17 Mai 2012
... Mais bon sang, mais c'est bien sûr. C'est à priori vendredi car sans jeudi, comment savoir précisément que l'on est vendredi ? Je vous le demande. Et je vous en remercie. Alors disons que nous sommes probablement vendredi. Mais pour en avoir la certitude pleine et entière, vérifions ensemble si vous le voulez bien si c'est bien le bordel. Et à la vision de ce seul soliflore qui démarre la séance, on peut vraisemblablement convenir que ce qui va suivre aura bien toutes les caractéristiques d'un vrai bordel. Soit des images glanées ça et là, remisées par devers moi, malaxées par mes soins pour les déglutir sous forme d'un article avec des mots et des images dedans, souvent entremélées les uns dans les autres et j'arrête là car je m'excite. Nul doute désormais, nous sommes bien vendredi et c'est bien le bordel et bien le boujour chez vous messieurs et dames et commençons dès à présent avec ce vague vase pour quiconque souhaite avoir vite la main verte.
Poursuivons par un doigt de technologie, une idée entre de bonnes mains (du moins, une), une pochette à mouchoirs qui vous emmène sur des cîmes inconnues, des bulbes à fougères pour mini espaces verts et un escalier qu'il est assez aisé de qualifier sans se tromper de toute beauté.
Je vous rajoute un nécéssaire à shooter sans trembler, un guide professionnel pour les professionnels de la profession munis de lunettes de soleil, des chaussures avec des super pouvoirs et comme il paraît que le changement, c'est maintenant, je vais commander une Aston Martin Vantage. En rouge. Yek, quelle horreur.
Parler de changement sans évoquer les derniers événements qui ont secoué notre bonne France, c'eut été dommage. Alors petite revue d'effectif des quelques images qui ont circulé récemment sur internet sur la victoire de Flan... pardon de François II et la défaite de son malheureux adversaire tout rabougri.
Avec de tels soutiens, il ne pouvait pas perdre.
Ma préférée (ci-dessous).
C'est bien d'être Gunner mais va falloir s'occuper aussi du PSG.
Rouge, rouge, le monde est rouge comme une orange sanguine comme il se doit et comme cette cheftaine indienne dessinée avec talent par Sylvia Ji.
Mais sans transition, découvrons tous ensemble cette belle série d'images issues du tournage de "L'homme qui rétrécit" (The incredible shrinking man), film de 1957 grâce au magazine LIFE qui passait par là au bon moment.
Esbaubissons-nous devant la force de la nature. Comme ça, c'est fait.
Amusons-nous un instant de l'humour du Général Aladeen qui déferlera bientôt sur nous. Des tyrans qui font rigoler, c'est pas tous les jours. Et celui-ci salue même l'arrivée de François Hollandez. Alors tout de même.
Et si ça ne vous plaît pas, hop, une fourchette.
Pour la bonne bouche, je vous rajoute un petit coup de langue et deux jolis trous.
Et un très joli paysage de Ren Hang (trouvé sur sur Flickr).
Sans transition aucune, passons à quelques charmantes donzelles pour satisfaire ces messieurs amateurs de belles courbes et pour une fois, j'ai cherché le nom de celles les moins connues pour qu'à votre tour, vous puissiez aller chercher quelques infos car ho, c'est bon, je ne vais pas tout faire.
Angie Everhart.
Bettina Weitze.
Donna Hemmingsen.
Là, pour trouver son nom, c'était pas évident. Désolé.
Là, c'est carrément Carré Otis.
Et là, Charlize Théron (la fille à Roger, le pronostiqueur star).
Chiara Baschetti.
Cris Norhona, jeune modèle brésilienne malgré son nom éminemment masculin.
Davina P. Pas de nouvelles de Véronique.
Doutzen Kroes dans "La Mouche".
Cindy Crawford dans "La Mer". Par Herb Ritts, svp.
Hilary Rhoda de face.
Hilary Rhoda nettement moins de face.
