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C'est Vendredi, c'est le Bordel #362

 

... Mais oui, mais absolument, mais bien sûr le Bordel du Vendredi est de retour sachant que nous sommes vendredi et qu'en général, le Bordel du Vendredi sort plutôt le vendredi. La force de l'habitude. Cela étant dit, le bordel peut aussi sortir les autres jours, c'est son choix et merci de le respecter. Oui, le Bordel du Vendredi est bien là avec son lot d'images variées vues par votre serviteur pendant la semaine, remisées par devers lui parce que s'il les remise par devers quelqu'un d'autre on ne s'en sort plus du tout et reversées ici dans un ordre pas tout à fait bordélique mais pas loin quand même. Alors prenons une bonne et grande respiration et bloub bloub, plongeons dans ce Bordel n°362 et dans la sublime image de Tobias Friedrich qui vient de gagner le prix "Underwater Photographer of the Yeare et y'a pas à dire, ça chie la classe, Tobias. Et bravo encore. Et pour en voir plus, c'est eud' par ici Underwater Photographer of the Year

C'est Vendredi, c'est le Bordel #362

Mais dans la compétition, Tobias n'était pas seul et d'autres photographes talentueux furent auréolés d'une gloire certes fugace mais bien agréable, tel Borut Furlan pour le prix de la photographie de l'année en noir et blanc et quelques uns de ses collègues honorés qui ne s'appellent pas tous Honoré puisqu'ils se nomment Filippo Borghi, Greg Lecœur, Jacob Degee (le requin-marteau), Pekka Tuuri, Scott Gutsy Tuason, Songda Cai et Will Clark.  

C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
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C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
C'est Vendredi, c'est le Bordel #362

Enchaînons derechef par un Barry White de fort belle facture, une radio-ordinateur-réveil dernier cri (aïyahhïiyaïaaaah) cause qu'on se fout pas de vous ici au Bordel et un pantalon serré s'il vous plaît et bien moulé à l'entrejambe en véritable viscose synthétique naturelle de Poméranie de chez Jaymar, le cousin de Cristiano Ronaldo.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
C'est Vendredi, c'est le Bordel #362

Pour faire une pause dans ce bordel, c'est là, maintenant, tout de suite car après, on enchaine sur une nouvelle preuve irréfutable de l'évolution de l'homme, de la femme et de leurs pieds, une Voie Lactée comme on n'en voit pas souvent par Paul Wilson qui se baladait vers le lac Ashburton en Nouvelle-Zélande et un œil mais pas de Caïn alors pas de tombe et ça tombe bien.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
C'est Vendredi, c'est le Bordel #362

Mais tout de suite, dirigeons-nous vers de nouvelles aventures. Vers où ? Le mystère reste entier ce qui tend à prouver que le mystère n'a donc pas été circoncis mais n'allons pas pour autant échafauder des hypothèses farfelues. C'est pas le genre au Bordel.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #362

Mais tout de suite, passons à Jean Harlow prête à carafer n'importe quel Salmanazar de passage (pour le Nabuchodonosor, ça semble juste), un cadre qui sort du cadre et une danse torride parce que You should be Dancing, yeah et Shake your Moneymaker et All Night Long et tout ça. 

C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
C'est Vendredi, c'est le Bordel #362

Mais tout de suite, passons à Superman au photomaton parce que qu'autant on aurait pu trouver mieux, autant on aurait pu trouver pire aussi. Et dans ce cas, ça aurait été la faute de toute l'équipe technique dans la cave et pas du tout la mienne.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #362

Un petit bougnat, un Bebel - attention badamoum j'arrive c'est moi que v'la - et on peut continuer sans faire trop les guignolos à se promener dans le Bordel.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
C'est Vendredi, c'est le Bordel #362

Pour une fois, honneur aux dames et aux amateurs d'hommes dans le Bordel avec une jolie collection de torses dont un assez miaou et l'autre plutôt graou. Et un dos mais un beau.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
C'est Vendredi, c'est le Bordel #362

Et puis si ça ne vous plaît pas, voyez avec Drucilla mais faizez gaffe, elle a une bonne droite.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #362

Bon, avant de passer aux donzelles, travaillons d'abord un peu l'ambiance. On tire les rideaux, on met le dernier Jul et quelques bougies....

