18 Septembre 2017
Il y a des journées
pour retourner le monde,
faire la révolution,
l'amour,
la vie
et il y a des journées
pour compter les gouttes
de pluie qui coulent sur la vitre après
l'orage,
pour se contenter
de la contemplation
(par un hasard fortuit)
d'un formidable
Vasarely.
Pour sa sérénité.
Son calme.
Son équilibre.
Un peu comme
quand
on respire
après un sprint,
comme on retombe
sur l'oreiller
après
vous savez quoi.
Merci Victor
pour ce petit armistice.