25 Mai 2012
... Indubitablement, indéniablement dès qu'aura sonné le dernier carillon de minuit (en général, vers le douzième), nous serons vendredi. Un vendredi issu d'une semaine enfin complète mais prémice d'un pont de plus, un pont trop loin mais attendez, ça arrive. Et il n'est pas interdit de conclure que malgré la hausse des températures, l'allongement des journées et le raccourcissement des jupes, c'est un petit peu pas mal le bordel tout de même. De l'UMP qui cherche son nouveau mâle dominant tandis que l'ancien bouffe des cornes de gazelles en plein oasis au sang de Ronald Reagan vendu aux enchères, de Gaël Monfils Ma Bataille fallait pas qu'elle s'en aille qui déclare forfait à Roland Garros à Montpellier champion de France au nez et à la barbe d'émirs rouge et bleu, des émirs couleur en somme, de Quebec (salut André) où ça arrête les manifestants à tour de bras car ils n'ont plus le droit de manifester librement à Orléans où on laisse des enfants de 5 mois à 7 ans seuls pour un week-end avec juste de la bouffe, de Hewlett Packhard qui supprime 27000 postes à Air France qui s'apprête à couper dru itou et jusqu'à cet abruti de connard d'américain de merde qui, pour rigoler, met son bambin dans la machine à laver dont la porte se ferme automatiquement déclenchant un cycle de lavage mais putain qu'il est con, partout dans le monde, c'est le bordel. Alors il est normal que ce bordel trouve un écho ici aussi où il est chez lui. Allons-y donc pour ce bordel n°116 composé d'images glanées ça et là pendant la semaine avec en ces temps de grande chaleur, un coince-porte original pour rafraîchir l'atmosphère avec un petit coulis savamment dispensé par un courant d'air issu de l'ouverture de deux points d'aération chez vous que je vous laisse choisir car je ne vais pas m'inviter non plus. Disponible sur www.oo35mm.com
Poursuivons par cet écran plat plat. Mais vraiment plat. 4 mm. Chez LG.
Continuons en pédalant gaiement sur ce sublime vélo Opel. Pourtant à deux roues seulement et non pas quatre comme on aurait pu s'y attendre.
Enchaînons avec ces porte-iphone-ipad-i-à peu près ce que vous voulez mais bien calé.
Poursuivons par la G-Tar, la première guitare que, paraît-il, tout le monde peut jouer en un clin d'œil, quoiqu'avec les doigts, ça reste ce qui semble le plus simple.
Ah, vous avez un coup de fil.
Mais reprenons le cours habituel de ce bordel avec du sucre multicoloré, deux solutions pour vos poissons cet été, un intérieur bien aménagé, un escalier qui donne le tournis, un gros cube, un gros octogone aussi car on les oublie trop souvent à l'heure de l'apértif et c'est bien dommage.
Je vous rajoute la meilleure carte de visite au monde. Hors compétition.
Et pourquoi ? Pourquoi pas et puis ici c'est mon blog et je fais ce que je veux.
Mais poursuivons par un champignon céleste trop honnête pour être réel, un Zappa au nom du très haut et le centre d'information culturel et touristique d'Asakusa réalisé par Kengo Kuma parce que je suis comme ça.
Continuons avec ces splendides créatures venues de la plume de Robert McGinnis, émérite illustrateur, auteur de nombreuses affiches pour James Bond et tout le gotha du cinéma pendant des lustres, soit au moins 10 ans car un lustre correpondant à une période de cinq ans au XVIIe siècle, des lustres ça en fait au moins deux, donc dix. Enfin, je me comprends.
Mais rien ne remplace la chair fraîche alors je vous en mets quelques bouts en plus. Ca fera le poids.
Une Kelly Brook toute en simplicité à Cannes, évidemment.
Et encore Madalina Ghenea qui, quand même, rhaaaa.
Une pt'ite Liv Tyler de derrière les fagots et de devant des portes bleues.
Des filles à cheveux longs, da doo ron ron.
Et les copines à Chewbacca, les Chewettes.
Un p'tit slip comme transition et on passe aux garçons.
