26 Janvier 2018
... Nous sommes bien en 2018 et après une longue concertation entre toute l'équipe technique et votre serviteur, le Bordel du Vendredi a décidé de faire son retour après avoir songé sérieusement à arrêter totalement ce blog à la suite d'un énième bannissement de Facebook pour des raisons totalement ridicules confinant à la bigoterie de quelques cul-serrés américains. En 2017, le Bordel du Vendredi ou l'une de ses images, les poésies du Jeudi ou l'une de leurs images m'ont valu plusieurs sanctions de la part du géant californien. Sanctions qui seraient juste ridicules si elles ne m'empêchaient pas de rester en contact avec des gens avec qui je travaille. Ou avec qui j'aurais pu travailler. Bref. Il est de plus en plus difficile de garder cet esprit libertaire qui, supposons-le, vous plaît puisque vous êtes ici au Bordel, fidèles parmi les fidèles. Mais qu'importe, advienne que pourra, youkaïdi youkaïda, poursuivons sans sourciller dans la quête de meilleurs vendredis agrémentés d'une pincée de Bordel afin de rendre le début du week-end plus gai et attaquons 2018 le pied au plancher et le nez au ras du bitume avec les splendides réalisations de Docteur Paper qui agrémente nos villes de ses créations miniatures et néanmoins génialissimes. À voir plus en avant sur www.docteur-paper.com
Poursuivons si vous le voulez bien (et sinon, la porte est encore ouverte) par la découverte du splendide travail nocturne d'Erik Witsoe, photographe polonais s'il en est et il en est puisqu'on vous dit qu'il est photographe et polonais, c'est pourtant dieu pas compliqué, boudiou. Et pour en voir plus sur lui, c'est eud' par ici : erikwitsoephotographer.tumblr.com
Et puis si ça ne vous plaît pas, voyez ça avec Rachel mais attention, elle réplique vite.
Continuons dans les premières découvertes de 2018 avec le superbe, onirique et très créatif travail de Lea Schrager sur l'image de la femme, le désir et cette question qui taraude le monde entier, le cassoulet : Toulouse, Carcassonne ou Castelnaudary ? et bien autres sujets sous-jacents à découvrir plus en avant sur loeildelaphotographie/leah-schragers
Pâmons-nous devant l'imagination débridée de ces blocs Omoshiro, post-its utiles et inventifs révélant pour chaque bloc une nouvelle merveille de précision et de délicatesse ufunk.net/design/omoshiro-block/ et puis, pour vous rappeler qu'en 2018 comme en 2017, ici c'est mon blog et que j'y fais ce que je veux, je vous rajoute un splendide poulpe à mains de velours car c'est aussi ça le Bordel du Vendredi et c'est toujours ça de gagné que les Vietcongs n'auront pas.
... Et puis si ça ne vous plaît toujours pas, voyez ça avec Megazord. Attention, il est pas commode, le bougre.
Comme quoi, tout est possible en 2018, yes everything is possible, todo es posible, un mec quelque part sur la planète a construit les plus petits pokemons tricotés cœur fait main dans le monde entier et hop, Guinness des records, petits chèques et voilà. Make Toi-Même Great Again.
Bon, sinon, je vous invite à découvrir fissa l'univers bien barré de Fulton Hobbs sur son compte Instagram eud' par ici car il y a une foultitude de choses ingénieuses et créatives et sympathiques et on n'est pas là pour faire la gueule non plus, oh, hé, hein, bon : instagram.com/fultonhobbs/
Sans transition, passons à ce crotale d'âge tendre, ce monstre entraperçu furtivement ce matin dans la Seine mais Jeremstar et Jean-Marc Morandini sont sur le coup et ils reviennent vite vers nous (non, c'est pas obligé de revenir les gars) et cette sculpture improbable forcément sponsorisée par Whirlpool mais attendons sagement la fin de l'essorage sinon, ça éclabousse. Là, c'est bon, on peut poursuivre vers la suite de ce bordel.
La suite de ce bordel vous propose de découvrir l'univers coloré, naturaliste, barré et fleuri de Kim Tea Hyung qui n'est pas une nouvelle variété chez Mariage Frères mais un illustrateur et artiste coréen de qualité à découvrir encore plus en allant vers ce lien th0313.wixsite.com/kimteahyung/gallery mais après, c'est pas obligé non plus.
