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C'est vendredi, c'est le bordel #270

...  Il est de retour le Bordel du Vendredi; après la stupeur, le chagrin, le recueillement, les hauts et les bas, sans même porte-jarretelle, c'est vous dire le moral. Oui, il revient le Bordel car même si ces abjects représentants de la race humaine nous ont foutu un sacré gros bordel comme pas possible, il faut désormais poursuivre, résister, vivre et foutre le bordel tous autant qu'on peut en souriant (si, si, on va y arriver). Et comme on a tous aussi un peu besoin de douceur en ce moment, pourquoi ne pas commencer ce bordel en craquant pour les cookie cutters de Smiltroy sur Etsy et si quelqu'un veut bien se dévouer pour préparer une fournée pour tout le monde, ce serait très gentil. Tournée générale de douceur.

C'est vendredi, c'est le bordel #270
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C'est vendredi, c'est le bordel #270

Et là, vous me direz "Il a bon dos, le bordel". Eh ben oui, grâce à ces magnifiques sacs super-trendy de la hype de la vibe de la mort. Ah non, plus la mort. Et puis si ça ne vous plaît pas, yo.

C'est vendredi, c'est le bordel #270
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C'est vendredi, c'est le bordel #270
C'est vendredi, c'est le bordel #270
C'est vendredi, c'est le bordel #270

Allez, tournée générale pour tout le monde, une cène triplement capillotractée, l'œil de Caïn cahin-caha, une calculette de poche (grosse, la poche), un escalier absolument de toute beauté et une Beetle de compet' pour faire le Paris-Dakar si vous êtes un gros con de pollueur de faux aventurier du XXIe siècle de mes deux.

C'est vendredi, c'est le bordel #270
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C'est vendredi, c'est le bordel #270

Allez, paix, calme, sérénité, bienvenue dans les coulisses et les "archives" en quelque sorte du Porsche Museum. Rhaaaa, excusez-moi, j'ai bavé. Pour en savoir plus, c'est par ici : inside-porsches-incredible-secret-warehouse

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Zahia qui n'en manque pas une pour se faire mousser (et Pierre & Gilles qui auraient mieux fait de s'abstenir de nous offrir un symbole si vide de sens), l'éruption du Vésuve en 1944 parce que je fais exactement ce que je veux ici vu que c'est mon blog et d'ailleurs pour vous le prouver (oui, comme Jean), je vous rajoute un peu de fripes à Greenwich Village en 76, alors, et un miroir UltraFrigola par Ettore Sottsass, pour Poltronova en 1970. Non mais. Oh.

C'est vendredi, c'est le bordel #270
C'est vendredi, c'est le bordel #270
C'est vendredi, c'est le bordel #270
C'est vendredi, c'est le bordel #270

Saul Steinberg a la tête dans le sac avec Irving Penn en 1966, Esther Williams cherche une dinde à plumer pour Thanskgiving et ce ne sera pas Jayne Mansfield car avec un Q.I. de 163, elle en avait autant dans la caboche que dans le décolleté.   

C'est vendredi, c'est le bordel #270
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C'est vendredi, c'est le bordel #270

Passons d'ailleurs, merci Jayne, fort belle transition, hu hu hu, à quelques donzelles triées sur le volet (toujours un Lapeyre à ouverture automatique et télécommande, 499€) pour figurer fièrement dans le bordel comme l'étendard incandescent d'une féminité assumée mais encore trop souvent réprimée qui, enfin voyez. Les garçons, les donzelles, les donzelles, les garçons. Et les filles aussi. Et merci de suivre la dame dans les escaliers afin de poursuivre convenablement dans ce bordel.

C'est vendredi, c'est le bordel #270
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C'est vendredi, c'est le bordel #270

Un Kyle tout choupinou, une Antonio en charmante compagnie, un Chopper qu'a choppé, la nouvelle caravane des Gypsy Kings et si vous voulez bien prendre le métro, dans deux ou trois stations, on devrait arriver à destination.