C'est Vendredi, c'est le Bordel #362

Chargeons une accorte hôtesse de nous présenter les donzelles de la semaine sans qui, convenons-en, oui ? ok, c'est bien qu'on en convienne, le Bordel ne serait pas tout à fait un Bordel digne de ce nom. Oui, oui, Jessica - ahuuhahuuuhaaa - on arrive.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #362

Des donzelles sélectionnées avec soin dont cette première issue de Nude for Satan, film de Luigi Batzella avec, peu, excusez du peu, Rita Calderoni (oui, elle-même), Iolanda Mascitti (pas sa cousine  hein), Stelio Candelli (LE Stelio), James Harris et Renato Lupi de la grande famille des Lupi. Puis la gironde Veronica Diemen en deux parties et là vous me direz "on ne sait que choisir" et je ne vous le fais pas dire et le le joli minois de Gia Scala dans les années 50 bien avant les Canons de Navarone puisque le film est de 1961, alors, bon sang mais c'est bien sûr, fichtre de cornegidouille.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
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C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
C'est Vendredi, c'est le Bordel #362

Il en reste encore ? On remet ça. Bon c'est d'accord mais c'est bien parce que c'est vous, les gens du blog.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #362

C'est vrai qu'il aurait été dommage de passer à côté de Neyreda Bird, splendide oiseau de paradis, comme de cet œil qui n'est toujours pas celui de Caïn et ça, c'est bien, ni de ce mollet gainé haut perché, encore moins de ce breuvage à faire tourner toutes les têtes. Et puis tant qu'on est là tous ensemble, autant en profiter pour fêter à Monica Belluci un très bel 54e anniversaire puisque c'était hier. Rhââ, Monica.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
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C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
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C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
C'est Vendredi, c'est le Bordel #362

Et puis ça ne vous plaît encore et toujours pas, voyez ça une bonne fois pour toutes avec Sheena. Sheena, les impétrants un peu chiants. Les impétrants un peu chiants, Sheena. Attaque Sheena, pas de pitié.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #362

Same player, shoot again, oui, vivons comme une boule de flipper qui roule, avec les oreillers du cœur en boule et si t'as pas de skipper, tu coules. Merci Corynne Charby.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #362

Vite, passons à de l'art avec "L'insolence" si délicieusement dépeinte par Fernand Toussaint (qui a une ouverture), le "Portrait of Mrs. Gari Melchers" par Gari Melchers parce qu'on n'est jamais mieux servi que par Gari Melchers, une "Jeune fille en gris" de 1939 par Louis Le Brocquy parce que Gari Melchers n'était pas libre et un "Champ d'oliviers" de 1898 par Henri Matisse parce que quand on s'appelle Henri Matisse, on n'a besoin ni de Gari Melchers ni de Louis Le Brocquy.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
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C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
C'est Vendredi, c'est le Bordel #362

Et il est temps de passer aux Messages à Caractères Informatifs à ma montre Kelton car pour tout changer, changez Kelton alors vous emmerdez plus à changer de femme, de mari, de vie, d'opinion ou de chemise, pas besoin de Seat Arona mais scrollez vite et si possible, plutôt vers le bas (scroll, scroll, scroll).

C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
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C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
C'est Vendredi, c'est le Bordel #362

Et c'est tout pour aujourd'hui. Merci de laisser ce Bordel n'°362 dans l'état dans lequel vous l'avez trouvé en arrivant et de ne pas oublier de le partager tout autour de vous. Les portes du Bordel sont ouvertes à toutes et à tous. Il y a de la place dans les petits coins pour chacun, surtout si vous en connaissez dans les pays encore vierges de bordel (voir ici dans The Big Bordel Theory). Pour ne rien louper, vous pouvez aussi vous abonner à ce blog ou rejoindre sa page Facebook ici facebook/apreslapub. Et si vous voulez absolument soutenir le Bordel d'une petite piécette ou d'un don généreux (oui, toi Lætitia Hallyday, je te parle), c'est par là : la Cagnotte du Bordel. Sur ce, c'est pas tout mais à ma Kelton, il est l'heure de vous souhaiter un bon vendredi, bon week-end et à la semaine prochaine.

C'est Vendredi, c'est le Bordel #362
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