trash-métal hardcore) ici facebook/apreslapub, 2. que vous pouvez le twitter et le retwitter aussi sur twitter/ApresLaPub, 3. que vous pouvez vous abonner à ce blog pour ne rien manquer, 4. que ce serait sympa de partager ce bordel autour de vous pour ceux qui n'ont pas suivi les étapes 1-2-3-4 et 5. que ce serait sympa de faire péter les likes pour remercier l'auteur qui s'est décarcassé pour vous concocter un bordel qu'il espère de qualité en un jour de moins qu'habituellement. Bon vendredi, bon week-end et à la semaine prochaine.