14 Mai 2009
Gérard de l’erreur de casting : Richard Berry reprenant le rôle de Lino Ventura dans l’Emmerdeur
Gérard du réalisateur qui fait toujours le même film, mais en un peu moins bien à chaque fois : Agnès Jaoui pour Parlez-moi de la pluie, un peu moins bien que Comme une image, un peu
moins bien que Le Goût des
autres
Gérard du film pour lequel avant d’y aller t’avais un doute et après, une certitude : L’Emmerdeur de Francis
Weber
Gérard de l’acteur qu’on engageait au départ parce qu’il était moche et que c’était rigolo, mais dont on a fini par faire un sex symbol en lui faisant porter un
pull à col en V à même la peau et une barbe de trois jours, alors qu’objectivement, il a toujours la même gueule : Jean-Paul Rouve dans Sans arme, ni haine, ni violence
Gérard du titre Max Pécas : Les Randonneurs
à Saint Tropez de Philippe Harel
Gérard du réalisateur ou de l’acteur qui parle de son film comme si c’était le dernier Fellini alors que même toi tu fais mieux avec ton Nokia et trois copains
bourrés : Francis Huster
pour Un homme et son chien
Gérard du film qui a un nom de vieille : Séraphine
Gérard de la feignasse tellement décontractée du gland qu’elle recycle un de ses vieux sketches en film d’une heure et
demie : Gad Elmaleh
pour Coco
Gérard du film qui voulait sortir en douce pendant l’été mais heureusement, on a l’œil : La Fille de Monaco
Gérard de l’actrice pas très douée mais qu’on se mettrait bien sur le zguègue, pas vrai les gars ? : Vahina Giocante dans Secret Défense
Gérard de l’actrice qui bénéficie le mieux des réseaux de son mari : Arielle Dombasle dans La Possibilité d’une île
Gérard du désespoir féminin : Catherine Deneuve dans Cyprien
Gérard du désespoir masculin : Cali dans Magique
Gérard du plus mauvais film : Cyprien, de David
Charon