C'est vendredi, c'est le bordel #270
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C'est vendredi, c'est le bordel #270

Somewhere over par là-bas, il y a quoi ? Des gifs. Oui, des gifs. Et ce serait dommage qu'ils se perdent, d'ailleurs, ne dit-on pas parfois à regret "Il y a des gifs qui se perdent" ? Alors.

C'est vendredi, c'est le bordel #270

Gif it is. And it is now, non, parce qu'après, je vous explique, si on prend du retard à ce moment-là du bordel, après, ça bouchonne comme un dimanche de pluie à Saint-Arnoult.

C'est vendredi, c'est le bordel #270
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C'est vendredi, c'est le bordel #270

Vite, de l'art avec "Vertical Constellation with Yellow Bone", par Alexander Calder en 1943, une œuvre tout à fait op' de Pete Barn Paulsz et deux Miro pour le prix d'un et comme le bordel est gratuit, voyez. Voyez pas ? Z'êtes Miro. 

C'est vendredi, c'est le bordel #270
C'est vendredi, c'est le bordel #270
C'est vendredi, c'est le bordel #270
C'est vendredi, c'est le bordel #270

Rajoutons quelques magnifiques œuvres de Nathalie Pirotte (à découvrir plus en avant sur saatchiart.com/nathaliepirotte

C'est vendredi, c'est le bordel #270
C'est vendredi, c'est le bordel #270
C'est vendredi, c'est le bordel #270

Un étude de nu d'Henry Siddons Mowbray, le "Jubilee" de Jasper Johns en 1959 (oh non, Jasper, reviens !) et un collage (et encre) de Louis Reith. Lui-même. Personnellement. 

C'est vendredi, c'est le bordel #270
C'est vendredi, c'est le bordel #270
C'est vendredi, c'est le bordel #270

Enfin, un sublime, enfin pour moi, hein, "Night Lights on the Yarra" par Clarice Beckett aux alentours de 1930, une nature morte à croquer de Paul Cézanne et "The Blue Unconscious" de 1946 par Jackson Pollock, un chti jeune qui n'en veut mais qu'a pas encore trouvé.

C'est vendredi, c'est le bordel #270
C'est vendredi, c'est le bordel #270
C'est vendredi, c'est le bordel #270

Fi de l'art, passons désormais aux célèbres Messages à Caractères Informatifs qui ont UN PEU ENVIE DE CRIER EN CE MOMENT MAIS ÇA VA PASSER, et puis des messages très rock, très roll et parfois aussi un peu n' parce que c'est comme ça, y'a des fois où on a envie de pousser le volume à fond.

C'est vendredi, c'est le bordel #270
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Et c'est tout pour aujourd'hui sauf si vous avez apprécié ce Bordel n°270 auquel cas, deux possibilités s'offrent à vous : vous abonner à ce blog car yodeloï et pourquoi pas ou partager ce bordel sur Facebook, Twitter, Google+, Linkedin et Pinterest grâce aux boutons situés ci-plus bas à votre disposition. Voyez ? C'est là. Sur ce, bon vendredi, bon week-end et à la semaine prochaine.

C'est vendredi, c'est le bordel #270

Pour les non-abonnés, beaucoup d'hommages cette semaine, à 130 innocents victimes de la barbarie des hommes (rien à voir avec la religion) sur pause-mortem, à Dan Fante, superbe poète, auteur, nouvelliste, romancier et homme de théâtre sur 21-8-93 et regime-sec et 14-11-93 etun autre hommage, toujours en poésie, à la mémoire de Fabrice Dubois  a-f-d et là, poussez plus, c'est fini. 

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W
J ai aime ce cote decale ....dejante ...farfelu et poetique
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F
Si vous aimez les Kinks, vous ne devez pas être totalement mauvais… Merci pour ce bordel.
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P
Boy, you really got me.
F
Beau comme Bowie, oui, merci !
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