... Un voyage à Miami, un peu de Botox, deux incisions sous les oreilles,
quelques liposuccions et une
belle bannière enfin à la bonne taille, plus professionnelle, pleine des couleurs de la mire...
"Après la Pub" change de peau pour plus de clarté, plus de simplicité, plus de lisibilité, parce que le bleu
et les petites planètes commençaient à me gonfler et parce qu'il faut savoir faire mieux, évoluer, surprendre, apprendre de ses erreurs passées et sans cesse remettre l'ouvrage sur
le métier sans rechigner, tel un pénitent de l'impossible en quête de l'inaccessible étoile. Dieu que c'est beau tout ça. Pour autant, n'oublions pas que Dieu est un endroit
paumé sans steak. Merci Charles Bukowski de me remettre dans le droit chemin.
Mais si le contenant change, comme le dit Popeye avec délicatesse :
"T'inquiètes pas ma chérie, ça casse pas ce qu'y a dedans".