25 Septembre 2014
... Il se pourrait, sans craindre de trop me tromper que nous soyons, selon l'ordre inamovible des choses, le lendemain de jeudi sachant que les douze coups se sont égrénés lentement, interminablement, telle une interview vérité de Nicolas Sarkozy. Ah, vérité quand tu nous tiens, que ne nous ferais-tu faire ? Enfin bref, nous sommes vendredi et à la lueur des événements de la semaine, d'Ebola qui ne lâche rien à Ai Weiwei qui s'expose à Alcatraz, de #NotInMyName à l'assassinat d'Hervé Gourdel, de la Syrie bombardée à Boko Haram dont le chef est mort, ou pas, le Bordel mondial est là, bien tranquille et il n'est pas près de s'arrêter comme le Bordel ici présent composé de choses et d'autres mais principalement d'images vues dans la semaine, remisées par loin et reversées ici avec un tractopelle car ça fait du monde dont notamment le magnifique travail de collage digital ou non d'Eugenia Loli dont le site est ici cargocollective.com/eugenialoli pour les plus gourmands et gourmandes d'entre vous. Je vous connais.
Comme je ne suis pas un chien (étant principalement humain), je vous ajoute ces canidés par continents car c'est joli et si vous êtes content(e)s, je suis content (sans e) aussi.
Au choix, une pluie de confettis ou des sous-sous-vêtements. C'est un peu comme vous voulez, vous avez le choix dans le bordel et merci de ne pas confondre le bordel avec une datte. C'est vrai, parfois, on peut prendre les dattes pour des bordels mais en fait, non. Car si on a le choix dans le bordel, on a trop rarement le choix dans la datte mais poursuivons merci bien beaucoup.
Alors nous avons un sac tout choupinou croquinou de je ne sais où, une sorte de console-centrale-joystick-sextoy-tagine-ventouse-clavier pour laquelle je n'ai absolument aucune information n'ayant plus d'esclaves dans la cave pour me seconder, et Wega qui n'a rien à voir avec Don Diego de la, non, mais plutôt avec Verner Panton qui le dessina et le fit fabriquer en 1963 et rhaa, c'est autre chose qu'un Iphone. Certes, dans la poche, c'est moins pratique mais ça ne se plie pas. Aha.
Passons à ces intrigants portraits végétaux par un photographe dont je pensais avoir noté le nom mais non, non de nom, gottferdom, moule à gaufres et rogntudjiou réunis.
Et c'est ici, en plein désert, enfin, dans le bordel, que je vous rappelle qu'ici c'est mon blog et que j'y fais ce que je veux comme de mettre de splendides captures d'écran de Lawrence d'Arabie qui ne s'appelait pas Jacob puisqu'on vous dit qu'il s'appelle Lawrence. D'Arabie Jacob : au tableau ! Voyez, ça ne marche pas. Rien à faire.
Sur ce, je vous rajoute une jambe à Garbo et une Tina Louise qui est toujours la bienvenue au bordel, les habitué(e)s le savent. Tina, les gens du Bordel. Les gens, Tina. Et du lait.
En direct de 1963, Donna Michelle souhaitait vous saluer et vous rappeler combien il est important de faire de l'exercice régulièrement. Pas besoin d'aller dans un club de sport, il suffit parfois de laver sa voiture, de faire les bons étirements, un, deux, trois et ensuite de ne pas oublier son hygiène corporelle en se lavant sous un torrent d'eau fraîche. Ça, c'est fait.
Quelques donzelles éparses, à commencer par Dorothy Malone en 1953, donzelle, donzelle, donzelle, donzelles et Cartman. En donzelle.
Et puis si ça ne vous plaît pas, voyez avec le gars ci-bas.
Merci d'emprunter ce petit raccourci pour atteindre la suite du bordel. Si votre religion vous interdit les raccourcis, votre religion est vraiment très con.
Allez, trois damoiseaux sinon je vais me faire appeler Alfred et comme ce n'est pas mon prénom, je ne répondrai pas et je partirai seul vers mon destin lointain, poor lonesome cowboy a long way from home et voyez le bordel que ça fera jusqu'à Chihuahuan, je vous dis pas (voir la vie est un western).
Ah, je ne crois que nous avons un document exceptionnel sur le nouvel Iphone 6. Ah, non. Ah, je crois que nous avons des mains exceptionnelles dessinées par une main exceptionnelle. Ah, oui. Ah, je crois que si ça ne vous va pas, faut voir avec la dame.
Elle est taquine cette Louise Bourgeois, bien qu'elle soit actuellement décédée et ce, depuis plus de quatre ans. Non, Louise, ce n'est pas l'heure des Messages à Caractères Informatifs. Pas encore, Louise. C'est fou ce que c'est têtu les Louise. Une sorte de marque de fabrique.
C'est l'heure d'un peu d'art avec Anne Decolas (comme Alain sans Pen Duick II et sans Pen Duick), Can Pekdemir (comme Casimir en pas tout à fait pareil) et un petit Gerhard Richter de 1971 "Dschungelbild", à vos souhaits, huile sur toile, la toile étant de 200 x 200 si vous voulez vraiment tout savoir.
À gauche, dans le coin rouge, pesant 89 kilos, Mark Bradford et à droite, coin bleu, Jim Lambie et sa série “Festival Secret Affair”, sise à Inverleith House, Edinbourg mais vous foulez pas, c'était en 2008.
Ah voilà, là, c'est bien l'heure des célèbres Messages à Caractères Informatifs. Non parce que si les Messages arrivent avant l'heure et qu'ils me foutent le bordel dans le bordel, comment voulez-vous qu'on s'y retrouve dans le bordel ?
Et c'est tout pour aujourd'hui mais c'est déjà pas mal car ça prend du temps tout de même à mettre le bordel comme ça sur ce blog. Alors n'oubliez pas de remercier le tenancier du bordel en partageant celui-ci sur Facebook, Twitter, Pinterest, et Google+ dans tous les sens avec vos amis, vos cousins, vos grandes-tantes en utilisant les boutons ronds tout en bas de cette page. Vous pouvez aussi faire gonfler la cagnotte du bordel sur Leetchi leetchi.com/c/solidarite-au-bordel-du-vendredi mais ne faites ceci que si et seulement si vous avez apprécié ce bordel. Sinon, non (sauf dérogation exceptionnelle du sous-préfet de Haute-Loire, éventuellement). Sur ce, bon vendredi, bon week-end et à la semaine prochaine sauf si vous choisissez de vous abonner, auquel cas on se reverra peut-être avant.
Au niveau des articles de la semaine s'il vous reste encore un peu de place, il y eut le retour de Shark Ozzie et-pour-quelques-dollars-de-plus samedi et une bonne affaire à faire sur pap-a-pa lundi et quelques dinonautes-et-astrosaures mardi et une illumination de plus par Nicolas de Staël dans lumieres-du-chnord mercredi et la véritable histoire de Betty Boop dans poupoupidou jeudi là, il n'y a plus rien, espace, frontière de l'infini vers laquelle vous pouvez voyager mais je vous dis qu'il n'y a rien par là, ni nouveaux mondes étranges ni nouvelles vies ni autres civilisations alors merci de ne pas reculer l'impossible.