"Par les temps
qui courent, s'asseoir sur un banc face à un lac.
Et envier une vie de canard."
...Chers toutes et tous, ça faisait longtemps que je n'avais pas
inauguré une nouvelle rubrique pour le blog. Celle-ci s'intitulera sobrement "La phrase du jour de Philippe Lafitte" et s'invitera à chaque fois que Philippe Lafitte sera dans un jour où il aura une phrase à dire. Sinon,
non.
Car Philippe Lafitte a des choses à dire et même à écrire. Après une carrière de directeur artistique en agence qu'il poursuit en free, il publie d'abord des
nouvelles en 1995 dans le Matricule des Anges, revue littéraire puis dans Libé mais
cinq ans plus tard car Philippe aime prendre son temps. En 2003, il sort son premier roman "Mille Amertumes" chez Buchet-Chastel, un roman très noir mais pas un roman noir. Puis "Un monde parfait" en 2005, plus gris anthracite celui-ci et un troisième, "Étranger au Paradis" en 2006, avec comme le dit Philippe, des éclaircies, de la nostalgie et un peu d'espoir. Soit du gris clair, pour résumer. Il continue à publier, notamment
chez Décapage, excellente revue littéraire pour récits courts. Il a en ce moment un nouveau projet sous le coude, ce qui est très bien mais pas pratique, surtout pour aller au
bistro.
Je retire donc ipso facto tout ce que j'ai pu dire sur les directeurs artistiques qui ne savent pas écrire sans fautes d'orthographe même si je n'ai pas la preuve absolue que Philippe sache le
faire.
Sinon, Philippe a un petit site à lui, fait de ses blanches mains quand il ne s'est pas mis de l'encre partout et qui se trouve ici : link.
Et pour retrouver la revue Décapage, hop, youpi, c'est ici : link