2 Juin 2017
... Mais non, c'est pas le bordel, pas du tout le Bordel avec la décision du délicieux Donald J. Trump de sortir de l'accord de Paris. Mais non, on n'est pas tous dans la merde, sachant, rappelons-le tout de même, que la Terre est la seule planète où il y a du chocolat (et du pâté parce que le chocolat, ça va 5 minutes alors que le pâté, c'est du gras et le gras, c'est la vie). Bref, c'est encore un sacré bordel sur notre planète et ça ne risque pas de s'arrêter de sitôt avec l'autre gros débile à fouine décédée intégrée sur le ciboulot (enfin, s'il en a un). Alors autant foncer dans le Bordel, le beau, le vrai, celui du vendredi avec pour démarrer la très belle série "Singularity III" de Florian W. Mueller (voir sa page ici behance/Singularity-III). Et mieux vaut le Mueller que le pire, vous en conviendrez et si vous n'en convenez pas, sortez tout de suite, ça vaudra mieux pour tout le monde et ça fera de la place pour les autres.
En tout cas, moi, j'ai bien la rage aujourd'hui et pas seulement à cause du Donald adepte des couacs à répétition mais aussi à cause de mon maire boulonnais qui, ni vu ni connu, va tenter de faire passer la fusion de Boulogne-Billancourt avec Issy-les-Moulineaux, la ville de son cher ami de 30 ans André Santini, pendant le Conseil Municipal de juillet quand il n'y a plus personne. Un référendum ? Allez vous faire mettre. La démocratie ? Roulez-vous la serrée et enfoncez bien profond. Grrr, je suis colère, très colère alors autant avoir de la musique douce mais très forte à se mettre entre les oreilles grâce à ces astucieux tee-shirts à la sauce Metal, Heavy-Metal, Punk Hardcore, Thrash Metal, Protopunk ou Pornogrind, c'est un peu comme vous voulez.
Allez, on se calme, on respire, on se détend avec cette magnifique boite à bijou de si bon goût et prenons un peu de thé, non, c'est trop excitant, alors mettez-moi une infusion genre Nuit Calme mais pour la journée, vu qu'elle est déjà bien entamée (oui, je sais, je suis à la bourre pour le bordel).
S'il y en a un ou une dans l'assemblée qui a besoin de se confesser, c'est là, maintenant, tout de suite et sans curé en plus, ce qui facilite les choses. Mieux vaut pas que j'écrive quoi que ce soit, ça risquerait d'être sanglant pour mon cher maire Pierre-Christophe Baguet qui, en 2017, demande toujours l'abrogation du Mariage pour Tous.
Une seule envie actuellement, aller au fin fond du désert pour ne plus entendre parler de cette parodie de démocratie qu'on essaye de nous imposer. Oui, je suis très, très colère.
Allez, changeons radicalement d'horizon en allant vers Wat Samphran, ce temple étonnant à Khlong Mai en Thailande, ce shiba-inu un rien empoté et ce régénérateur de cheveux que j'offre avec plaisir à quelques uns d'entre vous dont je ne citerai pas le nom car je suis poli et gentil dans la vie (sauf avec certains qui méritent mon courroux. Coucou).
Passons si vous le voulez bien à cette très belle série de femmes en temps de guerre par Lee Miller, madame Man Ray et surtout une grande photographe et correspondante de guerre pour Vogue et Life. Soit pas de la daube tout de même.
Continuons par une Pam très graouuu, Ringo et Sh... ah non, ça a encore merdé à la technique. Oh, j'avais demandé Ringo et Sheila, pas l'autre Ringo et Sylvie Vartan ! Bordel, j'aurais jamais dû reprendre des petits Sri-Lankais pour faire le bordel, ils ne connaissent rien à rien. Bon allez, mettez-moi la Première Dame des USA et un balcon avec du monde. Ah voilà, tout revient à la normale.
Alors autant en profiter pour vous faire découvrir la fraîche et délicieuse Marilu Tolo et n'oublions pas que lorsqu'en songes obscurs, Marilu se résorbe, que son coma l'absorbe en des rêves absurdes, sa pupille s'absente et son iris absinthe subrepticement se teinte de plaisirs en attente, perdue dans son exil physique et cérébral, un à un elle exhale des soupirs fébriles parfumés au menthol et ça c'est bien.
Et si vous êtes en manque de damoiseaux, en voici trois en un par Steve Shapiro en 1961 à New York. Je me souviens c'était un mardi et soudain, ils ont chargé, les flics et y'avait du riz cantonnais mais tout ceci est une autre histoire pas très narrante donc je ne la narrerai pas aujourd'hui, non, n'insistez pas.
Vite, passons à de l'art avec "Noturnal Rock" de Paul Klee, une "Ville arabe" de Wassili Kandinski et une belle vue en perspective de Bertha Boynton Lum dont je ne sais rien mais c'est parce que j'ai eu la flemme d'aller chercher, je dois bien vous l'avouer.
Un vague "Sans Titre" de Calder, "Undergrowth" de 1941 d'Eliot Hodgkin dont je ne connais pas grand-chose de plus pour la même raison sus-citée et Henri Gabriel Ibels par un autre Henri, de Toulouse-Lautrec celui-ci.
Nous avons aussi à votre disposition un peu de John Duncan Fergusson, "The Blue Slip" en 1918 et là, on voit bien que John Duncan essaye de nous enfumer car elle ne porte pas de slip, un "Nu debout vert et rose" de Kees Van Donne et merci Kees, au moins là, c'est clair, "Robert Rauschenberg, "Scow", issu de la série "Pages and Fuses" et de 1973 et deux Tsugouharu Foujita mais vous pouvez dire juste Foujita, c'est plus simple.
Et il est temps de passer aux célèbres Messages à Caractères Informatifs de la semaine que vous pouvez partager autant que vous le voulez, comme ce bordel et je tiens à le préciser car il y a carrément du relâchement dans les likes et les partages et ce serait bien d'y remédier, bordel.
Et c'est tout pour aujourd'hui dans ce Bordel n°336 qui aimerait bien avoir 336 likes mais là, ça ne tient qu'à vous et vos amis, comme le fait de suivre ce blog sur Facebook ici facebook/apreslapub ou sur Twitter là twitter/ApresLaPub. Et rappelons que vous pouvez aussi vous abonner à ce blog pour ne rien louper, du moins jusqu'à ce que la planète explose et que Boulogne-Billancourt ne soit plus rien. Bon vendredi, bon week-end et à la semaine prochaine si on est tous et toutes encore là. Et si j'ai envie. Ce qui n'est pas sûr car ça dépendra de votre célérité à partager ce bordel qui me prend des heures à faire pour zéro, nib, que dalle alors flattez au moins mon eour retPgo avec des likes et des RT sur Twitter. En vous remerciant bien beaucoup.
Pour retrouver tous les Bordels du vendredi depuis l'origine des temps soit la naissance de John Cleese le 27 octobre 1939, c'est par ici : apreslapub/le bordel du vendredi