Du garçon qui sait tartiner la biscotte avec style, même dans ce charmant ensemble très seyant que je vous laisse découvrir ci-dessous et qui nous rappelle, comme la claque d'un vent de face dans un couloir trop étroit, que les années 80 n'ont pas eu que du bon non plus.
Allez, un beau gosse original.
Un autre vraiment pas mal, l'animal, qui pourrait crier ; "Azur, nos bêtes sont bondées d'un cri ! Je m'éveille en songeant ux fruits noirs de l'amibe dans sa cupule viruqueuse et tronquée". Saint-John Perse. Mais non, finalement.
Un duo bien costaud pour vos rêves les plus chauds.
Et un scout car l'avantage, c'est que c'est toujours prêt. Ca peut servir en cas de panne.
Sur ce, je vous mets une plante verte. Notez bien que c'est une formule, une image. Je ne veux pas de problèmes avec les défenseurs de la nature ni avec les amateurs de fist-fucking. Chacun fait c'qui lui plaît.
L'air de rien, je rajoute deux coussins.
Un...aah... un Qwa ?
Un Bull qui a les yeux plus gros que le ventre.
Un tigre célébré comme un roi, qui part en fumée.
Un bordel continuer, tu dois.
Et surtout n'oubliez pas. N'oubliez jamais. Jamais.
Gardons le moral, la révolution ne sera pas seulement télévisée, la révolution sera partout. Dans la rue, sur vos écrans, vos smartphones, vos Ipad. Partout. Bisou.
Un petit groupe qui débute et on y va. Où ? Par là au niveau du dessous.
Mais très vite, passons à de l'art avec "Cement Bleak" d'Isaac Cordal que l'on peut soupçonner d'être anglais pour son utilisation fort judicieuse de sa passoire à thé alors qu'en fait, il est ibère comme vous et moi, enfin peut-être vous car moi pas.
Un peu d'Anish Kapoor en tas. Vous me direz, c'est déjà ça. Au prix du Kapoor, c'est de l'or en poussière.
Un Basquiat. Mais un authentique, en chair, en os et en tee-shirt à la cool, mec.
Don Brown et Yoko, sa muse. Enfin, surtout Yoko, sa muse.
Un nu féminin de Felix-Jacques Moulin, juste parce qu'il est de 1856, qu'il est très beau et et que "un nu féminin de Felix-Jacques Moulin", ça sonnait bien.
Un jeune Matisse de 1816 avec Laurette et sa robe verte. À noter que la robe est sur Laurette et que subséquemment, Laurette est dans la robe. Sur le fauteuil. Dans le noir.
Mais c'est pas tout mais ce serait-y pas l'heure des Messages à Caractères Informatifs qui sont très nombreux en plus cette semaine et qui piaffent à la porte tels des petits chiots affamés ? Ben si. Bien joué Laurette. Elle est forte cette Laurette et sympathique en sus. D'aileurs, vous ais-je jamais narré à quel point c'était bien chez Laurette quand on faisait la fête, elle venait vers nous, Laurette, enfin tout ça.
Et voilà, c'est fini pour... ah non, fausse route.
Et voilà, c'est fini pour aujourd'hui mais n'oubliez pas avant de quitter ce joyeux bordel de vous abonner si ce n'est déjà fait, de cliquer sur le petit "J'aime" ci-dessous et de remplir la petite case d'une phrase de votre cru expliquant pourquoi vous aimez à vos ami(e)s pour qu'eux aussi puissent passer un moment sympathique au bordel. Vous pouvez aussi twitter ce bordel, il aime bien, ça chatouille, et mettre des hashtags type #C'estVendrediC'estLeBordelNumero116, #BordelDuVendredi #CQCB ou même #ChoucrouteSauce Tartare si vous voulez, vous pouvez Google+er ce bordel, le Tumblrer, le Piner, le Linkedinker et après tout c'est vous qui voyez. Et pour les gloutons, reste les articles de cette semaine avec de la poésie C'est samedi, c'est Bukowski, de la photo choc In Your Face et de la photo chic Forever Jung et de la photo tchèque (ah non) C'est un beau Roman et même du western avec des duels et de l'harmonica dans Il était une fois dans la banlieue Ouest. que vous pouvez aussi liker, twitter, piner etc... Bon vendredi, bon week-end, bon lundi aussi et à la semaine prochaine.
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