Le représentant syndical de toute l'équipe technique tenait absolument à vous saluer avant de retourner mettre ses fers dans la cave, ça, c'est fait, alors passons à ce violon qui peut vite y mener, Willie qui pleure Georgie, son maître plus connu sous le nom de Patton, Luis Buñuel et Salvador Dali en pleine digestion de chili en 1929 et André Breton, Leonora Carrington, Max Ernst et Marcel Duchamp qui surréalisent de concert en 1942.
Bon, c'est pas tout mais il se fait soif alors rajoutons la toute première bouteille de Coca-Cola avec du vrai extrait de feuille de coca dedans. Et pas d'aspartame. Ni de sphègne. Et encore moins de pierre d'Alun.
Allez, santé.
Embrayons, vroap vroap, vroap avec cette Dome Zero P2 de 1979 et un, deux, trois hop, roulons vers ce nouveau monde merveilleux qui nous attend en 2018 avec une loi Travail déjà sacrément efficace au niveau des licenciements et 25 % de hausse de la CSG but never mind, la France is back again.
Passons à ce Paul priapique et impatient, ces garçons dans le vent d'un boa en véritable soie synthétique de nylon catangais, laissons King-Kong et Méca-Kong se démerder entre eux tout seuls et attention, trois, deux, un, le petit oiseau va sortir. Clic clac, c'est dans la boite, merci pour votre attention.
Inévitablement, le premier Bordel de 2018 ne pouvait se tenir décemment ou indécemment sans donzelles avec un cadeau bien enrubanné, un voilage délicat à laver à pas plus de 30° avec de l'adoucissant merci s'il vous plaît, une Sybil Danning sibylline bien que de qualité, une Mireille Darc de contrebande d'origine asiatique vers le détroit du Mekong ou les bas-fonds de Hong Kong un bisou bien humide, un café, l'addition et si ça ne vous plaît toujours pas, voyez ça avec Susan Sarandon.
Vite, passons à un peu d'art avec des Acrobates tout en finesse et un "Nu au bain" d'Ernst Ludwig Kirchner, un "Do" qui n'appelle pas de si par Auguste Herbin en 1945 et un "Making Out" hypnotique de Bill Komodore en 1964.
Mais encore ? Mais encore 1024 couleurs par Gerhard Richter en 1974, un peu de "Tress" par Matthew Abbot de 1994, un "Nude in motion" plein d'émotion de Clarence Holbrook Carter en 1978, "Bija" de 1992 par Sayed Haider Raza, peintre indien s'il en est et il en est autant que les photographes polonais en sont et un petit Vasarely des familles, principalement de la famille des Vasarely.
Et il est temps de passer aux premiers Messages à Caractères Informatifs de l'année qui sont au nombre de 69 et voyez-y ce que vous voulez mais en général, dans ces cas-là, la vue est plutôt bouchée.
Et c'est tout pour aujourd'hui sauf si vous voulez bien faire le plaisir à toute l'équipe technique et à moi-même de partager ce premier Bordel de l'année à des niveaux stratosphériques en l'offrant avec votre famille, vos collègues, votre chef de service même s'il est un peu con mais c'est bien de faire un peu de lèche, vos amis et tous les autres à l'aide des judicieux boutons Facebook et Twitter situés ci-dessous qui n'attendent que vous. Vous pouvez aussi suivre ce blog sur son groupe Facebook ici facebook/apreslapub et sur Twitter eud' là twitter/ApresLaPub. Et enfin, last but not least, cerise sur le gâteau, schlougnette sur le poktroll comme disait Cornelius dans le Gardge Hermétique, la toute nouvelle cagnotte pour le Bordel du Vendredi en 2018 est disponible ici : www.leetchi.com/fr/Cagnotte. En quelques clics, vous pourrez laisser ce que vous voulez tous les vendredis ou une fois de temps en temps, c'est un peu à vous de voir au niveau de vous-même, personnellement. Sur ce, toute l'équipe technique et moi-même vous souhaitons une bonne année, un bon vendredi, un bon week-end et à la semaine prochaine.