6 Juillet 2017
... Mais oui ! Mais non. Mais si, nous sommes à nouveau vendredi et bien que les journées raccourcissent désormais, on sent bien que le farniente, la molle, bref, les vacances ne sont plus loin et si ça n'est pas le moment de se plonger dans un bon bordel afin de nuire à la production nationale cause que votre patron veut pas vous augmenter, on se demande bien à quel moment ça va être le moment. Ben c'est là. Now, tout de suite car les douze coups de minuit ayant sonné, on peut sans l'ombre d'un doute dire que nous sommes bel et bien vendredi et que ça sent un chouya le bordel avec ces images ahurissantes (grace à de longs temps de pause) d'un collectif de photographes au Japon qui ont capté avec maestria, n'ayons pas peur de le dire, et leurs appareils photos car la maestria seule ne suffit pas, l'extraordinaire ballet de lucioles pendant la saison humide en juin et en juillet. Tout à fait gaspifiant, à mon humble avis.
Mais tout de suite, prenons ce van collectif pour vaquer à nos occupations, soit l'exploration de ce bordel n°341 composé d'images vues pendant la semaine, remisées par devers moi et reversées ici dans un ordre qui ne regarde que moi et encore. Quant au cruel dilemme qui divisait jusqu'ici l'Amérique du Sud, il est désormais résolu et si vous voulez bien convoquer quelques esprits pour savoir où on va, ça m'arrangerait bien merci beaucoup. Esprit, es-tu là ?
Passons sans plus tarder à ce cœur au printemps ou en été mais visiblement pas en hiver, ces battements d'ailes de toute beauté comme cette jante patricienne et ce lapin malin puisque cosmonaute donc pas crétin. CQFD, ROTFL, PTDR XD.
Et puis quand même, les gens du blog et puis toi là en particulier, ne lâchez jamais et n'oubliez pas : "You've got the touch. You've got the Power" et c'est important de se le rappeler parfois et je suis là pour ça, non, ne me remerciez pas, ça me fait plaisir.
Et paf, sans coup férir, je vous place un œuf noir du plexus solaire et là, vous faites moins les malins hein, et puis un Schwarzie de Tahiti, un Jimi de gala, non, ça ne se passe pas à Gala, Virginie, 173 âmes, Pan !, ah, 172 et un Telly Savalas de compet' mais attention, pas Compet, la ville en Italie entre Verone et Cortina d'Ampezzo. Non. Du tout.
Et puis de toute façon, si ça ne vous plaît pas, vous n'avez qu'à vous plaindre à Dennis qui ne manquera pas de vous saluer de ma part de ce doigt de ce pas.
Du Georges Pichard vu pendant la semaine ne peut pas ne pas se retrouver dans le Bordel car s'il en est un qui incite au Bordel, c'est bien Pichard, pétard. Louées soient Paulette (pas la reine des paupiettes, l'autre) et ses copines Blanche-Épiphanie et Marie-Gabrielle de Saint-Eutrope.
Et puis Pichard ayant été souvent Charlie, vu qu'on est tous Charlie, du coup, on est tous et toutes un peu Pichard. Quelque part. Parfois loin certes mais quand même. Surtout si vous aimez les paupiettes.
Et puis si là non plus, ça ne vous plaît pas, z'êtes franchement un peu lourd(e) mais voyez ça avec Pénélope dont l'arme n'est pas fictive.
Ou avec sa copine Salma, ça dépend un peu de vos goûts mais pour moi, aye c'est dur, aye c'est pas facile, ce sera Salma en souvenir de the Mistress of Macabre, neal and worship at the feet of Santanico Pandemonium.
Et son boa.
Tiens, en passant, je soumets à votre bon plaisir une série d'images de Claudia, rhaaaaa, Cardinale que je ne connaissais pas par Angelo Frontoni, le chanceux et puis je vous rappelle, à toutes fins utiles, qu'ici, c'est un peu mon blog et que j'y fais ce que je veux comme écrire un bordel actuellement certes mais aussi mettre des images de Claudia Cardinale exactement quand j'en ai envie et là, j'avais envie.
Oui Sophia, un commentaire ? Ma non, Sofia, ma que Claudia, où ça, qui, quoi ? Pas capito.
Non parce que Sofia, parfois, peut être violente et j'ai eu du mal à me remettre de la dernière correction.
Enfin bref, si ça ne vous plaît toujours pas à ce stade du bordel, ben dis donc vous tenez bon quand même ou vous êtes masochiste, ce qui se respecte tout à fait, pas de soucis, it's open tel le bar ou l'US, c'est selon mais voyez ça quand même avec Terry.
Et là, tout de suite car ici aussi à ce niveau exact du Bordel, j'ai envie de Julie Newmar, ne le dites pas à ma femme, elle l'apprendra bien assez tôt en lisant ce bordel, chérie je t'aime, chérie je t'adore como la salsa de pomodoro. Mais Dieu, non, mais Rien quel joli profil que celui de Julie. Et le reste est à l'avenant (l'Avenant, bar-routier, 123 route de Juvisy, 56443 Issoire).
En noir et blanc ou en couleur, on n'en a jamais marre de Julie.
Et pour les complaintes, les avis dissonants, les réclamations en trois exemplaires sur le bordereau dix-sept, le saumon, pas le lilas, voyez ça avec le Kraken là-bas.
Mais vite, passons à un peu d'art dans ce bordel avec Angelo Testa (1921–1984) - Abstraction en Rouge Noir (j'exilerai ma peur), Hiroshi Yoshida - le Mont Hodaka, en 1926 et Jaime Gili (artiste britannique né 1972) - A271 Billo - de 2015 alors qu'on pourrait croire que mais en fait non.
Ajoutons un "Negro" de Cristina Troufa en 2017, une compilation simple et efficace de Sara Morris, comme l'ami à Goscinny et "Marthe et son chien devant la table" de Pierre Bonnard, et on est comment là, hein, je vous le demande ? On est bonnard.
Mais il est l'heure de passer aux célèbres Messages à Caractères Informatifs de la semaine qui sont tout chauds, comme la semaine et tout frais en même temps ce qui peut sembler contradictoire avec le fait qu'ils soient tout chauds mais c'est comme ça et puis vous n'allez pas commencer à me prendre la tête à c'te heure du bordel.
Et c'est tout pour aujourd'hui sauf si vous voulez suivre ce blog sur Facebook eud' par ici facebook/apreslapub et sur Twitter eud' par là twitter/ApresLaPub, mais ce serait sympa de votre part de partager ce bordel avec les boutons ci-dessous et avec des amis, des copains, des connaissances ou mêmes avec de parfait(e)s inconnu(e)s si vous en avez envie tant que vous le partagez car n'oubliez pas qu'un bordel partagé aujourd'hui, un bordel offert la semaine prochaine et c'est une offre qui pose son homme. Ou sa femme. Où vous voulez, je n'ai pas à interférer dans le choix du lieu de la pose. Oui ici, ça ira très bien. Sur ce, c'est pas tout mais il se fait tard alors bon vendredi, bon week-end et à la semaine prochaine.