Lidija Ristic. Attention, ça piquje.
Melissa Sata. Attention, ça tape.
Rayla. Tout court. Mais un prénom qui sonne déjà comme un programme.
Une Christy Turlington pour... pour moi.
Et deux images pour le prix d'une de Jayne Mansfield : une avec son Danois au lit et une pas du tout au lit avec son Danois, son chihuahua et la jeune Mariska Hargitay qui deviendra plus tard Olivia Benson dans New York Unité Spéciale (tam dam).
Mais ne vous inquiétez pas outre mesure mesdames, j'ai prévu du lourd pour vous. Du moins déshabillé certes mais de l'homme, du vrai, du viril, du correct. Et là, pas besoin de mettre les noms. Ou alors je ne les ai pas trouvé.
Quelques mâles à cuir et à clous.
Ziggy et Bobbie.
Et Lee Hazlewood avec des copines moustachues pour contenter tout le monde.
Toujours pareil, si ça ne vous plaît pas, vous savez ce qui vous reste à faire.
Vos gueules.
Grrrrrrrrrrrrrrrrrrrr.
Ou juste grrrrr.
Ou grr seulement, au choix.
C'est pas tout mais on va où, là ?
Pour vous rappeler qu'ici, c'est mon blog, je vous rajoute une Mustang. D'abord. Alors.
Et il est temps de passer à de l'art avec Regina Silvera et son œuvre si bien nommée : "Abyssal".
Deux mains sublimes de Daniel Barkley qui ne sont pas forcément celles de Daniel Barkley car c'est pas facile de poser des mains et de peindre avec les autres parties du corps mais après tout, c'est possible donc laissons la question en suspens. Où vous voulez. Ici ou là.
J'aime ce nu de Martin Munkacsi de 1951.
Un peu de Keith Haring dans le métro.
Un peu d'Edward Ruscha dans le ciel.
Un peu de Klee dans son époque. Vers 1929.
Et une image du Musée de Pittsburgh. Et pourquoi ? Aucune idée. Je ne maîtrise pas tout car je vous rappelle qu'ici, c'est le bordel et parfois il s'arrête à Pittsburgh comme ça, sans raison.
Tiens, pour la peine, je vous rajoute trois pommes de la Grosse Pomme.
Et il est temps désormais de passer aux célèbres Messages à caractères Informatifs qui sont ci-dessous et qui contiennent des mots associés parfois en phrases sensées avec sujet, verbe et parfois complément d'objet direct mais ce n'est pas obligatoire non plus.
© Olly Moss
Non Jane, non les gens du blog, non nous ne ferons pas l'amour. N'insistez pas, vous êtes bien trop nombreuses et nombreux et les partouzes, c'est pas trop mon truc malgré le fait que nous soyons dans un bordel. Mais par contre, n'oubliez pas d'utiliser le bouton "J'aime" ci-dessous et de mettre une jolie phrase de votre cru dans la fenêtre qui s'ouvre et qui vous permettra de partager ce bordel sur Facebook en un clin d'œil, de twitter ce bordel sur toute la Twittosphère en rajoutant des hashtags de la mort qui tue comme #BordelDuVendredi, #CQCB, #CestVendrediCestLeBordel ou ce que vous voulez, de Linkedinker, de Google+er (hé ho, y'a quelqu'un?), bref, de partager ce bordel si et seulement si vous l'avez apprécié. Sinon, non mais si vraiment vous voulez quand même, voici une dérogation. Et vous pouvez même vous abonner à ce blog pour ne rien louper des articles de la semaine comme Hit Marades #3 : Enzo Scifo et Crisis ? What Crisis ? et Le Clic, c'est Chic. et Hunin after all et I have a dream et c'est tout pour aujourd'hui. Sur ce, puis-je me permettre de vous souhaiter un bon vendredi, un bon week-end ? Oui, je puis. Et à la semaine prochaine.
Enfin, avec un peu de chance.
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